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Lundi 4 décembre 1 04 /12 /Déc 16:20

Nous nous sommes essuyés rapidement. Claude alla à la cuisine pour préparer le déjeuner, je le suivis et nous laissâmes Claire tranquille afin qu'elle se prépare pour sa demi-journée de travail.

 

Nous nous installâmes tout les deux à la table après avoir mis la cafetière en route. En attendant Claire, j'informai juste Claude que j'avais autorisé Alain à rejoindre sa femme pendant que je venais là, car ils en avaient besoin tous les deux. Puis je l'informai que j'avais l'intention de confier une mission à Alain qui le concernait lui, Claude, et qu'il y avait besoin de son consentement, en effet, je lui annonçai :

 

-" Tu as pu le constater Claude, Alain jouit d'être cocu mais aussi de plus en plus d'être soumis, humilié. Il fait même du zèle. Voilà, je souhaite lui demander de te sucer dans les heures qui viennent si possible. Je vais lui présenter la chose en insistant sur le fait que tu risquais de mal réagir bien sûr s'il entreprenait une telle chose, mais qu'il n'avit pas le choix. Je lui dirai fermement et sèchement de se débrouiller pour te sucer, devant Laurence et moi ou pas, comme il le souhaite... Qu'il se rabaisse devant toi, il sera excité et honoré que je lui demande cela, mais il va devoir cogiter pour que cela se passe au mieux...

Evidemment pour que cela soit possible, il  faut ton acquièscement, je conçois que n'importe quel homme n'ait pas envie d'être sucé par un autre..."

  

Claude considéra la situation et la proposition. Bien qu'aucun homme ne l'ait jamais sucé, il convenait que la situation de ces jours-ci était différente. Le feu de l'action. Etre sucé par le mari dont il avait tronché la femme devant ledit mari... Puis après quelques minutes de discussions à voix haute entre nous:

 

-"Je crois que je vais accepter. De toute façon, je verrai bien comme je réagirai une fois qu'il .. commencera... Mais je voudrais en fait qu'il soit obligé de le faire devant Claire, cela lui fera une surprise à elle aussi et je crois que cela l'excitera aussi. Pour le reste toi et laurence pouvez ou non être présent, je te laisse imaginer le scénario complet Carmure ..."

 

Claire nous rejoint à ce moment et nous changeâmes donc de sujet. Elle était habillée tout ce qu'il y a de plus normal pour aller à son travail. Je lui fis signe d'approcher,  et lui passer la main sous sa robe pour aller constater qu'elle portait une culotte. Je lui caressai le cul quelques secondes, elle se laissa faire.

-"Allez Claire bois ton café, Carmure va t'emmener au travail", lanca Claude qui était amusé par ma main pelotant le cul de sa femme.

 

-"Je passe au gîte pour m'habiller complètement. Claire, rejoint moi -z-y devant dès que tu as fini ton café, nous irons avec ma voiture", dis-je.

 

Puis je déguerpis en faisant un clin d'oeil à Claude.

  

Arrivé au gîte, je montai à la chambre, dans laquelle étaient toujours Laurence et Alain . Je poussai doucement la porte. Ils étaient enlacés face à face, sur le coté en train de faire l'amour, Laurence se laissait prendre en caressant la tête de son cocu de mari. Je lui fis signe de ne pas prêter attention à moi. Alain me devina et m'interrogea du regard, prêt à décamper si je le lui demandai ou en montrait la moindre vélléité. Je m'habillai. Puis je décidai à cet instant là d'annoncer la décision à Alain :

 

-" J'emmène Claire à Aubusson, continuez à profiter tous les deux. Alain, je veux que tu suces Claude avant 24 heures...  En présence obligatoirement de sa femme. Et de nous deux éventuellement. Voilà ... tu te débrouilles.... je sais que cela va t'exciter pauvre cocu. Bien sûr, ce n'est pas une mince affaire pour toi de savoir s'il ne va pas t'envoyer une torgnole mais cela fait aussi partie du scénario excitant. même en cas d'échec, tu seras content que l'on se moque de toi."

