jet doré pour couple(s) pisseurs et pisseuses - uro hard, cocu, soumission, ...

Nous sommes donc passés dans la salle de bain. J’ai ordonné à Laurence : 

- penche toi dans la baignoire, appuie-toi sur les mains au fond, et offre moi ton beau cul. 

Je l’ai dit d’un ton arrogant car je commence à comprendre que cela les excitait tous les 2,  

Ce ton arrogant, en vue de soumission aussi. Laurence est chaude, mais quand on est directif elle est encore plus excitée, et c’est ce qui plaît à Alain  aussi, à n’en pas douter. 

Je me suis donc approché d’elle lui ai aspiré l’anus avec la bouche, tout en titillant sa chatte avec les doigts, et en faisant même un petit crochet avec ceux-ci comme si je vous lais me pendre à son vagin. Puis j’ai sorti la tête de son cul et leur ai dit : 

-dites donc, j’ai encore pas baisé ta femme par la chatte, tu as remarqué Alain … 

-oui, mais tu sais que tu peux, bien sûr. Laurence m’a dit qu’elle en crevait d’envie, d’ailleurs moi aussi, mais elle avait peur de te demander de peur que tu ne te faches sous prétexte que si elle demandait cela casserait le charme.  

- elle a raison tu sais, ta pute. De plus, je voudrais éjaculer d’une manière originale dans sa chatte, mais j’attends d’avoir décidé comment exactement. D’autant plus que,  plus cela mettra de temps, plus ta poufiasse sera excitée, n’est-ce pas ?  

Puis sans leur laisser le temps de répondre, j’approche à nouveau ma queue du cul de Laurence, qui est splendide la tête dans la baignoire et croupe en l’air. Je reprends la même position que dans la chambre 5 minutes auparavant.  

-tourne ta tête en direction de ton mari, Laurence. Toi Alain vient à coté de moi que je te branles encore un peu.  

Alain s’approche à nouveau et je reprend la double cadence.  La même cadence avec ma bite qu’avec ma main. J’ajoute des paroles, qui je le sais désormais vont les exciter tout les 2 :  

-Je n’ai pas arrêté de penser a toi, Laurence dans les 2 derniers jours. J’ai plein d’idée de scénarios qu’on va pouvoir faire, avec ou sans ton mari.  Mais il faut que tu soit consciente, et toi aussi Alain, que c’est bien beau d’être une chaude salope, mais que au quotidien, il faut assurer. De plus je voudrais que ce soit clair : tu n’as pas le droit de refuser aucun scénario Laurence, sinon  c’est la fin de notre aventure a tous les 3. Seul Alain pourra éventuellement faire des remarques et des suggestions à partir de maintenant. Il devra s’efforcer de m’aider à saisir vos envies et tes envies. Bien sûr vous pouvez, tout comme moi, mettre fin sans préavis a nos vicissitudes ….  Est-tu d’accord avec cela Laurence, je t’tautorise à répondre ?  

- Oui, je ferai ce que vous voudrez. Je veux que vous m’obligiez à faire des choses que je refuserais même à mon mari …  

Je dois dire qu’elle m’en a bouché un coin avec cette réponse, et j’ai regardé Alain, qui a rajouté :  

-oui, on en a déjà un peu parlé ensemble Carmure, Laurence veut être une Pute avec un grand P, vous êtes son maître, je suis son mari. Elle voudrais me cocufier, pas seulement avec vous-même, si cela reste sous votre gouverne. Je veux qu’elle connaisse d’autres foutre que le mien, en  ou sans ma présence … 

-…  j’ai compris , leur ai-je répondu ; tout en continant à le branler.  

Puis j’ai laché sa queue et reposé ma main sur la hanche de femme.  Elle commençait à gesticuler la tête dans tous les sens , et a baragouiner comme elle le fait apparemment a chaque fois qu’elle prend son pied. …   

Elle regardait en notre direction la tête tournée vers le haut, en ouvrant la bouche comme pour attraper tout ce qui pourrait sortir de la bite de son mari qui était tendue en sa direction.

- Laurence tu veux son foutre ou sa pisse dans la figure ? 

- je … je ferai ce que tu veux. Oh la la Oh la la !!    Les deux si tu veux. Oui c’est cela je crois que j’ai envie de boire du sperme et de la pisse … 

 je dis donc a Alain :  

- Allez pisse sur ta femme, donne lui à boire. Pendant ce temps je vais décharger dans son cul …

J’entrepris Laurence donc de plus belle, en la bousculant fort avec ma queue tout en lui donnant des claques sur le cul, alternées avec des caresses sur ses seins qui ballotaient. Alain qui bandait toujours, mis un certain temps avant de pouvoir pisser, puis un jet sortir, avec une trajectoire bien parabolique, qui alla d’abord sur le mur en face puis qui fut rectifié illico par Alain qui atteint l’épaule et l’avant bras de se femme.

