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Vendredi 16 septembre 5 16 /09 /Sep 00:00

Nous sommes arrivés à Aubusson. La pétasse habillée en pute et sentant la pisse. Le cocu bien ému.


« Allons boire un coup pour nous remettre d’aplomb. »


J’ai choisi un café avec salle assez grande. « Allons au fond la-bas. » Pas grand monde en cette fin de matinée.

 
« La pétasse,  tu te mets face a l’entrée, toi Alain à coté d’elle. » Je me suis assis en face de la pétasse.


Le serveur est arrive plateau a la main. Il a repéré la pétasse, son œil s’est arrêté brièvement sur elle,  inquisiteur, surtout sur son cul.

 
« commande pour nous, Laurence. » ai-je dit. Elle a compris le message subliminal.

Tout en réfléchissant à haute voix à ce qu’elle allait commander et nous avec, elle s’est tournée doucement vers l’extérieur de la table, a ouvert sa jambe, et tout en commançant à passer ses mains sur son genou et sa cuisse.


« heu heu  un jus de tomate …   et … 2  eaux gazeuzes » (oui eau gazeuse en vue uro …)


Le gars a lancé un sourire gené devant l’attitude de la salope. Il allait dire quelque chose mais avant d’ouvrir la bouche, Laurence l’a coupé :

 
-« Où sont les toilettes SVP ? »

 
Le gars a indiqué le fond de la salle a l’autre bout. Laurence s’est levée et s’y est dirigée, dandolinant son cul. Le serveur et moi nous sommes retournés pour la regarder. Elle passait ses mains sur ses fesses et a soulevé sa robe pour montrer son cul. Puis elle a disparu à l’angle du comptoir , cul à l’air, string ridicule dans la raie. Je ne sais pas si le serveur avait repéré l’odeur de pisse.

 
Celui-ci est reparti sans rien dire. Après un premier instant de gêne, il s’était remis d’aplomb, et se comportait comme si la situation était normale. Laurence est revenue des toilettes, et devant le bar, au niveau du serveur, s’est arrêtée sans le regarder, et a sorti un sein pour le caresser quelques instants. Elle a tiré sur le téton. Elle a sorti le deuxième sein, puis s’est adressée a moi depuis où elle était :

 

  « Carmure, tu m’as fait un peu mal aux seins tout a l’heure, je les sens encore, c’est encore très excitant ».

   
La situation était tellement provoquante que je crois que probablement le cerveau du serveur n’arrivait pas a se connecter au réel. Il continuait à préparer nos boissons comme si la pute qui était devant lui n’était pas là ou comme si elle était tout a fait normale. Rupture de communication dans son cerveau.

 
Laurence a alors repris chemin en direction de sa place. Elle a a nouveau ré-écarté sa jambre a l’extérieur, en direction du bar et du serveur. Je me suis penché pour regarder et lui mettre la main sur sa cuisse. Et volontairement j’a dit a voix haute:

 
-«  mhhh, chérie, tu as encore mangé ton string avec ta chatte, je t’ai dit de faire attention » Elle montrait carrément sa chatte. Elle était de plus en plus excitée. Elle s’est affalée un peu sur sa chaise, chatte en avant. Sa tête s’appyuant sur son mari. Elle sa commencé a se branler. Puis son corps et sa tête ont disparu derrière la table. Le serveur mainteant avait les yeux rivés sur la scène : il voyait deux jambes magnifiques, une chatte surplombée d’un mini-robe, et la main de la pétasse qui s’activait de plus en plus sur le clito. Il ne voyait ni le tronc ni la tête. scène assez rare tout de même ...

 

Laurence commença à baragouiner derrière la table :

 
« Carmure … S’il te plait … dis lui de venir me baiser … en plus, il a rien d'autre à faire ».  Je n’ai rien répondu. Je me disais que le gars n’allais pas oser approcher pour  nous servir si la situation n’évoluait pas.

 
Comme dans toutes les situation anaolgues que j’ai vécues, je savais que le cerveau du gars fonctionnait a 150 a l’heure, et que s’il avait été choqué irrémédiablement de ce qu’il voyait il nous aurait déjà mis dehors en menaçant d’appeler la police. Donc son cerveau et ses hormones travaillaient pour nous et lui disaient plus ou moins qu’il devait laisser faire la situation de dingue a laquelle il était confronté. C’est dans cet état d’analyse de la situation que je lui ai donc dit , feignant de plaisanter, mais appuyant encore plus sur le bouchon que Laurence avait déjà bien enfoncé :

 
« si vous voulez vous occupez de madame, je pense que vous avez remarqué qu’elle était prête !"  puis dans la foulée, je me suis adressé à Laurence :

 
« Chérie, retourne au toilettes, Monsieur accepte de venir à ton aide, mais tout de même, laisse à ton mari et à moi-m^me un peu de tranquillité ».