Bien sûr je ne lui ai pas dit pas que Claude était au courant.

 

Puis je m'approchai d'eux pour chercher la bouche de Laurence (elle aussi surprise de ma déclaration) avec la mienne et l'embrassai goulûment.

-"Ne t'inquiètes pas chérie, je m'occuperai de toi sérieusement aujourd'hui. Simplement n'oublie pas de me préparer de la pisse, je t'en prépare de mon coté".

Je descendis et passai à la cuisine prendre une bouteille d'eau. Claire arrivait au niveau du portail, j'allai lui ouvrir la porte de la voiture. Nous partîmes à Aubusson, et afin que son esprit se "branche" sur sa demi journée de travail et se libère des émotions des dernières heures passées, le voyage se fit dans le calme et la sérénité je lui posai à peine la main sur la cuisse pendant le trajet. Elle se détendait tête contre l'appuie tête. A aubusson elle m'indiqua la route de son bureau. Elle bosse dans une administration.

 

-"Je viendrai te chercher. A quelle heure?", lui dis-je.

 

-"12h 30... ... Tu n'as pas d'autres consignes à me donner ? "

  

Elle me demandait si j'avais des consignes pour elle!!  Pris de cours, je m'efforcer en quelques secondes de réfléchir, pour ne lui trouver que la trivialité suivante à lui proposer :

  

-"... Tu auras enlevé ta culotte quand je reviendrai à 12h30... Et tu auras réfléchi s'il n'y a pas un endroit sur ton lieu de travail où je pourrais te prendre. Cela sera excitant, non? "

-"Et bien voilà ... ... ... J'y réfléchirai et je trouverai ... A tout à l'heure chéri".

  

Elle venait de m'appeler chéri... Pour la première fois. Je décampai avec ma voiture pour revenir à St Bard dans le gite. 

 

Quand je revint, environ une heure après être parti, je remontai à la chambre. Alain et Laurence était côte  à côte sur le dos mains dans la main, se détendant.

Alain fut immédiatement attentif au moindre de mes gestes ou à la moindre de mes paroles. En fait je m'approchai de son coté, tout en défaisant ma braguette et arrivai à son niveau pour lui présenter ma queue. Il s'approcha du bord du lit et la prit.

  

-"ca t'excites je que je t'ai proposé tout à l'heure, n'est-ce pas, cocu?  allez entraîne toi deux minutes le temps de me faire bander pour ta petite femme,  et décampe..."

Alain me suça avec attention pour me faire bander. Laurence nous regardait en s'approchant je tendis ma main pour lui inviter à me doner la sienne. Elle me fixait des yeux.

  

-"Fous le camp maintenant, cocu. Laisse moi avec ta femme, elle a envie, et elle va me raconter un peu où vous en êtes tous les deux... Tu n'as qu'à allez faire tes lignes tiens...". 

 

Le cocu lâcha ma queue toute dure, se leva et sortit discrètement mais rapidement. Laurence vint le remplacer au bout de ma queue et l'engoufra le plus profond qu'elle put c'est à dire jusqu'aux couilles.

  

- "l'attitude de ton cocu m'excite vraiement, chérie. Il me donne envie de te baiser. Mais auparavant tu vas me pisser dessus, je vois que tu a pensé à moi...suis moi". Dis-je en voyant sur la table de chevet un bouteille d'eau quasi-vide.

  

Je sortis ma queue de sa bouche pour me lever et sortir de la chambre, suivi par cette pute. J'hésitai entre la salle de bains avec une scéance uro classique ou un autre scénario que j'essayais d'improviser.

Depuis le haut de l'escalier, nous aperçumes le cocu qui s'installait à la table pour écrire ses lignes probabalement. C'est à ce moment que je décidai comment allait se passer la suite, et je criai depuis le haut de l'escalier au cocu:

-"C'est cela ...commence à écrire tes lignes, mais dans cinq minutes interromps toi pour nous rejoindre dans la salle de bains."

