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Jeudi 15 septembre 4 15 /09 /Sep 00:00


Mardi matin. Réveil après 9h, Laurence dort encore. Je la caresse, descend dans le lit pour lécher son pubis et l’éveiller progressivement. Nous nous levons vite pour une douche tous les deux. Nous passons devant la chambre d’Alain sans même regarder s’il est là.
Douche, scéance uro classique : nous nous pissons mutuellement l’un sur l’autre dans la bouche et sur le corps. Il fait frais mais je demande tout de même à Laurence de descendre nue.

En bas, notre déjeuner est installé sur la table, à l’extérieur. Il y a tout de même un début de soleil. Nous nous installons.


- « en principe le propriétaire doit passer. Je l’ai prévenu que vous arriviez hier soir. Il est prévenu que nous sommes nudistes. Tu reste donc à poil ou quasi a poil le plus naturellement du monde, mais quand il arrive, tu lui dis bonjour dans cette tenue et tu vas passer une de tes culottes shorty. Tu joues l’émerveillée d’être arrivée dans un coin si tranquille, tu feins t’intéresser à son potager derrière le gîte, à sa grange car il y a plein d’objets anciens intéressants, etc, etc …. Bref tu te débrouilles pour donner un prétexte  a aller, seule ou pas, avec lui dans un coin ou dans un autre de la propriété. Après tu laisses aller tes talents de pétasse...
« … Dans le potager derrière ce serait le mieux, Alain et moi-même pourrions vous mater discrètement. En attendant, je vais vous faire visiter la propriété ».

 

Nous avons fini de déjeuner rapidement. J’ai appelé Alain, sans savoir où il était, mais il était dans ses règles qu’il devait être en permanence à portée d’oreille.

« mettez tous les deux  des chaussures adaptées à la compagne.  Restez ainsi avec vos sous-vetêments, vous êtes mignons »

Laurence est remontée pour enfiler des baskets achetées à Bordeaux. Alain est arrivé en caleçon depuis sa chambre.
Je leur ai fait faire un rapide tour a l’intérieur de la propriété, de la grange, puis on est sorti sur le chemin pour aller en direction des étangs.
Laurence , en passant le portail :


-« mhhh …, me promener en culotte sur la route comme cela, ….mmmhhh»
- « en passant devant la ferme,  prend ton temps, et si on aperçoit  le couple de gens tu leur fais un signe de la main, en allant vers eux, même s’ils sont a l’intérieur a une fenêtre. »

 
Nous sommes passés devant la ferme mais aucun signe de vie. Nous sommes donc allés jusqu'à l’étang et je leur ai montré la barque.


-« tu devines déjà Laurence, que j’ai une petite idée de scénario avec la barque ?»
-« ben oui, je pense que c’est approprié » a-t-elle simplement répondu. Ses seins pointaient.

 
Puis nous sommes retournés à la maison, des fois que le proprio arrive.
J’ai ordonné au cocu de retourner dans sa chambre, et Laurence et moi sommes restés dehors. Pour passer le temps, j’ai sorti les chaises longues dans la remise attenante au gîte et je lui ai fait un cunnilingus. 


Le proprio est ensuite arrivé. Je suis allé l’accueillir au portail, en disant a Laurence, à voix basse :


-« accompagne-moi vers lui à distance » …
-« bonjour Monsieur, tout va bien mes amis sont arrivés. Voici Laurence la femme de mon ami »

 
Le gars, prévenu que nous étions naturistes, à tout de même été gêné, mais devant la beauté de Laurence , il n’a pu s’empêcher de la mater de haut en bas. (je dirai pas de la déshabiller des yeux puisqu’elle  était déjà a poil quasiment). Il a essayé de faire comme si de rien n’était.


-« vous … vous avez fait bon voyage, Madame » dit-il à Laurence en lui serrant la main. »
-« oui, ce coin est magnifique, j’adore la campagne, les jardins, etc, etc..
 … j’ai vu que vous avez un potager, j’adore m’occuper des légumes, des fruits . Vous pourrez a l’occasion nous en faire faire le tour ? »
« je nous ha bon ?  .... ben allons-y , tout en dicutant ».

