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Mardi 9 août 2 09 /08 /Août 00:00

...

Nous sommes donc descendus pour aller diner. Tenue quasi pute de luxe, maquillée, radieuse ... 

  

Petit tour de chauffe sur la place du marché, histoire d’évaluer l’offre en bars, restaurants, terrasses d’une part, et d’autre part de promener la pétasse, de lui faire sentir aussitôt dans la rue, des regards insistants sur ses jambes, rendues longues pas les talons,  sa poitrine généreuse, sur ses fesses a peine cachées sous sa raz-la-moule de course. De plus on n’est pas à St -Trop mais a valéry en Caux : la blonde dénote quelque peu ! dans cet environnement touristique limite familial.  

Comme il n’est pas très tard, je souhaite déjà prendre un apéritif dans un bar ou une terrasse, il fait encore jour à cette heure surtout à l’ouest le soleil offre une belle lumière  sur la partie haute des habitations. 

 

Après un premier tour de la place du marché d’une dizaine de minutes, qui s’avère déjà une pré-mise en condition pour Laurence . 

  

- " il me regarde tous, chéri, c’est incroyable, c’est excitant à mort mais nouveau , on …on ne risque rien ? il y en a aussi qui me regardent  d’un sale œil, des femmes aussi ..."

- "qui ? les femmes de bidochon ? les vieux impuissants ? les frustrés ? oublie-les. Tous au plus l’un d’entre eux de traitera de trainée. Ce que tu es et te fera plaisir d’entendre. Pense plutôt à tous les autres qui t’ont déjà repéré. Les 25 à 50 ans par exemple, seuls ou avec leur compagne. Tu peux être certaine que certains ont modifié leur trajet d’au moins quelques mètres en t’apercevant, pour t’approcher de plus près. Tiens va à cette terrasse, je te fais confiance pour trouver une place stratégique. Tu commandes deux jus de fruits et n’oublies pas de boire ton eau. J’arrive dans une minute …"  

 

 J’ai laissé Laurence seule quelques instants. J’ai feint d’aller voir une vitrine plus loin pour laisser les choses se décanter autour d’elle. De loin  j’ai observé. j'ai observé qu'on l'observait ...

Laurence a hésité avant de trouver une place. Sur la terrasse il y avait 3 ou 4 personnes, les tables étaient assez denses, le style était design. Elle a enfin choisi sa place, à plusieurs mètres mais en vis-a-vis d’un couple. Il y avait 2 autres jeunes hommes ensemble à une autre table mais du coté latéral et séparé de nous par une autre table vide. 

Laurence s’est assise coté de l’allée. Je pouvais constater que son flanc droit et sa jambre droite était visible de loin dans l'axe de l'allée principal, sa tenue ultra-courte était sans équivoque, surtout pour quiconque  viendrait sur la terrasse : il ne pouvait voir que cette jambe nue lui  narguer la vue.

Par contre hors de la terrasse on n'yavait pas vue sur l'intérieur de celle-ci, hormis dans l'axe principal comme dit ci-dessus.

Je l’ai rejointe, en me plaçant légèrement en diagonale de la table , de dos donc pour qui viendrait sur cette terrasse.   

 

« enlève ton string et pose le sur la table. Ecarte légèrement ta jambe du coté de l’allée. Comme si tu voulais qu’il y ait une file de mecs  qui te lorgnent depuis la rue dans l’axe de l’allée et cherchent à mater ta chatte !

Allume les deux jeunes à droite, mate aussi le couple en face ...! " 

  

Le serveur est arrivé avec les jus de fruits. Il m’a regardé, l’air celui qui vérifie tout d emême la réaction du mec qui se promène avec une femme chatte à l’air.

j'ai dit au serveur: 

- « nous venons d’arriver à St Valery, il y a des belles choses a voir ici … ma femme est toute excitée d’être enfin arrivée … »

J’attends sa réaction en guettant Laurence qui le fixait des yeux en balançant latéralement sa jambe. Le bord de la table m’empechait de voir, mais il est certain que le serveur pouvait voir sa chatte. Puis j’ai repris …  

 

" ... nous voudrions faire une petite ballade sympathique  que nous vous conseillez-vous ? .. »

  

Le gars a apercu la culotte sur la table en posant les verres, mais n’a rien dit évidemment.  

