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Vendredi 13 janvier 5 13 /01 /Jan 12:52

Nous nous sommes allongés sur le lit. Vrai petit repos. peu avant midi, j'entend vaguement un véhicule qui approche de la maison. je file vers la fenêtre pour observer.

 

C'est bien le propriétaire. Alain est déja sur le palier à l'attendre en bas, tout obéissant. Le proprio a une tenue plus légère que la veille (bermuda long, tee-shirt assez classe ...). Il s'approche du portail en observant, il aperçoit Alain.

 

-"bonjour, belle journée n'est-ce pas" dit-il en passant le portail

 

Alain ne répond pas et s'avance pour lui serrer la main.

-"j'avais un peu de temps, et comme on avait suggéré que je repasse aujourd'hui ..."

Le 'on' était très diplomatique, puisqu'il s'agissait de la pétasse qui lui avait quasiment proposé devant son mari de venir la baiser quand il le voulait, mais bon ne nous formalisons pas...

Alain l'aida dans sa  "besogne" et lui facilita la tâche, comme il était prévu et assigné qu'il le fasse.

 

- "oui ..oui, ma femme est à l'intérieur, elle vous attendait avec impatience, elle voulait voir ou visiter je ne sais quoi avec vous , je vais la prévenir."

 

Alain est rentré tout trotinnant et a monté l'escalier. Il s'est approché tout timide de notre porte. Je lui ai signifié, a voix basse pour que le proprio n'entende pas (j'avais laissé la fen^etre entr'ouverte).

 

- OK Alain c'est compris, re-descend et rajoute une couche en lui disant que ta femme arrive le temps de se préparer et qu'elle n'a pas arrêté de parler de lui depuis hier. STP essaie d'ajouter une remarque du genre "mon épouse a été très enchantée de vous connaître ...". Ca va l'intriguer et le conforter dans le motif de sa visite : tirer ta femme. file."

Alain est redescendu.il a appliqué la consigne quasiment à la lettre. De la fenêtre, j'ai aperçu le sourire en coin du proprio qui devait se dire "quel cocu, quel imbécile" ce qui était bien sûr le but. Je devinais presque sans ses yeux l'excitation à la perspective de voir Laurence dans quelques minutes, avec un mari de celle-ci aussi crétin !!

  

J'ai donné mes consignes a Laurence : léger maquilage, tee-shirt moulant, mini-jupe sans culotte, chaussures basses. détour rapide par la salle de bain pour maquillage léger. Et en avant!

 

Alain avait filé dans sa chambre avec pour mission réitérée de mater, de se branler à volonté.

Laurence a descendu l'escalier. Je devinais  la démarche lente aux légers grincements. Elle est apparue en dessous de la fenêtre. Elle a tendu la main pour serrer celle du propriétaire

 

-"Bonjour, je vous attendais". Ton sans équivoque, ferme, suave.

 

-"Vous... vous m'attendiez ? a feint d'être surpris le proprio.

 

-"Ouiii ... pour la grange vous savez bien .. hi hih hi" Laurence feignait de jouer la cruche.

 

L'autre marchait. Il se léchait déja les babines. L'attitude volontairement cruche de la trainée l'encourageait à être plus audacieux et inquisiteur.

 

-"Et vos amis ? nous y allons seuls ?"

 

"Oh mon mari a affaire et mon ami est dans la douche. Je n'ai pas envie de les attendre allons-y SVP. Après tout je profiterai mieux .. hi hi hi .."

 

Elle est passée devant lui. Cette salope s'est baissée pour feindre de ramasser un morceau de branche qui trainaît par là. Pendant 2 secondes, on n'a plus vu que son cul. Le proprio en premier, il s'est même baissé légèrement le salaud pour mater sa croupe. Il devait déja baver. Moi aussi, elle m'avait mis la trique. Et Alain devait probablement déja s'astiquer le blaireau.

 

Il ont disparu derrière le portail en bifurquant à gauche. Je me suis remis sur le lit. 