 
Puis s’adressant a moi :
-« tout est OK dans le gîte, Monsieur, rien ne manque, pas de problème ? »
- « Non rien de spécial »
répondis-je.

 
Le gars suivait Laurence et comme il me regardait à moitié pour discuter, ne vit pas que cette chaude en chaleur s’était arrêté nette devant lui. Cette salope m’avoua ensuite qu’elle s’était intentionnellement arrêtée, pour provoquer le contact avec lui. Quelle pute. Je l’ai félicitée pour cette approche, et cet état d’esprit sans scrupules pour arriver a ses (nos) fins. Bref, Il la heurta relativement violemment. Sa proximité soudaine avec Laurence en shorty, seins pointant, mains sur l’épaule a l’endroit où il l’avait heurtée eut raison de son aplomb.


-« Ohh … excusez-moi Madame,  je … je ...  vous n’avez rien , je suis désolé !! »
Laurence se frottait l’épaule, et le fixa légèrement: Lui s’approcha hésita avant de regarder de près son épaule. Elle le rassura :


-« non, ce n’est rien. Regardez .. » Elle lui présenta son épaule, pour l’obliger à poser sa main dessus. Le gars l’a touchée et regardée l’épaules de près. Cett super-pute a eu un frisson qui n’a échappé a personne. Elle s’est donc empressée d’enchaîner :


-« ohhh votre main est froide … mais regardez, je n’ai rien ..  allez venez on va voir le potager ».


Le comble est que le ce frisson n’était pas simulé pour sa stratégie. La main du gars lui a vraiment fait de l’effet. « j’était déjà excitée à mort. Quant il m’a heurtée, je me retenais déjà de me faire violer, et de lui prendre sa main pour la  mettre dans mon shorty en lui disant  ‘qu’est-ce t’attends pour me baiser ?’  »,  nous a-t-elle dit plus tard au cocu et à moi.

 

Il était temps que je m’éclipse : le gars était mûr déjà en deux minutes à peine. De l’art pur !  Laurence devenait experte pour convertir une situation standard du quotidien en situation optimale de baise genre «mon cul est a toi, ô toi qui ne m’avais jamais vu il y a une minute encore ».

J’ai fait mine de continuer avec eux, et j’ai donc prétexté d’un seul coup du lait sur le gaz pour m’éclipser. Arrivé à la porte d’entrée, j’ai grimpé l’escalier en 2 secondes, en appelant :

 
-« Alain, viens vite ! Ta femme est seule en tenue de trainée avec le proprio dans le potager .Elle a déjà chauffé le gars a blanc !  On va la mater discrètement par la fenêtre du couloir. »

 
Alain m’a rejoint vers la fenêtre du couloir en haut, qui donnait plein ouest vers le potager.
Laurence et le proprio étaient déjà visibles, Laurence marchant devant et montrant des trucs dans le jardin.  La fenêtre étant fermée nous n’entendions pas ce qu’ils disaient. Il était risqué de l’ouvrir sans attirer l’attention.

Le proprio, la suivait, à 3 mètres, et dès qu’elle regardait devant il en profitait pour la mater. Il regardait aussi autour de lui, un peu nerveusement , pour apprécier s’il était possible que quelqu’un les voie. Nous devions donc être très discrets alain et moi. Elle était au milieu du potager et elle montrait des trucs en parlant. Puis elle s’est baissée, pour cueillir un feuille de je ne sais quoi, lui montrant bien son cul moulé par son shorty. Ses seins balançaient légèrement. Le gars ne tenait plus ; ce mec eût été anormal de rester zen.  Il s’est alors approché plus près d’elle et ensemble ils ont regardé la feuille que tenait  Laurence. Il la frôlait,  la touchait presque.

Alain a coté de moi à commencé a sortir sa queue et se branler. Sa queue était magnifique, déjà bien arquée.