 

Laurence s’est relevée et est repartie en direction des toilettes. Seins et cul a l’air. On savait à partir de cet instant que le mec ne maîtrisait plus la situation : tous les verrous explosaient dans son cerveau. Le gars est venu rapidement nous servir. Il estt repassé a son bar pour poser le plateau, puis et reparti la-bas au fond en direction des toilettes.  Authentique. Son cerveau et sa queue était venu à bout de ses conventions qui il le croyait encore lui-même quelque minutes avant, l’empêcheraient en principe de céder à  ces (forts) instincts. Et bien non. Il se retrouvait comme les autres a se faire sucer par la pute.

 
Comme les autres il a eu droit a lui éjaculer dessus (sur la cuisse) en 2 minutes. Elle a donné son numéro de portable, maintenant c’était automatqiue, après être revenue a sa place. Elle avait joui aussi en se branlant et elle était un peu calmée. Entre temps bien sûr, Alain avait sorti sa queue discrètement pour s’astiquer mais n’était pas aller jusqu’a éjaculation.

 
Par contre moi, j’étais surexcité. Je l’ai fait savoir a Laurence.

 
-« tu veux me sodomiser par là autour ? », a-t-elle dit. J’ai bien aimé l’expression « par là autour. »

 
-« non, un peu plus tard » lui ai-je répondu.

 

 
J’ai payé et nous sommes parti. Je voulais que Laurence pisse dans un parc public, éventuellement devant un ou deux passants mais ça ne pouvait s’improviser qu’en dernière seconde. Nous avons donc achetés de l’eau et nous avons bu tous les trois, il y aurait de l’uro dans l’après-midi pour tout le monde. Nous nous sommes promenés, Laurence matée par tous les passants. Ca l’excitait, et par moment elle ne pouvait s’empecher de se caresser les seins a travers la robe, voire de les sortir quelques instants. Dans une petit rue d’une cinquantaine de mètres, où nous étions seuls, elle les a même sortis tous les deux et a marché une vingtaine de mètres, seins splendides  à l’air. Sans problème. Ils pointaient. Elle était même presque déçue qu’il n’y ait pas un passant pour la mater. J’avais la trique. Alain se tenait a distance. Je nous ai dirigés en direction de l’Eglise. Quand nous nou sommes approchés et que Laurence a compris où nous allions  elle s’est exclamée :


- « ouhlala, ne me dis pas que .. »

 
- « Si » L’ai-je interrompue, «tu me donnes trop la trique » Nous sommes entrés. Laurence commençait a nouveau a être excités. Il y avait deux badauds dans l’église.

 
- «  Alain, tu restes près de l’entrée. Si des gens indésirés (enfants, vieux, coincé) approchent et font mine d’entrer tu files nous voir et nous prévenir. Si c’est un jeune ou un couple qu a l’air pas coincé, tu laisses aller. »

 
J’ai donc laissé alain faire la sentinelle pendant que j’allais troncher sa femme, laquelle était déjà loin dans l’église a repérer ou on pourrait se mettre et surotut ou je pourrais la mettre. Nous avons remonté une nef latérale. Les deux badauds on tfini par sortir.
J’ai bousculé laurence vers un banc de l’église. Elle s’est appuyée sur la rampe. Je lui ai bouffé le cul comme j’adore en vrillant avec ma tête et la soulevant a moitié.  Je l’ai reposée, cambrée, je lui ai aspiré les lèvres puis l’anus. Elle était plus que prête.

Elle a trouvé une formule magique en ces lieux, a savoir du genre « ohh mon dieu,  mon dieu …  bénis mon Carmure ». Situation pornocomique.

 

Elle a eu droit a une belle sodomie, dans l’eglise. Que les pratiquant qui me liraient me pardonnent. Fesse écartées par mes mains et les siennes. Elle a fini pliée en deux, doitgts tendus sur le sol ,jambes tendues, cul en l’air, ouvert , robe retroussée, seins a l’evners qu’elle se mettait dans la bouche et pelotait.

 
« salaud, déchire-moi en deux ...  jusqu'à la gorge ».

 
je lui ai tapé sur le cul avec les mains pour lui signifier que j’allais l’inonder.


« … Aahhhhh ... c’est cela ..  viole moi, chéri. Entraine-moi a me faire violer.  organise des travaux dans mon cul pour qu’il soit la plus belle autoroute de France, mets le en chantier, fais-y venir beaucoup d’ouvriers ...».

 

Elle sait parler Laurence quand elle jouit.Je n’ai pu m’empêcher de crier au moment d’éjaculer.