 

Ving minutes après, on les a entendus revenir. En fait, elle a laissé le proprio au portail. Puis elle est venue directement dans la maison puis dans la chambre ne nous voyant pas en bas.

 

Elle était radieuse, bien que légèrement ébouriffée, et encore dans un état second comme à chaque fois maintenant. Elle m'a rejoué quasiment le même top que le matin.

 

-Ohh Carmure .. Je suis une vraie pétasse maintenant. C'était sensationnel contre la machine agricole. il m'a soulevée ... oohh ... j'en vibre encore ..."

 

elle s'est mise sur le lit, sur le dos.

-" Viens encore me baiser Carmure... S'il te plait, c'est vital".

 

Inimaginable. Cette salope dépassait tous nos objectifs . Elle me foutait la trique en un dixième de secondes. Je me suis allongé sur elle doucement, mais de tout mon poids.

 

-"oui écrase moi en m'enfilant STP, écrase la pute du millénaire.... montre-moi ..."

 

J'ai mis ma main devant sa bouche, pour la faire taire. J'étais dans un état d'excitation vertigineuse. J'ai dû la limer à peine quatre fois tout au plus avant de décharger et de râler, une main sur sa bouche, l'autre étripant son sein. Ses yeux étaient brillants, je lisais sa fierté d 'être désirée, pute et excitante à ce point. J'ai enlevé ma main devant sa bouche.

 

-"Ohh chéri, quel plaisir que j'ai à t'exciter à ce point...  Je n'arrête plus d'avoir envie de me faire sauter, c'est infernal... S'i il n'y avait pas cette interdiction de me faire mettre par mon mari cocu, je l'appellerais... Fais quelque chose chéri."

 

-"Tu peux toujours te branler, ou prendre des légumes, cela ne manque pas par ici". Je n'ai rien trouvé de mieux à lui dire.

 

Alain, de son coté, s'était rapproché de la chambre dont nous avions laissé la porte ouverte et nous regardait discrètement depuis le couloir, comme il en avait le droit.

 

-"Alain, je t'autorise à venir lécher et nettoyer la chatte de ta nympho. Et ma queue aussi par la même occasion".

 

Il est entré, tout content d'être sollicité pour cette double tâche. Laurence était allongée sur le dos, a écarté les cuisses, et son cocu a enfoui son visage pour la lécher. Pendant ce temps, je me suis allongé aussi sur le dos à coté de Laurence. Ne disant rien, nous regardions tous les deux le cocu s'appliquer à lécher, enfouir sa langue dans la moule inondée de la pute. Au bout de dix minutes environ, il s'est mis en train de venir me nettoyer aussi la queue.

 

Son application  et sa compétence croissante validaient le fait qu'il jouissait fortement de toutes ces aventures.

 

-"Ce soir Alain, tu iras toi-même, chez Claude et Claire pour leur proposer de venir diner ici. Tu nous prépareras un petit gueuleton et apéro Champagne. En ce qui te concerne, tu trinqueras certes avec nous mais avec de l'eau ou mieux avec du sirop... Et tu annonceras à nos invités que c'est ta femme chérie qui t'as interdit  de faire certaines choses comme les grands..."

"Désormais, non sseulement tu seras cocu, mais en plus je te propose de  "t'infantiliser". C'est une humiliation soft supplémentaire que tu apprécieras."

 

Alain a détaché sa bouche de ma queue, juste pour pouvoir dire :" oui, super ... .. génial."

 

-"Allez, maintenant va cherhcer une bouteille d'eau pour ta femme chérie. Je voudrais faire une scénace d'uro cet après-midi seul avec ta femme. Ensuite, tu nous prépares un petit truc rapide à manger.

 

Alain s'est levé, a remonté une bouteille d'eau pour sa femme, puis est redescendu préparer un truc léger à manger.