Laurence se mit à gémir en ouvrant la bouche et en essayant d’attraper le jet . Elle essayait de bouger la tête, puis Alain réussit à atteindre sa bouche. Le jet était franc et laminaire. Laurenc ferma les yeux comme pour apprécier encore plus. 

De mon coté je continuais à la pilonner en les abruvant d’insultes tout les deux et en malaxant les tétons hypers tendus de Laurence. Je déchargeai assez vite, en hurlant à Alain :

- ce qu’elle est bonne, ta pute Alain, ouh la, ce qu’elle est bonne … » 

Laurence eut aussi des spasmes et émit un gémissement rauque. Alain dirigea son jet de pisse toujours aussi franc sur son flanc. 

J’empoignai alors sa bite, ma propre queue étant toujours dans le cul de sa femme. Je me penchai en avant sur le dos, et orienter le jet dans ma bouche en disant :

-moi aussi j’en veux, peitit cocu … 

- ohh … ohh  c’est génial !!  dis sa pute. Ses yeux sortaient de ses orbites en regardant son mari me pisser dans la bouche. Elle crevait d’envie de boire encore, mais devait attendre que je le décide. Je sortir le jet de ma bouche , qui commencait à faiblir. J’ai réussi a en avaler un peu. Puis je fis redresser  Laurence debout, tout en disant à Alain : 

- pisse-nous dessus, c’est pas grave pour le carrelage, tu nettoieras après.  

J'ai pris Laurence par les bras, et l’embrassai sur la bouche, mélangeant nos langues pleines de pisse. Elle se laissa faire sans aucune difficulté, toute attendrie même et flattée, elle se laissa faire, les yeux dans les miens. Alain finit de pisser sur nous, alors que nous nous roulions une pelle et que je malaxais les fesses de sa trainée. Je lui embrassei le cou, elle pencha la tête en riant de bonheur et en disant :

-  oh mon amant, mon amant, c’est le pied … et mon cocu de mari qui nous pisse dessus. 

Alain finit effectivement de pisser. Nous nous occupions plus de lui. Je me suis mis à genoux le visage dans la chatte de sa femme, j’ai incité celle-i à lever la jambe et lui fit un cunnilingus. Tout en enfilant deux doigts dans son cul, qu’elle écarté elle –meme d’une main. Elle posa la jambbe sur le bord de la baignoire et se caressa les seins. J’entr’apercus son mari qui s’ était reculé jusqu'à la porte en nous regardant et s’était mis à se branler. 

Mon nez, ma bouche mon front, tout était utilisé pour branler Laurence qui eut un petit orgasme. Elle se mit a trembler, elle se plaint aussi que sa vessie lui faisait mal tant elle avait envie de pisser. Je lui dis qu’il fallait qu’elle attende un peu.  

Je restai assis par terre. Alain continuait a se branler. Laurence et moi le regardions en reprenant nous esprit.  Je lui dis :

 -attends une minute acant d’éjaculer si tu peux le cocu …. J’ai une peitit idée mais il faut jsute que Laurence reprenne un peu de soufle et que j’aille chercher une coupe de Champagne.

 Je filai dans le salon revint avec une des coupes de Champagne et la présenter à Alain. 

-vas-y vide toi dans le verre de ta femme.

 J’empoignai meme les couilles d’Alain pour l’aider à éjaculer. Ce qu’il fit rapidement, une bonne partie du sperme alla se mélanger auc champagne … 

Je présentai le verre à Laurence, et lui dit : 

- tiens bois chérie, c’est du foutre de cocu … 

- Mhhh super .   Et elle prit le verre et ingurgita tout. Puis elle dit à Alain. –tu as de la chance de vivre avec une salope comme moi, mon chéri.

C'ets pas encore fini, c'est long a raconter une aventure pareille .. alors a bientot pour la suite (et la fin j'espère).

Alors que nous ne devions nous contacter et nous voir que Jeudi, hier soir Laurence elle-même m'a appelé sur mon portable. Je ne lui ai pas demandé comment elle avait eu mon numéro, sachant que jusqu'a maintenant Laurence, Alain et moi-meme ne nous contactions que par le téléphone d'Alain et que donc soit Laurence avait inspecté le journal du portable d'Alain pour m'appeler à son insu, soit c'est Alain qui a ordonné à Laurence de m'appeler en lui donnant donc mon numéro, et en lui demandant de faire comme si c'était de son initiative à elle. Je penche pour cette deuxième version, compte tenu de la nature de la conversation téléphonique que j'avais eu avec Alain Lundi (voir mon article précédent).

