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uro a trois, cocufication

Jeudi 10 août 4 10 /08 /Août 15:05

Nous avons terminé le repas. Tout le monde était excité, et Laurence elle ... sur-excitée. Elle ne pouvait s'empêcher toutes les deux minutes de poser son couvert pour aller palper Claude. Avec son pied elle n'arrêtait pas de paser par dessous mon short contre la cuisse, tout en en me lancant des regards explosifs. Je lui ai rappelé à son obligation de boire beaucoup.

- "ne t'inquiéte pas mon chéri, j'ai envie de faire pipi déjà."

 

J'avais alors quelques instants pour décider si je demandais à Laurence une version uro soft (qu'elle pisse simplement devant nos invités) ou une version plus hard, genre je la bois devant nos invités' ou bien elle pisse sur son cocu sur tout son long, par exemple. Le souvenir encourageant de la remarque de Claire au début de la soirée me demandant de ne pas hésiter à les "pousser", elle et Claude me fit opter pour la première solution. De plus comme toujours, il faut  battre le fer quand il est chaud, et celui-ci l'était au vu de ce qui s'était déja passé dansla soirée avec Claude et Claire.

J'ai donc répondu à Laurence:

 

-"tu as envie de pisser ?  génial.     ... Alain, peux-tu insttaller deux chaises afin que ton épouse puisse s'y installer debout  un pied sur chacune, s-il te plait ? "

Alain s'empressa d'aller chercher deux chaises à l'intérieur. Pendant ce temps, je me désahibllai , Laurence s'approcha de moi ... tout en se palpant les cuisses et la chatte.

 

-" super chéri ... je vais te pisser dessus ... devant nos invités ...  .... ouahhhhhohhhh ... ! !"

 

-" monte sur les chaises ,petite pute, et obéis-moi ...."

 

- "sans problème chéri, encore plus si tu deviens autoritaire ...c'est excitant petit salaud"

 

Puis je m'adressai à nos deux invités, souhaitant être explicite et les désinhiber au maximum...

- "si l'un de vous deux veut faire ses besoins c'esct le moment d'en profiter, il n'y a pas de contre-indication , Laurence , le cocu ou moi-même vous recevront avec plaisir".

 

Puis plus particulièrement à Claire je lui dis, presque solennellement, pour intensifier au maximum l'interaction entre nous:

 

-"Claire, je serais un homme heureux si je pouvais être le premier à recevoir votre pisse, si vous vous déversiez sur moi, dans ma bouche comme dans un urinoir à votre gré. Je vous le demande : pissez moi dessus, vautrez votre liquide sur moi, dans ma bouche, dans les heures qui viennent"

Claire était "stupéfiée", "surprise" elle jeta un regard vers son mari, puis tenta de répondre :

 

-"je .. je vais essayer ...  ....   je ferai ce que vous me dites ... oui je ferai pipi sur vous si vous en avez envie ... j'aurai envie de vous faire pipi dessus..."

puis :

 

- "je vous remerice Carmure de me... de nous  demander tout ceci ..."

Elle était émue au point de ne plus savoir quoi dire et de parler en se sentant obligée de donner le change.Le retour du vouvoiement de sa part était révélateur d'un instant intense en elle.

je stabilisai l'interaction:

 

- "vous verrez Claire, c'est un plaisir unique que l'uro."

Laurence était déja debout sur les deux chaises, à trois mètres de la table du repas. Je m'approchai d'elle debout , à  peine courbé entre ses jambes mi-écartées, pour commencer a lui embrasser le pubis puis la sucer tout en la plapant fermement les cuisses, les fesses et les jambes.

  

-" laisse moi déja te bouffer le cul lui dis-je. Puis Dans quelques minutes tu te mettras à pisser , sans me prévenir, avec la force que tu veux. mais fais moi attendre quelques minutes ce sera très excitant pour tout le monde."

 

Puis bien en vis-avis d'elle, la gueule dans sa chatte les mains sur son cul, commencant a la trifouiller je la dévorai avidement. Elle gémissait et gloussai. Autour de moi j'entendis et devinai le cocu se déplacer, je ne voyais pas ce que faisaient ni Claude ni Claire mais j'avais l'impression qu'ils ne bougeaint pas. 