Il s’est mis à bredouiller complètement :

- « je je ...  il y a les chemins qui suivent le long des falaises par des escaliers. De chaque coté de la ville. Vous vous … prenez par  …. »

 

Je l’ai interrompu. déstabilisé, c'était le moment d'attaquer :

 

« A quelle heure finissez-vous votre service ? 

 

- «  11 heures ou minuit, ca … ca depend de mon collègue …je je  ...»

 

Il était mûr pour la recette que l'on voulait. La stratégie dans ces cas là et de ne pas laisser le temps à la personne de se débiner  et de trouver des faux arguments pour éluder. Il faut lui ouvrir un boulevard qu’il souhaite inconsciemment pour qu’il puisse faire ce qu’il aura envie de faire dès qu’il aura quitté la table , au plus profond de lui, à savoir : se taper la pétasse qui se dodeline et lui a exhibé sa chatte devant lui en présence de son mec. Il faut le surprendre pour avancer. Qu’il n’en croit pas ses yeux ni ses oreilles. Donc sans lui laisser le temps de parole, et comme il est pas con il va lire entre les lignes vite fait, bien fait ; Il faut lui tendre une perche qu’il sait qu’il ne reverra pas de sitot, tout en estimant intuitivement et en jaugeant en permanence de ne pas provoquer en contre-partie un geste dont il se méfierait, ou qui le rebutterait . Il faut le pousser du coté vers où il penche, mais vers où beaucoup de conventions le barrent. 

- « … Ecoutez ma femme tiens absoulment a faire cette promenade et nous ne connaisssons pas encore la ville. Ce serait bien si nous avions un guide. Je vais vous laissez un numero, un quart d’heure avant de terminer votre service, vous nous appelez. Nous serons soit au resto, soit en train de nous promener dans les alentours. Nous vous rejoindrons, et vous nous montrerez cette promenade. Nous vous paierons bien sûr  pour le dévouement "

... Tiens Laurence donne moi le papier et crayon, s’il te plait., pour noter au monsieur»

 Elle sort tout cela  cela de son sac. Je note sur le papier, comme avec le routier:  

« Laurence la chaleureuse – n0 tel de Laurence +  mot de passe papillon 2 ».

 

puis après hésitation, j’ai décidé de force la dose, j’ai rajouté :

 

"Si vous pouviez boire beaucoup d’eau avant minuit et ne pas aller aux toilettes."   

"Nous avons des préservatifs".

Puis pour le rassurer si l’idée lui venait que cela pourrait être un piège : 

  

« bien sur, ma femme sera très émue si vous proposez à un des vos amis de venir ».  

J’ai plié le mot pour qu’il ne le lise qu’après être rentré dans son bar, lorqu’il est seul avec lui-meme complètement excité. A la lecture du mot , le doute qu’il aurait pu avoir sera levé sans problème !   

Il a hésité puis s’est retourné en partant , son cerveau devait fonctionner à 150 a l’heure, car il est reparti bredouillant incompréhensiblement encore un truc du genre :

- « madamme est ...  très, très ….   A tout à l’heure , je je crois ». 

Laurence l’a regardé partir. Puis elle m’a regardé : 

 

 je … je n’en reviens pas ! !  C’est .. c’est extra-ordinaire ton approche . En plus ca m’excite bordel.

 Ohh Carmure …si on ne le revoit pas ce soir, promet-moi de me ramener ici demain pour m’aider a me le faire , car la y faut que je m'alimente ! ? » 

  

-« oui, et ce serait bien que tu en prennes de la graine à l’avenir. C’est toi qui a un beau cul, pas moi, toi qui as  envie d’être sautée, et toi qui dois cocufier ton mari.  

 

Allumer les mecs c’est un bon début, mais pour passer l’étape qui mène à se faire défoncer et baiser sur commande, il faut faire preuve de psychologie, de spontanéité, de répartie, de pouvoir de conviction, d'analyse d'une situation. Surtout lorsqu’on est pas dans un lieu de baise a priori comme un club ou une rue à putes,  ou au Bois de boulogne… » 

 

-« Oui oui ... chéri, je je … ...    Dis, je n’ai pas vu ce que tu as mis sur le mot, mais je suis sûre que tu m’y a traitée de pute pour le serveur, ca m’excite.  Merci Carmure. »   

 

J’ai mis la monnaie sur la table avec un bon pourboire, j’ai dit a Laurence de boire beaucoup d’eau et nous sommes partis en quête d’un restaurant.  