« Oh petit salope... championne ...   En moins de 3 mintues .. allez  .... vas-y, chérie »  , murmura-t-il.


En bas, le proprio avait déja la main sur l’extérieur de la cuisse de laurence. Il a à nouveau regardé tout autour de lui. Laurence a mis sa main sur le pantalon du veinard au niveau de sa queue et a défait le bouton. Le gars se laissait faire : à y réfléchir, les scénarios avec Laurence sont simples, personne ne peut résister dans de telles cirocnstances.

Elle l’a branlé. Elle s’est caressé un sein de l’autre main. Elle était debout jambes légèrement écartées. Elle a dit un truc. Le gars lui a empoigné l’autre sein, a parlé aussi. puis a fermé les yeux. Laurence a regardé dans notre direction,se pinçant les lèvres, passant sa langue dessus.


Alain :
- « ooh   quelle superbe  trainée » a-t-il continué en fermant les yeux Il avait une queue magnifique, moi-même je commencais a être excité.

C’étatit un moment important :  C’est la première fois que qu’Alain observait son cocufiage par quelqu’un d’autre que moi. Assister à cette double scène de la pétasse d’une part, du cocu jouisseur d’autre part m’a permis de ressentir un peu le type d’excitation qu’il pouvait éprouver dans cette situation. Il était clair qu’Alain prenait son pied.

 
J’ai sorti ma queue et l’ai proposé à l’autre main d’Alain, en lui disant :
« vas-y mon gars, défoule-toi et branle-moi aussi vous m’excitez tous les trois. »

  

Laurence branlait, le gars de la pointe des doigts. Elle lui a dit quelque chsoe et a éclaté de rire. Le gars a éjaculé. Alain 5 secondes àprès.

 
Le proprio s’est rajusté en bas et ils ont fait demi-tour pour revenir devant le gîte. J’ai dit a Alain qui avait arrêté de me branler après avoir joui :


-«  mets vite ton caleçon et descends dire bonjour au monsieur le plus normalement du monde »
Alain est descendu. Je l’ai suivi.
Laurence l’a présenté au proprio :


-«  Voici Alain mon mari. Il est moins friand que moi de potager »   a-t– elle dit avec beaucoup d’esprit. Elle a alors regardé le proprio en riant, puis lui a dit.


-« bon ben n’hésitez pas a revenir quand vous voulez, c’est chez vous après tout ici ».

 
Elle lui a fait un clin d’œil, clin d’œil visible de nous tous. Le proprio s’est d’ailleurs bien rendu compte que son clin d’œil n’était pas discrèt, il a du se poser plein de questions sur pourquoi Laurence prenait un tel risque de clin d’œil. Il est parti. J’ai dit à Laurence de s’approcher.Je lui ai roulé une pelle, et j’ai mis une main sur sa chatte. 


-«  oui je mouille, cela ne t’étonnes pas tout de même »
-« non, ce qui m’étonne, c’est que tu ne te soit pas mise en levrette au milieu du jardin pétasse. Mais enfin je dois dire que tu m’en bouche un coin : je passe des heures à étudier comment tu pourrais te faire baiser par le mec du bas, et toi en moins de deux minutes tu te fais le proprio sans préparatif aucun. Je dois dire que tu m’as excité, ton cocu aussi il a éjaculé quasiment en même temps que le proprio, tout en me branlant... Assieds-toi sur la table s-il te plaît ».

  
Elle a compris ce que je lui demandait.

 
-« oui super...   Baises-moi car la après cet échauffement j’ai le feu au cul »

   
Elle a préparé sa chatte , appuyée sur le bord de la table. Je me suis posé debout contre elle et l’ai prise, ce qui ne l’a pas empêchée de nous raconter : 

 

-« … en plus je lui ai dit que s’il voulait  labourer plus profondément , il n’y avait pas que le potager pour cela »,  il m’a répondu : «et ton mari ?ton ami ?», je lui ai dit que mon mari avait de la merde devant les yeux, et que mon ami me suatait depuis longtemps. Il a répondu, après un instant de réflexion suite à ma réponse « je repasserai demain, tu feras semblant de vouloir visiter le grange, et on ira ».