 

J'explorai la pute avec ma bouche, ma langue et mes mains pendant cinq bonnes minutes. Je passai même derrière elle pour lui lécher les fesses et aller farfouiller dans son anus. Puis En repassant devant elle, j'eut le temps d'apercevoir Claude se caressant doucement la queue qu'il avait hyper tendue, en regardant la scène. J'eus le temps aussi de voir Claire, assise de coté, mais assez affalée en arrière, ouvrant et fermant les cuisses latéralement, chatte a l'air  visible par intermittence du fait de son mouvement rapide des jambes, comme si elle trépignait d'excitation et d'impatience, mais elle ne se masturbait pas.

Dès que je mis la gueule à nouveau entre les cuisses de la salope, celle-ci commenca à faire pipi, tout en poussant un gémissement de soulagement et de plaisir. Je m'empressai d'aller au jet avec ma bouche. Par chance celui-ci était bien laminaire, donc je me reculai en me baissant tout en gardant la bouche sous le jet. Je me mis carrément accroupi à pas loin d'un mètre des chaises et commencai a déglutir la pisse de laurence. Sa pisse était assez forte, mais restait buvable pour quelqu'un comme moi.

 

La scène m'excita incroyablement, les autres aussi.  La pute sur ces deux chaises, en train de pisser dans ma bouche. J'avalai quasiment tout ce qui m'arrivait, seulement limité par le débit de ma glotte, mais il se trouvait que le débit de Laurence y était adapté. Machinalement je commencai a me masturber en continuant d'ingurgiter le jet de la pute. Celle-ci, excitée au plus haut point, commenca aussi à se branler tout en pissant ce qui cassa  le jet un peu dans tout les sens

 

-"ooouuhh comme ca m'excite chéri quel bonheur de te pisser dessus en se branlant devant le cocu .... et nos invités". Je me relevai, j'étais comme un âne , excitation maximum.  Il se trouvait que j'avais déja bu beaucoup de pisse, mais que peu de celle-ci avait giclé sur mon corps.

 

Volontairement je fus crû avec Laurence, pour l'exciter :

  

-"descend de tes chaises sale pute."

 

 

Elle pissait encore et comprit à mon attitude et à mon ton que je voulais me la taper sans discuter. Elle sauta par terre, je l'attrapai par le bras et l'emmenai contre le mur, la fit s'appuyer contre, elle tendit ses jambes et offrit son cul.

J'entrepris de la sodomiser d'un seul trait, brutalement. Elle le souhaitait. Je tournai la tête pour apercevoir le cocu, qui était en retrait contre le portail, et qui se masturbait. La rapidité, la spontanéité de la scène l'amenèrent a éjaculation juste à ce moment.

 

-"regardes cocu, ce qu'elle aime ta pétasse entre autres entreprises : se faire poncer le cul et se faire décalaminer brutalement."

 

Puis la tenant par les hanches, je n'eus qu'un seul souci : décharger en elle. C'est ce qui lui plaisiat en cet instant. Elle hurlait la tête dans son avant-bras.

 

-"ouvres moi en deux ! Baise-moi comme un routier. ohh je pisse encore un peu mon chéri  je jouis de partout.  Tire fort sur mes seins s'il te plait ... "

 

Je ne m'en privai pas.Scène bestiale. Après avoir joui, je demandai au cocu de s'approcher.

 

-"Lèche le cul de ta femme puis vient me sucer aussi". 

 

Il fit cela impeccable, d'une application parfaite. Quelques minutes.

Pour qu'il n'y ait pas de "temps mort" avec Claude et Claire je dis à laurence d'aller s'occuper de Claude et de l'aider à se finir. De mon coté, je rejoins Claire. Je m'approchai d'elle et tout doucement, mais sans lui demandait verbalement son avis je m'agenouiller pour glisser ma tête entre ses cuisses. Je commencais à l'embrasser puis vint vite sur son clito. Elle laissa faire. Je dégageai alors ma tête pour lui proposer.

 

Je dis juste, le plus concisement possible :

 

- "pipi , .... s'il vous plait".

 

Elle ferma les yeux, je replongeais entre son sexe. Puis quelques dizaines de secondes plus tard le liquide commenca à couler. J'éprouvai alors un intense bonheur qu'elle me fasse cet honneur, qu'elle se donne à ce point d'intimité, docile. Elle et Claude étaitent définitivement apprivoisés, j'en convint avec moi-même dès cet instant. 

