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Mardi 18 juillet 2 18 /07 /Juil 17:10

REPRISE DES ARTICLES SUR MES AVENTURES.  Désolé pour ces mois d'attente.

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En fait nous ne refimes pas de galipette ni quoi que ce soit avant l'arrivée de nos chers 'voisins'. Nous sommes restés dehors allongés l'un à coté de lautre Laurence et moi, pendant  que son mari se démenait à préparer la soirée.

Claire et Claude se sont présentés exactement à 19 heures, je me souviens Alain tout excité faisant la remarque au moment où l'on entendit taper sur le portail :

- "en plus, ils sont à l'heure".

 

Il alla de son propre chef ouvrir au portail. Ils s'étaint mis sur leur 51 surtout Claire. Chaussures talons, robe élégante foncée, légèrement ample, deux bretelles légères, légèrement décolleté. C'est elle-même qui s'approcha de moi pour me tendre une bouteille de Champagne des plus fraîches. Son regard cherchait le mien.

'je n'ai pas eu le temps cet après-midi' de venir vous voir ...'  commenca-t-elle.

 

Je remarquai qu'elle parlait ouvertement sans se cacher de son mari à peine à 2 mètres d'elle, ce que je considérai comme un bon signe. Je luis serrai chaleureusement la main, et ne la relachai pas immédiatement transformant ainsi cette poignée en caresse, le long de l'avant bras. Elle ne fuit pas au contraire elle laissa le bras tendus.

A coté de nous, Claude et Laurence se firent  l'accolade , j'apercus la main de claude en profiter passer légèrement sur les fesses de ma maîtresse.

 

Alain, de son coté, préparait l'apéritif et s'employa à disposer les chaises pour nous quatre, tout en guettant la moindre sollicitation de ma part, ou de nimporte qui d'autres d'ailleurs.

Puis il finit par approcher et saluer le nouvel amant de sa femme, ainsi que Claire. Il fut clair :

- "nous sommes tous les trois heureux de vous recevoir, vous me considérerez comme votre serviteur. ne me ménagez pas.  Laurence et Carmure m'ont demandé d'être discret et disponible".

 

Nous ne lui avions rien demandé du tout. Simplement, il jouait son rôle de soumis comme un grand. Il anticipait, prenait des initiatives verbales  dans la cadre de son activité principale ! De plus l'ambiguité possible de son message prouvait qu'il tenait à être délicat, même cocufié par le gars dont il serrait la main. A cet instant là, je pensai vraiment qu'Alain avait finalement un don et qu'il se découvrait de jour en jour, qu'il s'épanouissait à nous le montrer , à sa Femme chérie, à moi et même aux autres...

 Pour abonder dans cet esprit, j'allais justement d'un ton sec lui signifier de nous laisser,histoire de l'humilier légèrement ainsi qu'il en avait envie,  mais Laurence fut plus prompte que moi et lui adressa

- "Mon chéri c'est bien, maintenant sers nous du Champagne, n'oublies pas que tu ne peux en boire ...et laisse nous un peu tranquille ..."

- "oui, oui, ma chérie " fit-il en s'en allant vers la table avec la bouteille.

 

Pendant cette brève  intrusion du cocu, j'avais remarqué que Claire me scrutait. Je pris une initiative.

- "Mon cher Claude, je désirerais parler à votre épouse quelques minutes en aparté, vous permettez."

 

Claude n'hésita pas à ma metrre à l'aise:

- "Je crois que nous ne sommes pas ici pour discuter politique, et mon épouse souhaite se faire pardonner son absence de cet après-midi". Considérez que vos envies sont les notres, et pour ma part votre amie m'a déja honoré de ses atouts alors je serais malvenu de m'opposer ..."

Tranchant. Concis et clair. J'invitai Claire à me suivre dans la maison, la guidant la main sur l'épaule. j'étais dans son dos a un mètre d'elle.

-""vous n'êtes pas faché, pour cet-après-midi ? "

- "c'était bon de vous attendre",  lui-dis je.

 

 

Je posai ma main sur son cou, et la caressai d'un seul aller. elle frisonna légèrement. Ma main descendit dans son dos et perdit le contact avec sa robe au niveau de la hanche.

