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Mardi 6 septembre 2 06 /09 /Sep 00:00

Le lundi soir vers 21h30, Laurence m’appelait de la voiture : ils approchaient enfin, je les ai guidés jusqu’à ce qu’ils arrivent au niveau du chemin, a 2km.

-« Je suis dehors devant le gite, la lumière extérieure est allumée. Garez-vous. N’oubliez pas les consignes » .

Quelques minutes après, j’entendais leur voiture. J’entendais une porte s’ouvrir puis se refermer. Puis quelq’un approcher au niveau du portail, éclairé, je vis une splendide femme, blouson noir ouvert, seins nus, slip hyper-moulant type «shorter » jaune . Talons hauts. Elle a accouru et s’est jetée sur moi, m’a embrassé.

 
« Carmure …, enfin !  enfin! …  nous ... me voilà! »

 
Je lui ai rendu la pareille en lui dévorant la bouche. Empoignant ses deux seins sous son blouson d’une main et les serrant. Tatant illico sa chatte sous sa culotte jaune. Elle était bandante à mort. Elle avait aussi un bijou autour du cou. Du hautde gamme. Mais elle se tordait presque de douleur.


- « Ohh chéri, tout ce voyage avec la vessie pleine, cela taraude le ventre, surtout en voiture, cela accélère l’envie de pisser !»


Sans tenir compte de sa remarque,je répondis :
- « Sors ma queue. »


Elle s’est empressée de s’exécuter en s’agenouillant, a baissé mon slip (j’attendais en slip, malgré la température tiède.
De l’autre coté du portail, j’entendis le moteur de leur voiture s’éteindre : Alain avait terminé la manœuvre pour la garer). D’une main j’ai alors tenu Laurence à distance. Queue dirigée vers son visage, je lui dis :

- « et moi, cela fait depuis le début d’après-midi que je ne fait qu’ingurgiter de l’eau. En outre cela fait deux jours que je travaille pour toi a étudier les lieux, les personnages, les scénarios, pour que tu puisses être baisée au mieux, leplus souvent possible, et enfin obtenir ton diplôme de pétasse à plein temps ».

- « Oui je sais mon chéri, merci merci. Tu vas pouvoir t’en donner a cœur joie maintenant et m’utiliser comme ta pute encore plus que d’habitude. J’ai interdit a mon mari de me baiser jusqu'à ce que tu donnes contrordre, comme tu le souhaitais ».
 
Puis voyant que je visais son visage avec ma queue, et que je laissais détendre mon ventre elle ajouta, déjà dans un état second :

«  oui, asperge-moi toute habillée. Noies moi sous ta pisse, donne-moi a boire. »
Bouche garnde ouverte, elle accueillit avec concentration et excitation extrême mon premier jet de pisse, au moment même ou Alain passait le portail avec deux bagages à la main. Je lui dis juste, sans même le regarder.
- « l’escalier pour les chambres,c’est juste après l’entrée. »


Je me mis alors à asperger Laurence sur son bijou autour du cou, sur son blouson, sur sa culotte jaune. Elle étira celle-ci pour que la pisse passe derrière sur sa chatte.
«trempe-moi toute, et mes habits avec. Tu as vu la belle culotte jaune que j’ai trouvée pour toi »


Elle tendit aussi ses jambes, quej’aspergeai, puis ses chassures talons.
- « Alain nous  laveras tout cela »


Je revins vers sa bouche, à 20cm. Elle déglutit a nouveau tant qu’elle put, s’efforça de ne rien laisser s’échapper par plaisir et par orgueil. Tout en gémissant.
A nouveau je lui réaspergeai le corps, les habits , en la faisant tourner un demi-tour tendre le cul, pissersur celui-ci en tirant sur le slip. Le dos, les cuisses. Le visage, les seins...
Alain, lui, était déjà en haut. Il avait ouvert la fenêtre , et il attendait conformément aux consignes. Puis je l’appelai (plus tôt que je ne l’avais prévu, mais dans l’excitation et le feu de l’action je venais d’avoir eu une idée originale pour lui)
-« Alain, j’ai besoin de toi»


Puis m’adressant à la catin:
-« tu as d’autres culottes de ce genre dans tes valises ? »

 
-«  oui, j’en ai meme 3 exactement comme celle-ci: une autre rouge et une bleu clair »

 
-« Alors, dans ce cas… »


J’empoignai fermement sa culotte trempée de pisse, et d’un coup sec l’arrachai. Ce geste un peu brusque la fit gravir un échelon supplémentaire dans l’excitation.
« Ooohh, carmure, tu m’excites quand tu es brusque et énervé … »

Alain arriva. Je lui dis d’ouvrir la bouche. J’y mis la culotte de sa femme et la bourrai au maximum.
-« Tu la gardes dans la bouche jusqu'à ce que je t’autorise  à l’enlever. Remonte dans ta chambre et observe nous par la fenêtre… … non, attend une minute, baisse-toi… »


Et je re-pissais un petit coup sur la culotte de la pétasse qui était dans la bouche d’Alain. Laurence surenchérit,  tout en commençcant à se branler en voyant cette scène:

-« oui pisse dans la bouche de ce cocu. Il sera heureux. Je le sais . Tu sais,, il a pleins de fantasmes honteux pour moi et pour lui ».