 

De plus son pipi était clair, le jet n'était pas très puissant. Je le bus facilement. Puis quand elle eut fini, assez vite finalement, je me relevai un peu pour plonger sous sa robe et caresser embrasser son ventre puis malaxer ses seins.

 

Puis je me relevai complètement et vint contre elle sur le coté, et entreprit de la masturber. Nous avions en face de nous à trois mètres son mari assis qui se faisait maintenant branler par Laurence. Par rapport à nous,  il était assis de coté, Laurence à sa gauche nous faisait face.

 

Tous mes doigts pénétrèrent Claire dans difficulté nous regardions la scène de son mari. Je lui sussurai à l'oreille.

 

-"regardez Claire, votre mari va bientot jouir ...  ... et vous aussi peut-être ...."

  

Elle se caressait les deux cuisses,  pendant que ma main s'enfoncait dans sa chatte. Elle se mit a jouir, "discrètement" dans la mesure ou elle ne cria pas outre mesure, mais tout son bassin eut des soubresauts. Puis elle se décontracta contre moi.

Puis ce fut  comme si nous regardions la télé pendant deux ou trois minutes:  Claude était branlé par la pute, et il commenca à se raidir sur lui-meme regardant en face de lui, sa main parcourant tous les dos, la tête , le sein de Laurence pendant que celle-ci le branlait avec application tout en étudiant la manière de l'amener au plus vite a l'éjaculation. Celle-ci arriva rapidement désormais, Claude se secouait sur son séant, et Laurence précipita sa bouche vers la queue comme pour attraper le sperme qui en sortait.

Puis elle allongea son torse sur lui, pour un moment de décontraction de tout le monde. Je réféchissais déja a la suite des opérations. Au bon timing a adopter dans notre nouvelle relation.

 

Je proposai donc, après quelques minutes de réflexion.

 

-"je propose que pour ce soir tout le monde rentre chez soi. Demain matin j'irai vous retrouver Claire et Claude dans votre chambre dès l'aube... Vous laisserez donc la porte de votre maison ouverte. Nous aurons chacun de notre coté toute la nuit pour nous mettre en condition et penser d'ores et déja à ces moments intenses qui nous attendent tous les trois."

 

Je ne regardai même pas leur réaction éventuelle à ma proposiiton somme toute pas anodine, c'est le moins que l'on puisse dire. Il fallait garder la main au maximum.

Nous nous séparames rapidement sans donner dans les formules de politesse extrémes, sachant que nous allions nous retrouvez le lendemain. A peine partis, Laurence me fit remarquer, une once de jalousie dans sa voix :

 

- '"demain matin,  je fais quoi moi pendant que tu vas les baiser tous les deux ? "

 

-"je propose que demain matin comme tu dis, le cocu ait une permission avec toi d'une heure ou deux. Après ces trois journées intenses, il faut que vous vous retrouviez, c'est important et nécessaire."

 

Elle réfléchit  quelques instants,  puis :

 

- "c'est juste ...  tu as raison mon chéri. Je vais le récompenser, après tout. Il est vrai que j'ai besoin aussi d'intimité avec lui."

 

Puis m'adressant au cocu, qui ne faisait qu'aquiescer de la tête tout ce que Laurence et moi-même venions de dire :

 

- va chercher mon journal dans le tiroir. J'y ai beaucoup de chose a écrire pour ces dernières heures.

 

Puis à Laurence :

-Attends moi dans la chambre, j'essaierai de faire au plus vite.

 

 

Je m'installai à l'intérieur, le cocu m'apporta  cahier et crayon. Je n'eus qu'un regard à lui envoyer pour qu'il comprenne qu'il devait s'occuper de moi pendant que j'écrivais.

J'essayai d'être le plus concentré possible afin d'être efficace et très précis dans mon écriture. Mais je dois dire qu'Alain suce de plus en plus magnifiquement. Il m'avait fait retrouver une bandaison au bout d'une dizaine de minutes, malgré les heures que je venais de passer.

