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Lundi 5 septembre 1 05 /09 /Sep 00:00

Arrivé le samedi fin après-midi dans le gite, j’y ai passé deux jours seuls jusqu'à leur arrivée. Un peu long mais je me suis imbibé de l’environnement des lieux mais aussi humain ...
Le gîte, grande ferme retapée, se situe au ‘bout du monde’ : un village à une vingtaine de KM d’Aubusson, a 3 km du village au bout d’un chemin vicinal qui devient après chemin de terre … lequel passe entre deux étangs.
Pas une voiture passante seule deux ‘foyers’ autour, et rien a moins de 2 KM en amont du chemin sinon.

De l’autre coté du chemin une grande ferme, avec deux batiments :  en contrebas, 2 étangs séparés par le chemin de terre et entourés d’une rangée d’arbres. La propriété du gîte fait 50 sur 100 mètres et est en pente. Elle est entourée de haies d’arbustes : la vue depuis et réciproquement sur le chemin et l’autre ferme est semi-protégée.
Le propriétaire m’a reçu est présenté le gîte. J’ai tiré le maximum de renseignements de l’environnement, notamment humain …
- la maison en contrebas est habitée en permanence par un couple d’agriculteurs de 45 ans environ. Ils sont très sympathiques et n’hésitent pas a faire connaissance avec les gens du gîte quand celui-ci est occupé et à les recevoir (apéritifs, produits régionaux …). Ils acceptent facilement les invitations dans le gîte. Autre information intéressante : elle, travaille à mi-temps a Aubusson.
- La maison en amont sur le chemin (non visible depuis le gite) est aussi habitée par couple d’agriculteurs, plus discrets.
- les 2 étangs appartiennent au propriétaire. On y trouve des barques, et les locataires du gîte peuvent d’en servir. Intéressant cela. Nous l’exploiterons dans nous scénarios, c’est un vrai petit plus.

Le propriétaire lui-même habite à St Bard même, à 3km. Je lui ai dit d’emblée que j’attendais un couple d’amis le lundi, qu’il pourrait repasser dès le mardi pour faire connaissance.
Première préparation psychologique pour le cas où des opportunités se créeraient avec lui : je l’ai prévenu que moi et mes deux amis étions naturistes, que donc il ne soit pas offusqué si quand il viendrait nous étions en tenue légère.  Ce genre d’information peut faire gagner un temps fou aux scénarios potentiels: on peut commencer directment a la case : ‘le mec arrive et Laurence (surtout) est a poil dans la maison ou le jardin’, sans que le gars ne soit étonné puisqu’il est informé qu’il y a naturisme dans la demeure !


Je nous décide par avance les chambres, lesquelles sont à l’étage: Laurence et moi dormiront dans la chambre a gauche de l’escalier. Alain dans une des deux chambres entre l’escalier et la salle de bains. Une fenêtre par chambre, coté entrée du gîte. Coté latéral du gîte, un reste de grange, accessible par la route via un pont de grange.
Courses rapides a la grande surface a 15 bornes avant le WE a rallonge.

Le dimanche, je me ballade, j’épie en espérant ‘coincer’ les gens de la ferme en contre-bas. En mi-journée enfin une voiture arrive chez eux, en fait c’est eux. Je leur fait signe, on fait connaissance. Meme topo qu’avec le proprio sur le nudisme. Ils ont l’air effectivement sympathiques, le mec va être un candidat pour Laurence. La femme difficile a cerner psychologiquement. Cheveux noirs, un peu ronde, elle est très belle. Les deux un peu rougeaux.

J’imagnie déjà laurence se faisant culbuter par le guss dans sa cuisine ou dans la grange. Ou dehors avec Alain (et moi-même eventuellement) qui la mate discrètement en se masturbant de sa chambre a l’insu du gars). Mais pas de précipitation, on n’est pas en ville, et va falloir se creuser les neurones pour rendre possible un cocufiage. C’était prévu : l’environnement serait difficile pour le cocufiage. Difficile mais pas désespéré et en tout cas il est original et excitant : si on n’arrive a nos fins, Laurence va prendre son pied c’est certain, son mari cocufié aussi .


Après-midi de Dimanche je vais repérer les lieux a Aubusson. Ville sympathique, des dénivellés, des escaliers dans la ville. Une Eglise et a coté un parking arboisé. Peut toujours servir. On ira voir les tapisseries ca c’est sûr, il y aura une salope qui va avoir envie de s’y montrer.  Il y aura de l’exhibition au minimum dans cette ville. Des rencontres peut-etre, et donc autres possibilités de cocufication plus « classique » disons, par la ville.


J’appelle Laurence le dimanche soir pour lui décrire le topo. Elle peut commencer aussi a faire travailler ses méninges. Je les attends le Lundi, probablement tard, au moins quatre heures depuis Bordeaux. Je lui interdis de baiser avec son cocu jusque là,

- « tu dis aussi à ton cocu minable que dès votre arrivée, je veux à peine le voir. Il s’occupe de vos bagages sans rien dire, et file avec dans les chambres : la sienne à droite de l’escalier et la notre à gauche. Il ouvre la fenêtre pour nous entendre nous deux faire nos ‘retrouvailles’ dehors , il attend dans sa chambre que je l’appelle pour redescendre. Il ne pisse pas »


- « OK chéri… …   Ohhhh j’en peux plus d’attendre. J’ai plein de surprises vestimentaires comme tu m’as demandé, tu veux  que j’arrive dans quelle tenue ? »


- « Je te fais confiance pour me faire triquer. Je garantis ta fête deux secondes après que tu soies sortie de la bagnole. A demain ! petite trainée, fais de beaux rêves cette nuit, cogites à ce que je t’ai décris, et arrive la vessie pleine comme jamais. J’embrasse tendrement ton cul. Tu vas passer des journées inoubliables et ton mari va etre humilié, il sera un homme heureux. Vous allez être heureux. A demain. Tu m’appelles quand vous approchez, pour évitez que vous perdiez du temps à chercher le gîte.’ »


- « nous viendrons pleins de pisse tous les 2 … Je t’embrasse, chéri ».

 

Le lundi, j'ai constaté les étangs et la barque effectivement sur la rive de l'un deux. J'ai réussi a discuter a nouveaux avec les voisins d'en contre-bas et a même me faire inviter a entrer chez eux pour un petit apéritif. L'occasion de cerner  peu plus les personnages: il ne m'a pas échappé que la femme, Claire, me lançait a l'occasion et discrètement des petits regards et des petits sourires, mais surtout que le mari, feignant maladroitement d'être désintéressé, essayait de m'en faire dire plus sur moi et mon couple d'amis (surtout Laurence !) et sur nos habitudes naturistes. Tout cela était plutôt bon signe.

A plus (j'ai beaucoup de pb d'édition avec mon blog, c'est assez énervant, et ca n'aide pas a aller au rythme ou je le souhaiterais, d'autant plus que l'histoire réelle continue en parallèle avec notamment Olivier)

Carmure

 
Par jetdor man - Publié dans : uro a trois, cocufication
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