Je l'incitai alors à s'approcher de la table, puis je repris ma caresse cette fois jusqu'en bas du dos. j'allai directement sur les fesses et je m'accroupis. Elle ne résista pas et pencha la tête en arrière. J'apppuyai alors ma tête contre sa hanche et le tissu de sa robe. Ma main elle redescendait pour arriver au jiveau de sses mollets que je massai quelques secondes. Puis elle remonta sur ja jambe , mais cete-fois ci sous sa robe. Je massai son genou puis sa cuisse, je commencai aussi à la mordiller le coté de la fesse a travers la robe.

Puis je me relevai et vint debout contre elle, la poussant légèrement pour appuyer le contact contre la tables. Ses mains était posées et je l'embrassai dans le cou.

C'est alors qu'elle entreprit de se confier, plus exactement de confier elle et son mari:

-"Autant etre clairs désormais, mon mari et moi ne savons pas trop ce qui nous arrive et dès votre arrivée nous avons été troublés par votre attitude à tous les trois -comment dire -libertine.  Nous en avons parlé longuement entre nous mon mari et moi, nous étions époustouflés, éberlués, mais pas insensibles aussi. Il n'a pa pu cacher qu'il était excité par celle qui s'avère être votre maîtresse, et moi aussi j'étais plus que troublée par tout ceci. Nous avons encore et encore discuté et nous avons décidé de nous laisser aller à cette sorte danse que vous nous proposiez. Ensuite, quand nous avons compris le  jeu complet et son mari cocu, cela a achevé de nous exciter encore plus, au lieu d'être choqués. nous avons en fait fondus et nous nous sommes autorisés l'un l'autre à se laisser solliciter pour vous deux.

Puis ce matin... Mon mari est revenu.  Qui m'aurait dit il y deux jours que je prendrais mon pied a imaginer mon mari s'envoyer en l'air avec une magnifique plante provocante ?

Savez-vous pourquoi je n euis pas venue cet après-midi ? parce-que nous nous sommes envoyés en l'air mon mari et moi comme des sauvages.  Il me disait entre autres "va le rejoindre ! va le rejoindre ! " en parlant de vous. Il me parlait aussi de Laurence....  bref, vous nous transformez..."

 

Elle s'arreta de parler. J'ai compris qu'elle venait de se libérer d'un poids et qu'ainsi elle permettait a nous quatre, nous cinq si on compte malgré tout le cocu, de franchir une étape dans nos échanges ...

Après quelques secondes je ne fis pas référence à ce qu'elle venais de narrer et je lui dis simplement :

- "vos seins, .... Claire ... ", et en même temps mes deux mains vinrent les englober à travers sa robe. Je commencai à l'embrasser dans le coup l'oreille, la joue.

- "je vais m'occuper de vous, rassurez-vous", lui dis-je, avare de mots.

 

Puis je l'entraînai dehors de retour vers les autres. Arrivés sur le palier nous vîmes la scène suivante : Claude et Laurence étaient debout l'un contre l'autre à se rouler une pelle, elle appuyée contre la table, cuisses à moitié écartées, lui debout entre, à la frotter de gauche a droite, la main sur son cul, sous sa mini-jupe. Les deux étaient toujours habillés. De son coté, elle avait la main appuyée contre lui au niveau du short ...

Plus loin, à 4 mètres de là de l'autre coté de la table le cocu était assis et tenait un verre d'eau à la main. Il nous fit un signe avec l'autre (main) comme pour indiquer qu'il était présent disponible et qu'il consommait bien en direct sa cocufication,  en voie de développement perpétuel.

Je pris un verre de champagne que ce même cocu avait préparé, le tendit a Claire qui était déja émoustillée à ce qu'elle venait de confier d'une part et à la scène de la pute avec son mari d'autre part. Je regardai du coté des deux tourtereaux en attendant que Laurence ne m'apercoive par dessus l'épaule de son dernier amant pour lui indiquer que nous souhaitions trinquer. Ils se défirent alors et nous rejoignirent.

Il n'y eut pas de mots spécial a ce moments, tout le monde était détendu et conscient que tous les noeuds étaient maintenant défaits (permettez moi l'expression) pour la suite. Nous trinquâmes tous les quatre avec des regards complices. Puis je tendis mon verre en direction du cocu, qui resta assis où il était en tendant son verre d'eau. Laurence lui cria tout simplement

-"a ton bonheur mon chéri...mon petit toutou"

 

Puis sans attendre la réaction de son cocu, se retourna vers Claude et lui roula une pelle. Ca y était son starter de chaudasse était clairement allumé.