 

« n’oublie pas ta culotte  sur la table , chérie » 

 

En quittant la trerrase, les deux jeunes de l’autre table avaient saisis notre manège. Je lui ai dit doucement.

« Baisse toi pour faire semblant de rajuster ta chaussure, ton cul ostensiblement vers eux .. » 

 

elle s’est éxécutée avec plaisir ...

Jj’ai passé ma main sur sa croupe sans les regarder mais en sachant que leur yeux devaient être rivés, j’ai relevé complètement la jupe de Laurence un bref instant en caressant son cul splendide, et j’ai dit a laurence , plus fort pour qu’il entendent et les rendre fou d’excitation. 

 

« ce soir ton cul va être une autoroute en ville. »

 

j’ai farfouillé jusqu'à sa chatte. Elle mouillait encore , au toucher de mes doigts elle a même émis un petit soupir de plaisir. Magique.  

Puis j’ai décidé que nous déguerpisssions. 

 

Pour le restaurant c’est la configuration des tables qui m’intéressaient et le nombre,  et l’allure des gens dedans. Pas le nombre d’étoiles. (bien sûr pas un truc crading non plus).  

 

C’est pour cela que nous avons fini dans une crêperie, en retrait de la place du marché, relativement isolée. Ca peut aider. De plus autre critère évalué rapidement avant d’entrer : pas de famille avec des enfants a l’intérieur.

 

Pareil. Entrée remarquée de Laurence. Les regards des hommes qui la désahbillent. Evaluation rapide de la configuration. Au fond a deux tables d’un couple « sympathique » , la quarantaine. Laurence en vis-a-vis du mec, cinq ou six mètres de distance. »

 

A la vue d’une belle femme comme Laurence, les mecs se rajustent sur leur chaise, prennent de la contenance.  

 

Nous avons commnandé nos crêpes. C’était une serveuse, et c'est pas encore le sujet lesbien avec Laurence.

- " Mets ton string  a coté de la table dans l’allée … assure-toi que le mec de l’autre table en face de toi te  "voie. Profites-en pour qu’il lorgne ta chatte quand tu te rassoies."

 

- "  que … que je mette ma culotte  dans l’allée ? "

- " tu as l'impression d'avoir entendu autre chose .... c’est un test:  S’il sen fout et n’est pas branché cul, il t’ignorera et fera tout pour ne plus te regarder du repas. On passera a autre chose, et a quelqu’un d’autre.

Si le mec en a , il aura tout le temps de réfléchir à ce signal. Bien sûr cela va le perturber dans son repas avec sa compagne. Sa reaction nous permettra de décider de la suite ». 

 

Laurence a pris le string qu’elle avait remis dans son sac sur la terrase, s’est levée, a jété un œil en direction du gars, puis s’est accroupie sans oublier d’écarter les cuisses ce qu’il fallait et a posé délicatement le string par terre. Avant de se relever ell a regardé à nouveau le gars et je l’ai vue décocher un sourire avant de se passer légèrement la langue sur la lèvre, puis pousser un léger soupir comme - d’impatience. Elle s’est rassise.  

 

- « je mouille comme une salope, il a bien maté ma chatte le beau salaud, tout en faisant semblant de discuter avec sa femme !» 

 

- « rassure-toi salope, je peux te dire que tu me donnes la trique aussi. Mais chaque chose en son temps. Tu peux etre certaine que tu a déclenché un tsunami dans son caleçon au gars ». 

 

dans moins de vingt minutes, je te promet  que ce gars t'éjacule dessus.  

Laurence m’a regardé. 

 

- « maintenant je te connais assez pour savoir que le comble c’est que tu dis vrai chéri, et ca m'excite.  Carmure ? maintenant que je suis chauffée à blanc et que tu viens de me le promettre, il m’en faut plein le cul avant peu de temps "

 

- « tiens. Prends ta robe souillée au fond de ton sac. Va au toilettes sans oublier de passer devant lui en le mitraillant du regard et des hanches jusqu'à arriver à son niveau quand tu es encore dans la phase ou sa femme ne te voie pas. 