Je vais essayer d'etre le proche du texte réellement prononcé lors d ela conversation :

- allo, Carmure ? (mon alias pour ce blog) ... Bonjour c'est ...c'est Laurence (vois hésitante, sensuelle)

temps de silence de ma part  sous la surprise, je n'ai que quelques secondes pour décider de mon attitude ...

- Ah bonjour Laurence... Je pensais justement a vous . Comment se fait-il que vous m'appeliez, j'avais convenu avec votre mari des détails pour jeudi ...

- Vous ... vous pensiez à moi  ?  ... moi aussi... Enfin je veux dire a vous, je ne pense qu'a vous depuis 2 jours, et mon mari et moi avons fait l'amour toute la nuit pendant deux nuits,nous n'avons jamais été dans un état pareil, suite à la rencontre de la semaine dernière, et à celle qui vient Jeudi ... c'est pour cela que je vous appelais, j'avais trop envie de me confier et de vous entendre ...

- votre mari sait que vous m'appelez ?

- non ...   

puis, Sentant probablement la question que j'allais lui poser , elle continue :

-  j'ai obtenu votre numero en consultant son portable. De plus, certaines choses me laissent a penser qu'il souhaiterait .....  qu'il souhaiterait  enfin comment dire ... , ... que je sois votre Maîtresse. Peut-être que je me fais des idées, si c'est le cas alors je veux bien être punie . Oh je suis désolée, je n'aurais pas dû vous appeler mais si vous saviez comme je prends mon pied avec mon mari et en pensant à vous et comme je sens que votre arrivée va décupler ce plaisir.  Oh excusez-moi je dis nimporte quoi ....

je repense alors au contenu de la conversation que j'ai eue Lundi avec Alain, et son souhait à terme d'etre cocu ... sans préparer le terrain, je lui dit crûment:

- vous vous etes masturbée combien de fois en pensant a moi, ces deux derniers jours, sale trainée ?

- ohff, plusieurs fois,  (je sens son excitation dans la voix) je l'ai même fait devant Alain a sa demande, j'ai hurlé votre prénom en jouissant, il m'a pissé aussi dessus encore plusieurs fois, cela le comble de plaisir de me voir aussi en chaleur ... et moi j'aurais tellement eu envie aussi que vous m'aspergiez dessus, dans le cul, dans la bouche, et aussi vous pisser dessus aussi comme vous aimez.  Alain m'insulte comme une putasse que je suis. Oh je voudrais tellement être votre putasse aussi a vous, .. pour Alain,  pour vous ....... (elle se calme un peu) . Oh excusez moi ...

-Laurence, écoutez, ce n'est pas grave vous aviez envie de m'appeler, meme si ce n'était pas prévu, je ne le dirai pas à Alain, mais seulement cette fois. Il faut que vous sachiez que vous pouvez faire ce que vous voulez, mais Alain doit savoir tout ce que vous faites avant ou après que vous ne l'ayez fait. Je lui ai fait des propositions à votre égard, je pense que nous allons bien nous épanouir tous les 3. A commencer par l'uro.

Puis je zappe la conversation, revenant à ce qu'elle disait plus haut :

- Je réfléchirai à une punition pour vous, pour la scéance de Jeudi éventuellement, sinon plus tard. D'ailleurs jeudi sera un grand jour pour une salope comme vous. Alain a de la chance d'être avec vous, il en est conscient, et je pense qu'il vous aime et veut votre plaisir, votre jouissance. Vous êtes un couple épanoui. Je respecte les couples épanouis et je souhaite aider votre mari à vous parfaire en pure jouisseuse, urophile, salope et trainée, que vous êtes déja et que vous souhaitez être encore plus du bout des cheveux jusqu'aux ongles de pieds ... Voila Laurence,nous nous voyons Jeudi,préparation des vessies dès le matin, ensuite vous n'avez plus qu'a vous laissez aller dans le rôle. Autre détail puisque vous m'appelez : mettez du rouges à lèvres, ostensiblement, que tous ceux que vous croiserez comprennent au premier coup d'oeil à quoi ils ont a faire ..

- Oui, Carmure, je le ferai ... vous vous avez d'autres souhaits ? ... vous savez, vous pouvez tout me demander ..(elle était a nouveau dans un état second, rien qu'a sa voix)

- je sais bien que je peux tout vous demander. Je le ferai en temps voulu, pour Alain et Vous. Allez a Jeudi, Laurence.

- je vous embrasse, Carmure, et je me caresserai encore en pensant à vous, pour mon mari ...

et nous avons raccroché.