  

    

Je n'en dis pas plus et continuai avec Laurence. Je décidai de ne pas aller à la salle de bains, mais dans la chambre du cocu, ce serait plus excitant, après être simplement passé chercher une serviette.

Je m'allongeai parterre sur le dos, accrochant d'une main le mollet de Laurence qui comprit où je voulais en venir et m'enjamba de l'autre jambe 'mencadrant le visage de ses deux pieds, mais restant debout.

-"Viens .. arrose- moi,  déverse-toi ... partout, ... vas-y", lui-dis-je.

  

Je la vis se caresser la chatte au dessus de moi et se préparer à pisser. Je fermai alors les yeux, seul endroit de mon corps interdit à la pisse ...  J'ouvris la bouche, je m'astiquai fermement ma queue raide avec mon autre main.

-"Tiens chéri, je vais t'asperger, .... houuuu quel bonheur", gémit-elle, a l'instant où elle allait uriner.

  

Les premières gouttes de pisse arrivèrent sou mon cou, puis le jet fut rapidement rectifié par Laurence sur ma bouche et mon visage. Elle poussait pour faire un jet le plu drû possible. Comme elle se branlait en même temps, la pisse abondait un peu partout dans un jet saccadé.

 

Elle resta quelques instants dans cette position m'enjambant et me pissant dessus, puis tout en continuant à déverser, elle commença à plier ses jambes pour s'accroupir, sa chatte s'approchant de ma gueule ouverte. Son train s'arretâ de descendre au moment où il entra au contact avec mon visage, me pissant cette-fois parfaitement dans la bouche. Sa main s'activait sur son clito, et je l'entendais gémir.

 

  

C'est alors que le cocu nous a rejoint, obéissant aux ordres qui venaient de lui être donnés. J'ai deviné sa présence à l'entrée de la chambre, il attendait les consignes.

Puis, alors que Laurence ne pissait plus que par intermittence, j'entrepris de me relever. Je m'essuyai succintement avec la serviette au sol. Je présentai ma queue raide à la bouche de Laurence qui était toujours en position accroupie.

Elle l'engloutit avec passion, continuant a se branler. Je regardais le cocu près de l'entrée. Il reagardai la scène, un peu étourdi et Il bandait, il était vraiement très excité sa queue tressautait. Mais il ne se masturbait pas.

 

-"Viens t'accroupir à coté de ta pute dans la même position qu'elle...", lui assénai-je sèchement. Il s'exécuta rapidement et ouvrit la bouche.

  

Je passai alors d'une bouche à l'autre, et de mes mains je rapprochai leur visage jusqu'à ce qu'ils soit en contact.

 

-"Vous êtes tous les deux des putes... Mes putes... mais aussi celle des autres hommes. Vous êtes un couple génial et parfait. La salope ... et la lope. "

  

Tous les deux attendaient leur tour avidement à chaque alternance, et alors que ma queue passait d'une bouche à l'autre, je laissai aller mon envie de pisser, et bien que je bande, le jet finit par sortir dans leur bouche (je ne sais plus par qui cela a commencé) ne me faisant  que débander que partiellement. Ils étaient excité à mort tous les deux et je constatai que dans leur position accroupie ils se branlaient à un rythme effréné en choeur quasiment. Je reculai alors d'une cinquantaine de centimètres pour les asperger. Ils avaient tous deux la bouche grande ouverte. Ils étaient soumis.

  

-"vous êtes un couple parfait, qui est fait pour être ensemble. je suis votre maître à tous deux, vous aimez que je vous oriente, vous épanouisse, que je gère vos débauches sexuelles".

Je finis de pisser sur eux. Ils fixaient ma queue, je m'adressai à Alain:

  

-"Je vais prendre une fois de plus ton épouse .... en levrette. Elle en a follement envie et moi aussi. tu t'allongeras sous elle pour nous lécher nous sucer et  nettoyer nos sexes pendant que je la lime".