Laurence avait quelque peu besoin de se remettre. Nous avons mangé rapidement en renvoyant Alain dans sa chambre (il s'est installé à la fenêtre, évidemment). Après ce rapide dîner à deux, j'ai proposé à Laurence de se détendre sur la chaise longue dehors. Je lui ai fait un cunnilingus pour la reposer, puis nous sommes remontés directement dans la chambre. Sieste.

 

En principe, Claire devait passer, j'avais prévenu le cocu de venir me prévenir quand elle arriverait. En fait elle ne vint pas l'après-midi, préférant attendre le soir après qu' Alain est allé leur proposer cett soirée chez nous.

  

Redescendus vers 17 heures, j'ai demandé à Laurence de me me pisser dessus dehors. Alain était toujours dans sa chambre, il était allé entre temps chez nos chers voisins remplir sa mission. Je me suis allongé dos sur la pelouse et ai ordonné à Laurence de venir s'accroupir au dessus de mon visage ... et de déverser le plus fort possible.

 

-"Oui chéri, tout ce que tu voudras".

 

Elle m'a bien inondé  la bouche, le torse, les cheveux...

-"Tiens chéri c'est pour toi .... ... il y a le cocu qui se branle a la fenêtre ... ...  Tu me culbuteras encore une fois avant que nos invités arrivent ce soir ?"

 

Par jetdor man - Publié dans : uro a trois, cocufication
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Vendredi 7 octobre 5 07 /10 /Oct 00:00

Nous nous sommes installés pour déjeuner.

 

-"Va te faire sauter par Claude en premier, même si le proprio arrivait lorsque tu es la-bas, nous le ferions t'attendre. dans l'autre sens, il y aurait risque d'attendre le proprio jusqu'en fin de matinée et que l'on rate Claude par la suite. de plus on est pas certains à 100% qu'il viendra ..."

 

."...ce serait bien que tu ailles avec le cocu, il faut qu'il te voie désormais vraiment te faire baiser par d'autres que moi. Or, jusqu'à maintenant, il t'a juste vu chauffer le proprio hier et le serveur d' Aubusson. Il faut que tu passes la vitesse supérieure. N'oublie pas que ton mari avance à grand pas dans le bonheur d'être humilié. Il a droit à  être présent lorsque tu le cocufies...même si cela complique le scénario pour toi ..."

 

-"pas de soucis, mais est-ce que le gars en face sera prêt  à s'occuper de moi, en présence du cocu, même s'il sait avec tout notre cinéma d'hier, à peu près quels rôles chacun de nous jouent ?"

 

-"je te fais confiance pour faire péter tous ces verrous à supposer qu'ils existent encore. Je t'ai déja montré à St valéry ou même Aubusson, qu'avec de la conviction, de l'envie et du toupet, et surtout ton cul, il n'y avait de problèmes que dans la tête des gens et surtout que temporaires. De plus avec notre cinéma, je pense que Claude est mûr; sa femme aussi d'ailleurs ! Tu es une salope et tu vas aller avec ton mari. c'est ta mission"

 

-"OK, tu as raison mon chéri, je vais emmener le cocu ..."

 

Nous avons fini de déjeuner. La perspective de la matinée qu'allait passer Laurence m'excitait. Je lui fis savoir en me levant et en venant lui malaxer les seins par derrière pendant qu'elle finissait son café. 

 

-"Annonce à ton mari le programme, salope..."

 

Laurence finit sa tasse, et en se retournant à peine, énonça à voix haute :

 

-"petit cocu, tiens-toi prêt mon toutou, tu vas venir avec moi voir Claude..."   (il n'y avait aucun doute qu'il était prêt près de la fenêtre pour entendre nimporte qu'elle sollicitation ou ordre de nlous).

 

Puis s'adressant a moi :

 

-"tu souhaites me voir porter une tenue particulière ?".

 

Je réfléchis un instant :

-"non, simplement n'y vas pas complètement nue, je pense que c'est mieux en la circonstance, pour le restes tu as cartes blanches."