 
Alain nous regardait baiser et écoutait ce que racontait sa pétasse. Il s’est assis et s’est astiqué la queue mais ne re-bandait pas encore après l’éjaculation près de la fenêtre.

 
Laurence m’a demandé de venir dans sa bouche:


-« Carmure, tu ne m’a encore jamais éjaculé dans la bouche. Vas-y fait le s’il te plaît j’en ai envie là. Le proprio m’a chauffé et mon cocu qui nous regarde, c’est une situation idéale : cela lui plaira de te voir me vider dans ma bouche »

 
Elle s’est alors assise sur la chaise.

 
-« quand tu es en chaleur comme en ce moment grande pute, ta bouche c’est une chatte »
- « oui »

 
J’ai mis ma queue et j’ai limé doucement sa bouche. Elle m’a palpé l’ai couilles, elle regardiat son mari. J’empoiganis ses deux seins d’une seule main, les serrant l’un contre l’autre. J’ai joui rapidement dans sa bouche en ralânt.
Elle a gémi fortement, criant presque bouche fermée sur ma queue. Elle a tout avalé.


Puis elle a dit un truc auquel je ne m’attendait pas :

 
- «Cocu, j’espère que tu as vu comment on fait pour boire un homme, car je crois que tu vas avoir la chance de le faire bientôt. »

 
Laurence avait-elle lu dans mes pensées ces derniers temps , en tout cas elle progressait beaucoup en matière de pétasserie et de soumission de son mari. Alain lui n’avait pas bronché  à la remarque-suggestion de sa femme. Il est clair que j’avais compris qu’il était près de tout façon à ce genre de chose depuis longtemps.

 

-« Allez, on va à  Aubusson » ai-je lancé. « Laurence tu as quoi qui pourrait aller comme habit ? »
-«  plusieurs robe courtes, des collants, un vieux jean, un robe longue moulante, un short jean ultar-court, …»
-« mets ta robe courte avec un de tes shorty ou un string, des chaussures talons, un bijou autour du cou, des boules d’oreilles, sac a main rouge a lèvres. Comme en Normandie. On y va. Alain tu conduis ta voiture, je monte derrière avec ta femme. »

 

Nous sommes partis direction Aubusson.
Laurence assise derrière la place passager, moi derrière Alain. Main dans le slip de Laurence, sa main sur ma queue sortie, sa jambe gauche tendue entre les deux sièges de devant.

 
-«  Il faut que tu appelles Olivier,  Laurence. On va s’arreter, Alain trouve nous un coin sympa.  je vais faire un cunni à la salope   pendant qu’elle téléphone »
-« Ohh quelle bonne idée! ... chéri-cocu,  arrêtes nous. »


Laurence a préparé son portable, en cinq minutes Alain a trouvé un chemin le long de la nationale.  Il s’y est engouffré et s’est arrêté dans un coin tranquille.


- « ouvre ta portière et assieds-toi vers l’extérieur. Alain toi tu restes ou tu es, tu entendra ce qu’elle dira, et tu te branleras si tu en as envie évidemment »

 
Je suis sorti et ai fait le tour de la bagnole. Je me suis mis à genoux, mains sur ses cuisses j’ai commencé à la sucer, le string qu’elle avait mis était insignifiant.Elle a pris son temps pour  penser à ce qu’elle allait dire. Puis elle a composé le numéro.