 
Alain remonta dans la chambre. Laurence, pleine de pisse, m’implora alors de la laisser pisser tant elle commençait à avoir la bas du ventre noué.
-« je vais te boire, j’en crève d’envie. » lui dis-je


Je finis d’enlever mon slip, m’assis dans l’herbe fraîche.
-« viens debout, ta chatte devantma bouche, vas-y, lâche-toi … »


Elle ne se fit pas prier. Elle prit mon visage a deux mains, le caressa, l’appuya tendrement contre sonbas-ventre.
« Tiens,  c’est pour toi mon chéri. Je te la concocte avec amour depuis ce matin…. »


Le jet arriva. Par impulsion d’abord,puis continu. Bouche ouverte, tout mon visage était inondé, j’en buvais aussi. D’un main elle commenca à se branler puis de l’autre à se caresser les seins sous son blouson, tout en continuant a pisser bien sûr D’unœil j’eut le temps d’apercevoir l’ombre d’Alain a la fenêtre, et des mouvements saccadés : il était à coup sûr en train de se branler.
Je caressai les fesses de Laurence pendant qu’elle continait a pisser, se branler et surtout maintenant gémir de plaisir. Mes doigts se frayèrent un passage vers son anus, passage qu'elle facilita en ouvrant ses fesses et en les détendant.
« ouhhh, chéri, je jouis depisser… … Je suis heureuse que tu profites et apprécies ma pisse…  vas-y, taraude mon anus, vrille-le, il t’appartient, c’est ton moulin, ton nid».


Elle pissa lontemps. J’en récupérai dans ma main pour lui retourner sur ses habit, dans sa bouche. Elle était furieuse d’excitation. Le jet commenca à diminuer de vigueur, nos mouvementdevinrent plus ténus, meme si j’avais maintenant deux doigts dans son trou du cul. Elle jouissait de manière continue et eut meme un petit orgasme: son corps trembla quelque peu de plaisr et elle émit un râle tout enhurlant :
- « Ahhhahhha Ccarmure, prends-moi maintenant comme une chienne. »
 
Sans attendre qu’elle ait finit de pisser, je lui ordonnai de se mettre en levrette. Au niveau de la fenêtrede la chambre d’Alain.

- « vas-y Alain. Pisse-lui dessus.Envoie un jet bien parabolique depuis la-haut sur la pute. »

Alain se rapprocha plus près dela fenêtre et tendis sa queue vers le dehors. Quelques secondes plus tard,le jet se mit a sortir. Bien laminaire. Il adapta son l’orientation pourle faire éclabousser sur le dos et la tête de sa femme.
Laurence était aux anges, et pissaitencore elle-même, à quatres pattes. Elle riait quasiment, de plaisir.
- « Ohh cocu, pisse sur moi…. Avant la super- saillie que je vais me prendre par mon amant, je le sens»


Ils avaient vraiment beaucoup ingurgité dans la journée : ils n’en finissaient plus les 2 de pisser. Laurence termina la première. Se masturbant sous le jet de l’autre. Quant à moi,spectateur quelques minutes de cette scène faramineuse, ma queue était archi-prête pour la levrette. Laurence ouvrait de plus en plus haut ses fesses, et le jet d’Alain maintenant ne se concentrait quasi-ment plusque sur son cul; même a trois mètres de haut, il devenait très vite très précis le bougre. Laurence écartait son anus pour y accueillir de la pisse.

Quand la puissance du jet d’Alain commenca à faiblir. Je m’approchai de Laurence.

-«  je vais te prendre par la chatte. Alain ! termine jusqu’au bout, s’il te plait ! »

Je l’empoignai par les deux hanches et à genoux, je lui donnai ce qu’elle attendait. Je m’enfoncai en elle fermement, en une seule fois. Plein de pisse tous les deux, le jet d’Alain continuant à dégouliner sur son cul juste sous moi
Ce fut une vraie saillie :  Laurence était tellement excitée et dans un état second, qu’elle se mità secouer dans tous les sens. J’avais vraiment l’impression de faire un rodéo.
Elle baragouina :
« ohhhh, je vais finir par  m’évanouir de plaisir, ohhhh hhh ...  cocu ..  je …. putasse ohhh ...Carmure»

 
Puis un cri énorme. Bref. J’ai cru que sa chatte allait broyer ma queue. Comme si son corps voulait bouffer ma bite, pour qu’elle l’ait toujours en elle.
Elle a eu un rire nerveux. Et se laissa aller de son poids sur le sol. Alain s’était rentré dans sa chambre dès qu’il avait eu fini de pisser.