 

- « dans les toilettes, tu changes de robe et tu mets la robe souillée en l’attendant et en guettant. Il va te suivre. Peut-etre laissera-t-il quelques minutes s’écouler pour ne pas éveiller de doute chez sa femme.  Après tu le suces et tu le branles sur ta robe, n’oublies pas que tu as un devoir de preuve envers ton mari. Pas de pénétration. Tu peux bien sûr te faire bouffer le cul, tripoter je sais que tu ne vas pas t’en priver. Meme s’il y a peu de chance qu'il en ait envie, pas d’uro avec lui tu me le réservespour toute a l’heure .

Tiens, attends je te fais le papier comme pour les autres avec ton numéro de téléphone et la remarque qui va avec. Tu lui fais bien comprendre en le quittant que tu attends de ses nouvelles dans les emaine qui viennent. Il faut qu’il n’y ait pas de doute dans sa tête. 

 

Tu reviens la robe souillée, et tu passes devant sa femme en la regardant. » 

 

Laurence s’est levée, elle a a peine rajusté sa robe. Attentat à la pudeur ...

Je me suis retourné une seconde pour voir la scène. La moitié du cul al’air, mais heureusement la robe s’est rajustée en descendant d’elle-même ce qui a sauvé les meubles ! Elle est passée devant le gars qui n’a pas pu la quitter du regard, essayant probablement de lui dire avec les yeux ce qu’il ne pouvait pas avec la bouche à cause de sa compagne. Laurence a continué vers les toilettes. Encore assez remarquée je dois dire. 

 

Il s’est bien passé cinq minutes (c’est long) avant que le gars ne se lève. Au moins ainsi, Laurence devait etre prête. Je suis sûr qu’elle se branlait en attendant, ce qu’elle m’a confirmé après. Ils ont fait très vite. 3 minutes. Le gars est revenu en premier. Laurence 2 minutes après dans sa robe souillée. J’imagine que cela n’avait pas échappé aux mateurs de la crçeperie ce changement de robe. Ya peut-être que la femme du gars qui  n’a rien vu. 

 

Laurence s’est installée à nouveau devant moi. Fière, radieuse, détendue, robe souillée . ...

Vu la quantité de sperme sur la robe le gars était gonflé a bloc. Tsunami éjaculatoire. 

 

- « A peine entré,  j’ai mis sa main sur son pantalon. Il était dur. Je lui ai sorti ma queue me suis accroupie, l’ai sucé. Il en a une magnifique. Je lui  ai dit de m’insulter. Tu me connais quand je commence a être dans un état second...

 

Il m’a alors traitée de tout les noms. Je l’ai branlé en me branlant en même temps avec l’autre main. Il s'est accroupi aussi, m’a doigtée et quand il a commencé à éjaculer j’ai hurlé dans sa cuisse pour étouffer le bruit. Je lui ai dit merci. J’avais posé ton papier sur le lavabo et je lui ai donné. Il a souri. Je lui ai dit que cela ne dépendait que de lui s’il voulait revoir une salope comme moi. 

 

Mais surtout j’ai pris l’initiative de lui demander de revenir devant le resto demain soir, ou de me téléphoner demain exceptionnellement . Carmure  ? j’ai bien fait. Ce n’est pas trop rapide comme rendez-vous , je je ...?"

J’ai réfléchi une seconde avant de la complimenter que c’était une bonne initiative, même si je voulais que les gars, après ce WE, ne rappellent pas tout de suite dans les jours qui suivaient mais laissent passer 2 semaines au moins . Temps de latence de leur coté,  mais aussi break prévu pour nous 3. 

 

Laurence a repris ses esprits, elle a pensé elle-même à téléphoner à son mari pour lui narrer. C’était la 3ème fois de la journée ...

« Alain ? dans le resto. Une belle queue dans les toilettes, beau feu d’arifice, ainsi que tampon blanc de l’administrateur ! Je t’embrasse chéri . »  

Remarquable. Laurence a en plus de l’humour et surtout de l’esprit. 

C’était le répondeur.  Qu’est-ce qu’il foutait Alain, peut-etre était-il en train de se branler ?