Pendant ces trois quart d'heures environ où il me suça pendant que j'écrivais, je ne lui adressai qu'une fois la parole, pour ljui dire, d'un ton confident une annonce importante dans sa vie de nouveau pédé :

 

'"Ne t'inquiète pas cocu, je sais que tu es de plus en plus prêt à accepter d'être sodomisé,  par un des amants de ta femme surtout. Je sais même que tu serais le plus heureux des cocus si je pouvais te faire cet honneur. Mais je ne suis pas 'assez' bisexuels pour cela. Par contre cet automne, sur Paris je recontacterai deux couples avec lesquels nous avons partagé beaucoup de choses avec mon ex-femme. Les deux hommes sont bisexuels, nous organiserons une rencontre avec ta femme et les leurs. Il ne tiendra qu'a toi de leur proposer le plaisir de sodomiser un cocu....  Tu es le premier informé, j'en parlerai à ta femme cette nuit."

  

Je n'en dis pas plus. Mais la manière dont Alain redoubla d'attention et de dévouement à me sucer dès cet instant, en disait plus long que tout discours. Alain était heureux que je lui  aie annoncé  ceci. Que je pense à son cas...

Je réussis tout de même à finir ce que je devais mettre noir sur blanc puis je fermai le cahier en allongeant ma tête dans mes bras sur la table. Le cocu me suçait à la perfection. D'une main que je passai sous la table j'empoignai ces cheveux derrière la tête pour adapter légèrement son rythme. Je la tournai aussi une fois ou deux latéralement pour que ma queue travaille bien toute sa bouche. Je ne dis pas un mot, et en repensant aux scènes avec Laurence et Claire, je finis pas éjaculer dans sa bouche, c'était très agréable. Je repris mon soufle cins secondes me levai de la table sans rien dire, sans m'occuper de lui , je me dirigeai  vers l'escalier et une fois en haut j'éteignis la lumière du bas le laissant seul dans la nuit. Je saviais qui'l apprécierait cette petite humiliation, surtout après l'annonce que je venais de lui faire.

 

Ce cocu était finalement gâté. C'est un service première classe que sa femme et moi-même lui offrions finalement.

 

Laurence dormait déja et je décidai de ne pas la déranger finalement, et que la nuit serait une nuit de sommeil et pas d'autres choses. Il fallait de tout façon que je songe à comment cela allait se passer le lendemain matin avec Claude et Claire.

 

 

 

Par jetdor man - Publié dans : uro a trois, cocufication
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Mercredi 26 juillet 3 26 /07 /Juil 10:52

Ils ‘sinstallèrent de l’autre coté, Laurence en face de moi, sur une serviette pour ne pas avoir froid aux fesses, Claude en face de son épouse. 

  

Le cocu nous avait rejoint en bout de table. Nous re-trinquâmes, tous les cinq cette fois, au Champagne, sauf le cocu à l’eau.

 

J’avais la main sur la cuisse de Claire, alors que Laurence en face de moi avait décroisé sa jambe, pour la poser sur celle de Claude, montrant ainsi sa chatte. 

  

Ils étaient assez a l’aise, Claude jouait finalement assez bien la situation avec le cocu, sans plus, et je voulais que dès cete soirée ils connaissant aussi nos activités, notamment urologiques, et les inciter éventuellement a ne pas être qu’observateurs passifs notamment devant le travail de soumission et infantilisation d’Alain (pour l’aspect cocufication c’était réglé).

   

- « Laurence, le cocu et moi aimons l’uro et sommes de praticiens. Nous sommes tous les trois actifs, passifs, buveurs receveurs … cette pratique peut choquer, dans ce cas nous ne nous exhibons pas devant les personnes ne désirant pas pratiquer.  Par contre on peut procéder graduellement, si vous souhaitez, pour vous permettre de vous sentir et  vous définir par rapport au sujet.  Je propose par exemple que Laurence, dès qu’elle en aura envie nous fasse un petit pipi public à sa manière … voire plus … pour agrémenter le diner . Qu’en pensez-vous … ? »

   

Claire eut un léger éclat de rire.

 

-« mais cela ne me gêne pas » . Son regard appuyé, insistant presque, me fit penser qu’elle trépignait d’aller plus loin dans le jeu, qu’elle trépignait qu’on l’aide -ou les aide Claude et elle- à tenter, à se laisser aller. Ma main serra sa cuisse plus fort. Elle l’ouvrit, je remontai vers sa chatte.