Je pris alors le verre de Claire et posai les deux notres sur la table. Je l'enlacai et commencai a l'entreprendre avec ma bouche à travers sa robe et mes mains. Puis à genoux je lui malaxais les jambes. Elle me retint un peu. Je me dit alors que Claire, ce n'était pas Laurence et qu'au niveau exhibition il fallait respecter le peu d'expérience qu'elle avait probablement en la matière.

Je me relevai donc et l'entraînai à nouveau à l'intérieur de la maison. J'en profitai pour crier au cocu:

-"Alain, merci de ne pas nous déranger et de rester dehors.  de tout façon le spectacle pour toi y est."

 

A peine rentrés, nous nous jetions l'uns sur l'autre, mes mains envahissant sous sa robe et partnat sous sa culotte. ma tête dans sa poitrine.  Elle était surexcitée.

-"tu n'as pas une chambre ?"  ironisa-t-elle en me tutoyant pour la première fois.

-"Nous avons le temps" répondis-je

 

Je me relevai et la prit par les fesses pour la déposer sur la table. j'ouvris ces cuisses, écartai sa culotte et entamai un cunnilingus forcené. Elle ne résista pas,et je sentais qu'elle se déshinibait de certaines choses. A l'extérieur j'imaginais très bien que cela devait progresser pas mal nous plus entre Claude et la salope.

Je me relevai contre Claire. Elle descendit doucement mon short d'une main. Je sentis ensute celle-ci entourer ma queue durcie. Sa main était brulante. Elle m'attira vers elle plus près encore, par la queue, et la présenta à son sexe déja mouillé.

L'envie brulante nous permettait de simplifier les préliminaires. Je la pénétrai facilement, ou plûtot elles m'aspira avec son sexe. Quelle douceur et quelle chaleur. Mes mains commencaient à dégager ses seins l'un après l'autre. Nos bouches se mangeaient. Nous fimes l'amour ainsi rapidement. Sa main pelotant ma fesse, son autre main me caressant les couilles furent des arguements suffisamment convaincants pour que je jouisse en elle.

Cette première relation plûtot bestiale était le résultat d'un travial cérébral de deux jours. Je l'embrassai ensuite partout où je pus, n'hésitant pas à revenir sucer son sexe dégoulinant de mon sperme. Ce qui la fit éclater de rire.

Je lui dis, autoritairement

- "enlève ta culotte, tiens la a la main et allons rejoindre les autres".

 

Elle m'obéit. Nous sortimes. Laurence et Claude n'étaient plus devant là table. Une seconde à scruter les alentours, ou plutôt a voir qu'Alain regardait en direction du portail  (toujours assis avec son verre, mais il s'était reculé de cins bons mètres encore, probablement pour paraître plus discrets en temps que voyeur-cocu), et nous aperçumes de dos Claude en train d'aller et venir tranquillement dans la pétasse qui était debout a l'équerre contre le portail, jambes écartées, le reste invisible car caché par son cul et par Alain aussi il faut bien le dire, qui la tenait par les hanches.

J'observai la réaction de Claire devant cette scène. Elle n'apparut pas troublée me regarda et me confia amoitié ironiquement:

-"j'ai pris du retard sur lui en 24 heures" ,  puis continua: " ...  je propose de le rattraper avec toi"

 

Je l'ai prise dans mes bras et  nous nous sommes assis à reprendre nos verres de Champagne, elle appuyée contre moi. Trois minutes après , Laurence et Claude nous rejoignaient. Laurence était cul-nu et a demandé à Claire si elle était gênée de ce fait. Claire l'a rassurée en affirmant que cela faisait partie de cet  ambiance détonnante de ces derniers jours et que de plus son corps étant magnifique elle y trouvait elle-même une source d'excitation. Claire dénoua même complètement la chose en affirmant :

-" Il n'y a pas que mon mari, votre amant et votre cocu à vous trouver belle et à ne pas résister a à vos charmes pour vous mater, moi j'apprécie aussi ! "

 

Par jetdor man - Publié dans : uro a trois, cocufication
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