- …
-
« Olivier ? ... … bonjour c’est Laurence »
- …
- « tu es à ton travail ? J’avais très envie de t’appeler. Je suis avec mon mari et Carmure l’ami  de st Valery. Nous sommes au gîte comme je te l’avais dita notre dernier coup de fil »
.- …
- « La semaine dernière j’étais en famille c’est pour cela que je n’ai pas trop pu parlé… maintenant je suis à toi. Dis Olivier, je …  je souhaiterais que l’on se voie bientôt, la semaine prochaine par exemple. L’idéal serait que l’on se voit a la maison, pour un diner ou tu feras connaissance avec mon mari, mais aussi on peut se voir tous les deux indépendamment. »
.. .
- « je … je sais. Moi aussi j’ai envie…  Fais attention avec ta femme tout de même.. Si tu le souhaites je peux me déplacer près de ton travail en mi-journée ? On pourra se détendre tous les deux … »

 
Cette pétasse m’excitait. Elle-même mouillait comme une fontaine en appelant Olivier devant son mari, tout en étant sucée.

 
- Nous ..Nous revenons en fin de semaine en région parisienne. Mon mari doit retravailler en principe mardi, et moi je ne reprends mon mi-temps que Jeudi.

 
- « … »

 
-«  OK Olivier réfléchis et vois comme tu peux arranger ton agenda avec ton boulot et ta femme. De mon coté je suis dispo, mon mari est impatient de te connaître. A la moindre opportunité dans ton agenda, sonne-moi : je serai a ta disposition…… tu .. tu as les salutations de mon mari et et … de mon amant.  Je t’embrasse bien fort  … partout. Je suis à toi. »

 
Elle a raccroché, et m’ a demandé illico de la prendre, justifiant :


-« Ooooohh comme je suis excitée ! ...  sa voix au téléphone, il ne pouvait pas trop parler dans son bureau. Viens allons dehors prend moi sur le capot avant de la voiture, devant mon mari, comm d’habitude … »

 

Elle est sortie et eest allée se pencher an avant sur le capot, cul au ciel, en regardant Alain qui s’astiquait dans la voiture. »
Je l’ai culbutée et sodomisé sans ménagement. Ce qu’elle voulait. La voiture tanguait sous nos deux corps. Et son cocu qui se branlait encore. La tête de Laurence posait latéralement sur la voiture.


« bousille-moi, Carmure, donne moi le traitement que je mérite, je t-en supplie. Détériore mon cul s’il te plait …. …  Aaaa ahhhh ...  ca  y est  .... je ... vais .... jouir »

 

Elle tapait violement d’une main sur le capot.. Pour l’exciter et l’achever encore plus je lui ai dit :


« parmi les scénarios envisageables, il y a celui du viol. Cela te plairait de te faire violer ? ... réellement violer, pétasse ? ... moi je pense que tu es prête pour cela maintenant .... »

 
Elle n’a pas répondu, car elle a hurlé son orgasme. Le capot souffrait. Elle s’est affalée. Je l’ai laissée un minute. Il se trouve que j’avais légèrement envie de pisser. J’ai sorti ma queue. Lui ai pissé un peu dessus, sur sa mini-robe, dans la bouche.


-« au point de putasserie où tu en es, un peu de pisse sur ta belle robe n’en sera que plus excitant à Aubusson .. »
- « comme tu veux, Carmure. Oui tu as raison … je veux puer la pisse pour toi. »
-« allez remonte dans la voiture,  traînée ».

Nous avons tant bien que mal retrouvé nos esprits jusqu'à  Aubusson. Alain devait faire des efforts pour conduire prudemment tellement il était ému. Laurence dégageait un peu l’odeur de pisse.


« je sais pas ce qu’il va encore m’arriver en ville, mais je sais que cela va me plaire ça s’est sûr.  …Pour le viol, c’est plus fort que moi, ta suggestion de tout à l’heure me donne des picotements… c’est incroyable ça ! . Je ne me contrôle pas. Oui Alain cocu chéri, Carmure me propose de me faire violer. Je lui fais confiance pour la mise en scène et la sécurité…  ohh j’ai envie de me faire violer.  Alain chéri, tu es vraiment  un cocu béni … » .

   

Elle en avait dit assez. Nous reviendrons à ces scénarios de viol dans les semaines a venir. 

A suivre -demain.  (j'ai décidé pour l'instant de respecter la chronologie des évènements, grâce a mon journal ...)


 

Par jetdor man - Publié dans : uro a trois, cocufication
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