 

Laurence est donc montée se préparer, pendant qu'Alain descendait, en short, tennis minables, et chaussettes hautes de ringard. Il était devenu brillant en statut d'humilié, voire même compétent :il y avait de moins en moins de choses à lui dire ou signifier, il saisit de plus en plus à merveilles ce qu'on attendait de lui. Ce n'est pas un effort pour lui, il est même heureux de pouvoir montrer sa soumission. Il est resté dehors debout sans rien dire en attendant que Laurence ne redescende pour partir.

 

Elle est redescendue. Léger rouges a lèvres, tees-shirt moulant et trop court , un de ses shortys ! chaussures souples sans talons. Une vraie petite étudiante allumeuse et vicieuse. Elle m'a regardé, m'a annoncé :

 

-"je mouille déjà", puis direction  le portail ,  "allez suis moi cocu chéri". Mais Alain avait déjà emboité son pas.

 

Passés le portail, elle a pris la main de son cocu. Cela donnait autant l'impression qu'elle emmenait son petit frère au spectacle qu'un couple d'amoureux. Son cul avec ce shorty était somptueux. Le Claude n'allait pas résister 30 secondes.

 

Vingt minutes se sont passées. J'ai même cru entendre des cris de plaisir à un moment depuis le palier où je m'étais installé, mais je me disais que c'était mon imagination !

 

Ou ptutôt, Alain est revenu après vingt minutes, ne m'a rien dit et passé devant moi et a filé dans sa chambre! J'ai supposé qu'il allait se branler, mais je n'en n'étais pas sûr.

 

Laurence est réapparue au portail un quart d'heure après lui. Nue sinon les chaussures, shorty et tee-shirt à la main, décoifée,  et encore excitée. je me suis rendu vite compte qu'ell était encore dans un état second. Elle se dirigeait vers moi quand tout a coup elle a bifurqué vers la pelouse.

 

-"viens m'achever, salaud ... Il me faut un deuxième pompier comme toi pour cet incendie là " a -t-elle dit.

 

 Elle s'est mise a quatres pattes, en levrettes, cul au ciel, visage et épaules contre le sol, de coté.

 

-"dégomme-moi comme tu sais le faire, STP salaud chéri ...     ... vite ... ...  achève-moi ..."

 

je me suis posé debout dèrrière. Cette salope savait que j'étais excité. jJ'ai empoigné le shorty et l'ai non pas déchiré ,(j'en ai déja détruit un le jour de leur arrivée au gîte...) , mais étendu en l'écartant fermement d'un main.

 

Sa chatte était encore inondée. (de mouille, pas de sperme). Je l'ai enfoncée sans difficulté, et ai commencé un va-et-vient.

 

Elle a commencé à me raconter pour m'exciter encore plus.

"... il nous a offert un café. j'était déja vautré sur la chaise, le cocu était assis bien droit comme un écolier. j'ai enlevé mes chaussures dans un premeir temps. Mais comme j'avais envie de brûler les étapes, j'ai enlevé mon tee-shirt -ca faisait a peine 3 minutes qu'on était chez lui, en disant : "pffouuhh , allez aujourd'hui,  nudisme ! tiens Alain STP tiens mon tee-shirt .."

 

et de continuer son histoire, pendant que je la tirais :

 

"... puis je me suis levée, café  à a la main,  et ai approché Claude en lui tendant mon cul et en disant : "Mon mari tiens déja mon tee-shirt, pouvez-vous m'aider a enlever ma culotte?" Il n'a même pas été surpris. Il a empoiné lé haut de mon shorty et la fait glissé ver les bas.  j'ai fait: "oh merci Claude, en général quand on demande cela les gens son gênés ... mais vous vous avez compris que le nudisme c'est le nudisme .." je mes suis retournée et lui ai roulé une pelle. il s'est laissé faire, je lui ai guidé le bras sur la poitrine. puis tout est allé très vite. j'ai fait péter le dernier verrou en lui disant à voix basse "faites plaisir à mon mari"...