   

  

En la regardant fixement je poursuivis, avec des terme volontairement plus crus :

 

- « la pétasse, son cocu et moi-même souhaitons votre plaisir à vous deux, ne nous retiendrons pas de nous-mêmes désormais pour vous débaucher. De votre côté vous avez loisir d’orienter voir de refuser nos actes et nos propositions et … » 

Claire m’interrompit, d’une voix douce mais ferme : 

   

-  « ne vous tracassez pas pour nous, nous avons compris que vous étiez libertins et dépravés. E…é …  éduquez nous,  … et si par instant moi ou mon mari semblons hésitants, n’hésitez pas à nous forcer la main. »  lachâ-t-elle, comme si elle se libérait. Le message était définitivement clair.

 

  

Une nouvelle étape, psychologique au moins, venait d’être franchie. J’en profitai pour mettre en pratique ce qu’elle venait de dire d’une part, et pour régler un léger contentieux avec le cocu d’autre part , je m’adressai a celui-ci :

 

- « pourquoi ne te masturbais-tu pas tout a l’heure, quand tu te faisais cocufier contre le portail ?»

  

 

 

Le cocu fut pris au dépourvu de ma question, se sentit pris en défaut.

« je… je … pensais qu’il était trop tôt que cela pouvait peut-être choquer nos hotes » bredouilla-t-il , sincère mais tout penaud. Mon regard lui fit comprendre qu’il fallait qu’il se taise. 

  

   

- « en tout cas cela m’a fait imaginer une punition pour toi. Punition dans un premier temps, mais je pense que cela va être une pratique que tu vas inaugurer dès demain : tu te procureras un cahier d’écolier, et tu feras des lignes comme les cancres. A l’avenir tu feras des lignes, soit suite à l’ordre de moi-même, ta femme ou nimporte qui d’autre, soit de ta propre initiative lorsque tu as le temps  et l’envie de montrer à quel point tu apprécies cette vie de lavette cocue que tu mènes depuis plusieurs semaines.  Il y aura aussi deux types de séries de lignes : « les imposées » dont le contenu sera décidé par le commanditaire, et les « libres » ou tu auras liberté du contenu et d’exprimer tes pensées intimes, tes envies de cocu. Pour la première, et pour demain soir  tu copieras 50 fois :  ‘Quand on me cocufie devant moi, je n’ai pas peur de me branler’ . Maintenant sers-nous le diner. »

 

 

Il se leva partit presque en courant et nous quatre trinquâmes en riant. Sous la table la salope tendait sa deuxième jambe en essayant d’atteindre mon sexe à travers mon short, avec son pied. Je la laissai faire et tout en buvant le champagne je demandais à Claire de dévoiler ses seins. Elle posa son verre, et simultanément des deux mains sortit ses deux seins blancs, épanouis. Ils étaient déjà durs. Claude son mari regardait sa femme, tout en ayant la main qui se baladait sur Laurence,  de la chatte au pied en passant par la jambe qui était posée sur lui. Je me mis à bander fort devant cette scène à quatre torride. Je roulai une pelle à Claire en commencant à lui tirer un sein puis le téton qui va avec. Elle se donnait. Elle s’habituait vite à s’exhiber. J’avais même l’impression que je pourrais la prendre là sur la table, devant son mari et la pétasse. Mais je préférais une progression graduelle.

 

 

Le cocu revint de l’intérieur avec une salade aux lardons qu’il nous avait préparé. Nous ne nous occupions pas de lui, et il nous servit tous les quatre  avec délicatesse pour ne pas nous déranger. Alors qu’il effectuait ses étapes autour de la table  auprès de chacune de nos assiettes, sa pute avait délicatement sorti la queue de Claude, et le branlait sur toute sa longueur à un rythme lent, toujours en me massant la queue avec sa jambe sous la table. Pour pimenter la situation elle eut la bonne idée de lancer un petit mot à son mari :

 

- « chéri, sers …, sers nous un peu de ton bon vin quand tu auras fini avec la salade»,  sans le regarder et sans arreter sa double activité masturbatoire. Au contraire, elle se pencha du coté extérieur et commenca à se caresser avec sa main libre.