   

J'invitai Laurence à  se mettra à quatre pattes. Je me positionnai derrière, attendant qu'Alain s'installe aussi dos au sol entre les cuisses de sa femme. 

Je la tins fermement par les hanches, avant de la pénétrer doucement . Le cocu leva la tête ce qu'il faut pour atteindre l'endroit de jonction entre la chatte de sa femme et ma queue. Il lappa nos deux sexes au rythmes de mes allées et venues dans la pétasse. De temps en temps je sortais ma queue de la chatte de Laurence pour l'enfiler quelques secondes dans la bouche du cocu puis, revenir dans le fourreau  de la trainée.

  

J'étais très excité et Laurence aussi commencait à exhulter. Elle entra rapidement dans sons état second, caractérisé par des onomatopées et quelques gros mots.

Elle hurla aussi à son cocu:

 

- "Tas de la chance, lopette, de voir mon cul d'aussi près quand je me fais trombiner par un vrai homme." Puis, à moi:

  

-"S'il te plait ...  dans l'anus, chéri....  c'est ... c'est urgent ... urgent ...!"

  

Je transférai ma bite depuis sa chatte vers son anus, et alors elle afaissa complètement son train et sa chatte sur le visage de son mari,  allant et venant latéralement sur sa gueule. elle couinait de plaisir.

De mon coté, tout en la tenant par le cul, j'ajoutai un peu de mon poids en continuant de la sodomiser. La gueule du cocu avait à moitié disparu dans la chatte de sa femme.

  

Voyant que j'allais décharger, Laurcence se mit à secouer dans tous les sens et eut un (nouveau) orgasme fulgurant. J'avais presque un peu peur pour Alain, mais il semblait que son nez ait tout de même la capacité à venir prendre un peu d'air pour respirer.  Je déchargeai donc peu après elle, dans son cul. Elle tremblait encore.

Nous nous sommes ensuite afaissés, le cocu se dégageant, et, alors qu'il filait discrètement hors de la chambre, je lui dis:

  

-"Tu nettoieras tout ce cela, soubrette. Je vais allez prendre une douche avec ton épouse."

  

Sous la douche, Laurence revint sur ces moments intimes (exceptionnels) passés avec Alain le matin, et me confia que Alain et elle avaient décidés de me laisser un double de la clé de leur maison à Trappes. Qu'il était temps que ce soit ainsi, confirmant que leur lit était le mien, que Laurence était ma pute et Alain le cocu, heureux, zélé et serviteur.  

  

 Elle confia aussi que ces quelques jours étaient durs pour Alain, mais qu'il fallait qu'il passe par là et qu'il connaissait en même temps des excitations extrêmes a voir Laurence le tromper d'une part, et à de plus en plus être pris pour une soubrette d'autre part.  Qu'il savait que sa vie future allait lui amener beaucoup de queues a sucer et qu'il attendait cela avec excitation, ainsi que les humiliations qui allaient avec. Qu'il commencerait comme ordonné par moi-même à essayer de sucer Claude. Qu'elle aussi était excitée à tromper son mari; à se faire baiser n'importe où et par nimporte qui. Bref, elle était nettement prête pour plus et plus encore. 

    

-"Aujourd'hui tu dois appeler Olivier. Ce qu'on pourrait faire, c'est de dire à ton mari de lui téléphoner, pour qu'il lui dise quelques mots 'encourageants', puis de te le passer au téléphone.".  Je suis certain que cela va faire bander ton cocu rien que de lui évoquer cela, et que toi aussi ca va t'exciter ?"

   

-"Comme tu veux, chéri. Je veux bien même faire passer mon mari pour un minable auprès d'Olivier dès qu'il me passera le combiné. Je crois que finalement cela va exciter tout le monde ..."

 

Par jetdor man - Publié dans : uro a trois, cocufication
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