   

Nous nous sommes rafistolés les habits et nous avons rejoint le cocu-sentinelle à l’extérieur. Il nous a interrogés des yeux et a vite compris que son compteur venait d’être incrémenté de une unité.
Nous sommes allés dans le parc à coté de L’Eglise. Je me suis assis sur un banc, j’ai demandé a laurence de faire de meme sur le banc en face, a 5 m environ, en lui disant:

 
-« Quand je claquerai des doigts tu commenceras a pisser, assise. Tu écarteras ton string s’il le faut pour faire un beau jet. C’est un ordre si quelqu’n passe au moment ou je claque des doigts, cette personne n’existe pas pour toi, tu pisses,compris ? »

 
- « c’est pas très compliqué, mon chéri »
  a-t-elle dit, pour montrer que ce n’est plus ce gence de scénario qui l’impressionnait.

 

Elle s’est assise, jambe écartées, son string était encore visible dans sa chatte, mais il faisait plus penser a Erika en décembre 99, qu’a un sous-vetement ‘Aubade’. 

  

Alain avait pour mission de se promener dans le parc, comme s’il ne nous connaissait pas. Nous avons atendu un peu. Un couple de vieux est arrivé en face de moi a trente mètres, dans le dos de laurence donc.

 
Ce n’était pas le plus excitant, ni le moins non plus. Et avec des octogénaires, quel risque y avait-il. J’ai bien attendu qu’il arrive deux mètres derrière le niveau de Laurence. Puis j’ai claqué des doigts. Laurence a penché alors sa tête en arrière, et écarté sa culotte écartant bien les jambes.  Elle n’a même pas vu la tête du ou des passant(e)s, ce qui montre bien son niveau d’ouverture en matière sexuelle !

 
Le jet est sorti contre sa cuisse dans un premeir temps, puis plus fort a tracé une belle parabolique. Laurence poussait, ce qui a engendré un bon lancer de deux mètres. Les deux vieux bien qu’ils étaient concentrés à regarder leur chemin ont remarqué un truc, ou bien entendus le bruit de la pisse et se sont arrêtés. Ils ont tourné la tête, et là encore plus que pour le serveur, je pense que leur cerveau n’arrivait pas à se connecter avec les images que leurs yeux leur rendaient. Ils sont restés impassible quelques instants. La vieille a baragouiné un truc incompréhensible. Laurence pissait toujours tête en arrière. Les vieux ont repris leur trajet, ils se sont échangés quelques onomatopées.  Laurence émettait des petits cris. Je l’ai informée qu’il n’y avait plus personne qu’elle pouvait se lacher. Elle s’est redressée, son jet diminuait de puissance et elle s’est masturbée à un rythme d’epilleptique en poussant des cris aigus. Elle a eu un mini-orgasme et s’est rajsutée.

 
« si tu as envie de me pisser dessus, chéri … » m’as-t-elle suggéré. Mais j’ai décliné, en vue d’une scéance uro plus intime.


Nous sommes rentrés au gite. Laurence et moi dans les bras l’un de l’autre sur le chemin du retour. Nous avons repris nos forces avec une petite collation servie par Alain. Je lui ai demandé de me sucer un petit coup, histoire de.  Puis j’ai proposé à laurence de lui pisser dessus avant d’aller faire une sieste avec elle.  Je lui ai juste pissé sur la chatte sur le coin de la table et nous sommes allés nous rincés et faire notre sieste.

 

 
« ce soir, il faut que l’on rencontre le couple du bas absolument. Vu tes exploits ce mation avec le proprio, sans aucune préparation, je me dit que je me prends trop la tête avec le couple,  et qu’on va y aller franco. Je pense que je peux peut-être régler le problème de la présence de sa femme, vu que celle-ci m’a lorgné comme une malade la dernière fois que je l’ai ai vus. Si je mets le paquet sur elle, cela libérera certainement un espace de manœuvre pour son mari et toi …. Bref nous allons bien voir … ». Puis, Nous avons somnolés tous les deux.

 

Mais pas la peine de se fatiguer : Le soir vers 7 heures, ce sont eux, les voisins, qui sont arrivés au niveau de notre portail pour nous proposer un apéro mais aussi de dîner si l’on voulait avec eux.


Laurence, à poil dans la chambre, et descendue, et nous avons accepté leur propositions, pendant que le regard du gars (il s’appelle Claude) ne pouvait décoller du cul de Laurence et que Claire me dévisageait .


Le fait que Laurence a poil devant son mari ne la fasse pas tiquer m’a fait comprendre définitivement que c’est parce qu’elle comptait bien y trouver une « compensation » à travers moi.. Sinon, elle aurait tancé laurence, et ils ne seraient même pas venus nous inviter sachant qu’elle allait la trouver a poil probablement en arrivant : elle n’exposerait pas son mari a une tentation aussi forte aussi naïvement , et ferait même tout pour l’inverse : tenir cette fille a poil a distance maxi de son mec. Mais là non ! 

 
Donc a partir de ce moment, j’ai compris -qu’il y avait probablement un double boulevard pour nos ambitions- ce que nous avons vérifié par la suite. Claire avec moi, Laurence avec Claude, et le cocu .. tout seul ! 

 

A suivre.

Par jetdor man - Publié dans : uro a trois, cocufication
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