 

  

- «  Oh mon dieu, que c’est excitant cette situation à quatre …Carmure tu ne voudrais pas sortir ta queue s’il te plait tu vas craquer ton short. » 

 

  

Ma main serrait les deux seins de Claire, qui se laissait complètement faire, raidie sur le banc, mon autre main ayant investi sa chatte… Je ne pus répondre à Laurence, qui de toute façon commençait à tout secouer et à gémir. La double masturbation manuelle était devenue triple grâce à son pied sur moi. Claude lui empoigna aussi fermement les seins ; elle gueula littéralement  « vas-y … allez-y … avec les mains ….  vos queues .. svp … ohhh  ca y est je pars » . Le rythme de sa triple branlette était effréné, son genou secouait la table heureusement très lourde.

 

 

 

 

 

Je vis le regard de la pétasse chercher celui de son cocu, lequel faisait comme si de rien nétait et reposait la bouteille après nous avoir servi ! scène incroyable. 

   

Suite à ma remarque de tout à l’heure , il ne dit rien, s’assis à nouveau en bout de table, et se masturba devant cette scène d’apologie. Il avait une trique phénoménale. Je vis alors les yeux de Laurence se révulser comme à chauqe fois qu’elle allais jouir. A nouveau un gémissement rauque :

 

- «  je jouis .....  cocu ...  je jouiiiis ... »

 

 

Elle s’adressait a son mari, tout en se branlant, en branlant Claude et en me besognant avec son pied. Excusez du peu. Son orgasme fut violent , pendant une seconde on aurait dit une épileptique, puis  elle lacha prise de la queue de Claude et son pied quitta mon short pour permettre a sa jambe de se replier sous la table.  Elle reprit ses esprits, quelque secondes, soupira fortement, savoura en fermant les yeux. Puis elle dit, s’adressant a son cocu :

 

- « chéri, j’ai envie qu’ils me prennent tous les deux … qu’en penses-tu ? » Elle se mit a rire, se leva , se tourna de dos et nous offrit la vue de son cul.

  

J’intervins.

  

-« Laurence chérie. Mangeons un peu. Nous avons le temps. »

   

La salade aux lardons fut l’occasion de nous remettre d’aplomb. Nous n’échangeames pas beaucoup, tous imbibés encore d’excitation, et l’esprit rêvassant sur ce que nous réserverait encore la soirée.

   

Je leur parlai tout de même encore un peu de nous trois.

   

-« J’ai connu Laurence et celui qui lui sert de cocu aujourd’hui il y a quelques mois. Au début il s’agissait plûtot de la transformer en salope avec lui, l’aspect cocufication s’est qu’improvisé au fil de nos aventures, assez rapidement. Aujourd’hui le cocu souhaite aussi être humilié, ridiculisé. Il n’a pas le droit de faire l’amour avec Laurence depuis qu’on est ici, encore moins avec une autre femme cela va sans dire. LA nuit il dort seul, pendant que je m’occupe de sa femme. Enfin il a des prédispositions a la bisexualité, il suce et est même allé plus loin : étant  moi-même légèrement bisexuel actif, ce cocu a déjà eu le bonheur que je me déverse dans sa bouche. Il a pris cela comme une récompense. Je crois qu’il en acceptera plus. J’ai des idées qui mûrissent pour lui donner la possiblité d’être un bisexuel abouti a terme. Cela excite aussi sa pute qu’est Laurence. Mais attention, ils s’aiment tous les deux. » 

  

Par jetdor man - Publié dans : uro a trois, cocufication
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Mardi 18 juillet 2 18 /07 /Juil 17:10

REPRISE DES ARTICLES SUR MES AVENTURES.  Désolé pour ces mois d'attente.

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En fait nous ne refimes pas de galipette ni quoi que ce soit avant l'arrivée de nos chers 'voisins'. Nous sommes restés dehors allongés l'un à coté de lautre Laurence et moi, pendant  que son mari se démenait à préparer la soirée.

Claire et Claude se sont présentés exactement à 19 heures, je me souviens Alain tout excité faisant la remarque au moment où l'on entendit taper sur le portail :

- "en plus, ils sont à l'heure".

 

Il alla de son propre chef ouvrir au portail. Ils s'étaint mis sur leur 51 surtout Claire. Chaussures talons, robe élégante foncée, légèrement ample, deux bretelles légères, légèrement décolleté. C'est elle-même qui s'approcha de moi pour me tendre une bouteille de Champagne des plus fraîches. Son regard cherchait le mien.