 

Nous avons terminé le repas le plus normalement, presque amoureusement. En sortant, j’ai fait un clin d’œil au gars qu’on allait en fait revoir le lendemain. Il a été fin : sa femme n’a rien vu a son manège.

 

Il était à peine 22 heures. Le garcon de café en avait peut-être encore pour deux heures. J’ai proposé a Laurence.

 

« On va faire un tour. Aérer ton cul. On ne sait jamais, dans un recoin noir, des jeunes, une voiture qui passe, des promeneurs, on improvisera. Il serait bon que tu t’exhibes vraiment aussi sans te faire baiser»

 

 

Nous avons longé le port direction la mer. En fait j’avais une trique énorme, Laurence me dit qu’elle commencait à avoir une grande envie de pisser. Moi j’avais bu moins d’eau qu’elle, mais je me suis dit qu’il fallait que je m’y mette dans la perspective d'un scénario que j'avais en tête avec le serveur à minuit. 

Le long du sol est surélevé par rapport au niveau de l’eau par des murs en pierre. La route longe ce port, et a un endroit il y a un chemin goudronné mais étroit (le GR je ne sais plus combien !) qui diverge directement en direction du haute de la falaise mais en oblique par rapport au port tout en longueur.

-"Viens par là."

 

C’était un chemin idéal. Il partait vers un mini-mémorial ou il y a du gazon. Entouré d’arbres opaques. Le chemin se transforme alors en sentier. 

 

Un couple de promeneurs ou d’amoureux nous a croisé descendant. Personne d’autres. Devant le minimémorial, il y a un banc aussi. 

 

« déshabille-toi. Sauf les chaussures »

« va contre le grillage »  (il y a un grillage pour empecher l’accès au bord de la falaise, qui à cet endroit n'est empeché par aucune végétation).

 

«ouvre tes fesses au ciel. Cambre-toi. Comme si tu voulais te faire mettre par tout l’équipage du vol  New-york-Paris qui est peût-être en train de nous passer au dessus .» 

 

Elle a accroché ses mains au grillage. A sorti son cul comme un escargot sort de sa coquille dès qu’il pleut. Je me suis approché d’elle. Jes tiré ses mamelons qui pointaient déjà en plus du vent. Je me suis accroupi derrière elle j’ai approché mon crâne de sa croupe ouverte, splendide, humide. J’ai fait tourné ma tête comme pour vriller son cul et comme si je voulais la défoncer, en tentant de la soulever...

- « accroche-toi bien au grillage .. »

 

« ou.. oui chéri …. Ohhhhhhh     vas y dégomme moi avec ta tete. Perfore moi ... Catapulte moi ... !». 

 

Je l’ai soulevée de terre pendant plusieurs secondes avec ma tête .. qui lui servait de selle.  Cela la défonçait. Elle en redemandait.

« oooohh culbute ta pute. Culbute ta pute mon petit salaud en rut. »

 

Je l’ai laissée retomber. L’ai fait se cambrer. Ai pris le portable dans son sac.

- " vas y appelle ton cocu. Quand il décroche tu commence à pisser. Comme une génisse que tu es. "  

 

J’avais envie de boire sa pisse, mais j’avais très envie aussi de la culbuter pendant qu’elle pissait.  Le temps que le cocu décrocher j’enfilais déjà ma queue dans son anus et m’accrochait aussi au grillage au dessus d’elle. 

 

- « chéri ...?»  

« … »

- « on est au bord de la falaise ... il y a du vent, et Carmure me sodomise ..."

« … » 

« ... et je commence à pisser, ahh  quel bonheur chéri… si tu savais sa bite qui me décalamine et ma vessie que se vide…."  

«   .. »

 

« oooooooooooooouuuuuuuuuuuhhhhhhhhh …  q   u    e       c’ e   s  t     b   o  n  ! ». 

 

même le bruit de sa pisse qui éclaboussait le sol était excitant.

 

Comme Laurence était en train de jouir prise come une jument sous mon poids, en pissant et se faisant sodomiser, j’ai pris le portable de la main de Laurence et ai expliqué a Alain : 

 

- « Alain , ta femme est en train de jouir et de se vider...    ...  Au fait,  tu as eu le message sur ton protable toute à l’heure ?"

 

Par jetdor man - Publié dans : uro a trois, cocufication
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