 

Elle reprend son soufle alors que je lui tire aussi ses seins. elle est dans un état second de chienne en chaleur, a un niveau que je ne lui ai jamais vu :

 

" ... ouahhh   arrache mes seins ... .... II s'est levé en me portant carrément, il m'a emmenée au salon à coté en disant "oui, je suis OK pour votre jeu, il m'a quasiment lancée sur le canapé". j'ai fait "ohhh un homme, un vrai". j'ai ordonné au cocu de nous suivre. Bref il m'a baisée devan le cocu sur le bord du canapé. Il m'a limé pendant un quart d'heure en m'insultant car je l'y encourageait. comme il n'avait pas de préservatif je lui ai dit de jouir sur moi où il voulait. il s'est retiré,  a remplacé sa queue par sa main en se branlant. Nous avons hurlé tous les deux, son sperme a jailli sur mes seins. Il s'est vautré sur moi. J'ai dit au cocu qui triquait et avait baissé son short de rentrer vite à la maison  dasn sa chambre !

 

...Puis je l'ai encore sucé en lui expliquant que notre gîte était le sien. Pas d'horaires de fermeture. Je lui ai tout raconté. Le cocu chambre à part, toi, etc... bref ... il m'a sucé le cul. sa femme et lui sont complices, il sait que claire vient ici c'est après-midi. Mon salaud tu vas la baiser hein ? ... allez, va-y ... par contre je ne sais pas du tout si sa femme est prête a le voir me sauter ... .. je .. je  ... je "

 

Puis elle s'est arrêtée de parler. Pour cause d'orgasme fulgurant imminent.

 

Un nouveau tsunami. j'aime bien ce mot, il s'applique bien aux déchaînements les plus aboutis de Laurence. Elle a commencé à trembler sous moi.

 

... passe ...  mon cul ... au karccher  STP .... au marteau piqueur aussi ......  .... aaahhhhhhhhh  .... chéri ... je ....  vais encore m'évanouir .....

 

la révulsion des yeux, apogée de ses  orgasmes, aboutissement de tout ce debut de matinée. secousse de tout son corps. j'ai giflé son cul en venant en elle et la traitant de catin du matin, de poufiasse de luxe.

 

Puis elle s'est affaissée. Avec moi. Je me suis dégagé lentement en lui disant que ce n'était pas fini. Alain était a la fençtre de sa chambre et nous avait bien sû matés. Le propriétaire allait peut-être survenir a nimporte quel instant.

 

- "s'il arrive, tu penses pouvoir assurer dans l'état où tu es, salope chérie ? "

 

- " ... dix minutes pour me requinquer ... pas plus" murmura-t-elle

 

- "alors va t'allonger jusqu'a ce qu'il arrive, je dirais à Alain de l'accueillir s'il vient et de l'occuper quelques minutes si nécessaire. Ce sera aussi l'occasion de s'auto humilier volontairement devant le proprio s'il en a envie"

 

-"accompagne-moi dans la chambre chéri .."

 

Je suis monté avec elle, en re-précisant à Alain  depuis le haut de l'escalier qu'il guette l'arrivée éventuelle du proprio et qu'il le fasse patienter en lui disant par exemple que sa femme était impatiente de pouvoir continuer le discussion d'hier...

 

-" ... Chéri cornu, je compte sur toi pour lui dire beaucoup de bien de moi !" a ajouté Laurence.

 

et nous sommes entrés dans la chambre en éclatant de rire tous les deux.

(à suivre)

Par jetdor man - Publié dans : uro a trois, cocufication
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Mercredi 5 octobre 3 05 /10 /Oct 00:00

Le téton de Chloé : somptueux, comme je les vénère.

 

La croupe de chloé : somptueuse, comme je les vénère (la deuxième un peu floue désolé) :

 

La moule de chloé : somptueuse, comme je les vénère

 

bisalope et salopes-bi   (c'est pas la même chose!)

Par jetdor man - Publié dans : uro a deux
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