Je repris aussi mes esprits quelques instants.  Puis :
- « Alain, je vous ai préparés un petit truc à manger, descends à la cuisine et mets la table. Nous allons grignoter tous les trois avant d’aller nouc coucher. Vous êtes très fatigués. Laurence, viens avec moi te rincer ! »


Je l’ai prise par la main et nous sommes montés à la douche. Je nous ai lavé tous les deux de fond en comble elle a bien apprécié.

Nous sommes redescendus nus. Alain avait mis la table, je lui ai demandé de réchauffer le plat que j’avais préparé. Nous avions faim. Puis au dessert- des fraises chantilly que j’avaispréparé moi, j’ai demandé à Alain de venir me sucer pendant que je dégustais les fraises avec Laurence et que nous discutions déjà de la journée dulendemain.

-«  je pense qu’il y amoyen de faire quelque chose avec le gars d’en bas, dis-je a Laurence. Ce sera bien sûr une de tes missions de notre séjour. Demain matin tu appelleras aussi Olivier sans attendre en fait son coup de fil. Tu l’appelleras devant ton cocu, bien sûr. Tu seras chaude mais cela je n’ai plus besoin de te le dire, et tu lui feras comprendre qu’il manque déjà quelque chose ici, et que tu souhaites le rencontrer la semaine prochaine, pour lui présenter ton mari.Tu te débrouilles pour que la perspective du mari ne le fasse pas fuir. Et comment il pourrait faire avec son agenda et surtout sa femme pour se débrouiller, etc,etc »

Alain me suçait bien.
-«  regarde, Laurence, le cocu comme il sait si prendre, regarde ma queue comme elle est bandée »


- «  et ce salaud qui  se branle en te suçant … regarde comme il trique aussi. Il m’a confié que cela l’excitait de te sucer. C’était comme une récompense pour lui. » dit-elle en finissant sa chantilly.


- « Maintenant tu vas faire un cunni à ta femme, comme cela on sera super excités tous les deux dans cinq minutes quand nous serons dans le lit …. Pendant  que toi tu rangeras tout. »

 
Alain se leva, Laurence recula sa chaise et écarta les cuisses. Le cocu plongea a genoux entre,  et la lécha. Laurence s’étala au maximum que lui permettait la chaise pour offrir le toute sa chatte et aussi de  son cul a son mari.


-« il a beau être cocu, il n’en suce pas moins bien ni ne baise » me dit-elle en fermant les yeux pour appécier les coups de langues et de menton de son mari .

 
Ils m’excitaient tous les deux. Je me levai et allai proposai ma queue à la bouche de Laurence qui l’aspira de bon cœur. Pendant ce temps, je récapitulai, à l’intention d’Alain:

-«  Laurence et moi laisserons notre porte entr’ouverte la nuit. Aisni qu’une lampe de chevet discrète restera allumée. Tu auras le droit de venir nous mater en train de te cocufier depuis le couloir par la porte, mais très discrètement. La nuit il se pourra qu’il se passe des choses dans ta chambre, et si je viens, ou Laurence,tu  fais semblant que rien ne se passe a coté de toi, sur toi, ou meme … dans toi ! Tu restes allongé dans ton lit, tête coté porte. Sauf ordre contraire bien sûr.  Bouche ouverte au cas où. Pas un mot, et obéissance. Cette nuit il ne se passera rien, vous êtes crevés tous les deux. Laurence et moi ferons juste l’amour avant de nous endormir ».

Demain matin, tu te lèves vers 9h. Préparation de nos déjeuners. Puis tu disparais. »
Puis :
- « allez viens chérie,  on va se coucher. A demain Alain, de beaux rêves pour toi. Ah oui, chaque fois que tu te branles tu laisses les preuves la où elles sont. Ce sera aussi manière pour toi de faire la limace. Tu ne nettoieras les tâches qu’a la fin du séjour. »

Je suis monté derrière Laurence.En palpant son cul.
« on est complètement crevés, mais on a tellement envie de baiser ! » .

Au lit je lui ai refait l’amour tendrement, en la caressant partout. On entendait Alain ranger en dessous, ca nous excitait comme des malades. Laurence mouille sans discontinuer. Puis Alain est monté. On l’a entendu (au bruit du parquet) venir du coté de notre chambre. Ils nous a matés car on entendait de légers mouvements derrière la porte entr’ouverte. Nous faisions l’amour face à face allongés de coté. Des mouvements minimaux, juste celui de nos deux sexes. J’allais et venais en Laurence en écoutant son rythme.  Je lui ai dit à voix basse :

« ton cocu nous regarde …»


Cela a suffit à la faire jouir. J’ai vu ses yeux presque se révulser comme à chaque fois qu’elle a un violent orgasme.Elle a juste bégayé en hurlant, d’une voix rauque :

 
« je … je …suis une pute ……  et fière » .


Je suis venu aussi en elle. Elle m’a souri fièrement quand j’ai déchargé. Puis, sans s’occuper d’Alain derrière la porte, nous nous sommes endormis. Un seul trait pour la nuit, nous étions  fatigués surtout elle.

A bientôt

Carmure.

 
Par jetdor man - Publié dans : uro a trois, cocufication
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