'je n'ai pas eu le temps cet après-midi' de venir vous voir ...'  commenca-t-elle.

 

Je remarquai qu'elle parlait ouvertement sans se cacher de son mari à peine à 2 mètres d'elle, ce que je considérai comme un bon signe. Je luis serrai chaleureusement la main, et ne la relachai pas immédiatement transformant ainsi cette poignée en caresse, le long de l'avant bras. Elle ne fuit pas au contraire elle laissa le bras tendus.

A coté de nous, Claude et Laurence se firent  l'accolade , j'apercus la main de claude en profiter passer légèrement sur les fesses de ma maîtresse.

 

Alain, de son coté, préparait l'apéritif et s'employa à disposer les chaises pour nous quatre, tout en guettant la moindre sollicitation de ma part, ou de nimporte qui d'autres d'ailleurs.

Puis il finit par approcher et saluer le nouvel amant de sa femme, ainsi que Claire. Il fut clair :

- "nous sommes tous les trois heureux de vous recevoir, vous me considérerez comme votre serviteur. ne me ménagez pas.  Laurence et Carmure m'ont demandé d'être discret et disponible".

 

Nous ne lui avions rien demandé du tout. Simplement, il jouait son rôle de soumis comme un grand. Il anticipait, prenait des initiatives verbales  dans la cadre de son activité principale ! De plus l'ambiguité possible de son message prouvait qu'il tenait à être délicat, même cocufié par le gars dont il serrait la main. A cet instant là, je pensai vraiment qu'Alain avait finalement un don et qu'il se découvrait de jour en jour, qu'il s'épanouissait à nous le montrer , à sa Femme chérie, à moi et même aux autres...

 Pour abonder dans cet esprit, j'allais justement d'un ton sec lui signifier de nous laisser,histoire de l'humilier légèrement ainsi qu'il en avait envie,  mais Laurence fut plus prompte que moi et lui adressa

- "Mon chéri c'est bien, maintenant sers nous du Champagne, n'oublies pas que tu ne peux en boire ...et laisse nous un peu tranquille ..."

- "oui, oui, ma chérie " fit-il en s'en allant vers la table avec la bouteille.

 

Pendant cette brève  intrusion du cocu, j'avais remarqué que Claire me scrutait. Je pris une initiative.

- "Mon cher Claude, je désirerais parler à votre épouse quelques minutes en aparté, vous permettez."

 

Claude n'hésita pas à ma metrre à l'aise:

- "Je crois que nous ne sommes pas ici pour discuter politique, et mon épouse souhaite se faire pardonner son absence de cet après-midi". Considérez que vos envies sont les notres, et pour ma part votre amie m'a déja honoré de ses atouts alors je serais malvenu de m'opposer ..."

Tranchant. Concis et clair. J'invitai Claire à me suivre dans la maison, la guidant la main sur l'épaule. j'étais dans son dos a un mètre d'elle.

-""vous n'êtes pas faché, pour cet-après-midi ? "

- "c'était bon de vous attendre",  lui-dis je.

 

 

Je posai ma main sur son cou, et la caressai d'un seul aller. elle frisonna légèrement. Ma main descendit dans son dos et perdit le contact avec sa robe au niveau de la hanche.

Je l'incitai alors à s'approcher de la table, puis je repris ma caresse cette fois jusqu'en bas du dos. j'allai directement sur les fesses et je m'accroupis. Elle ne résista pas et pencha la tête en arrière. J'apppuyai alors ma tête contre sa hanche et le tissu de sa robe. Ma main elle redescendait pour arriver au jiveau de sses mollets que je massai quelques secondes. Puis elle remonta sur ja jambe , mais cete-fois ci sous sa robe. Je massai son genou puis sa cuisse, je commencai aussi à la mordiller le coté de la fesse a travers la robe.

Puis je me relevai et vint debout contre elle, la poussant légèrement pour appuyer le contact contre la tables. Ses mains était posées et je l'embrassai dans le cou.

C'est alors qu'elle entreprit de se confier, plus exactement de confier elle et son mari:

-"Autant etre clairs désormais, mon mari et moi ne savons pas trop ce qui nous arrive et dès votre arrivée nous avons été troublés par votre attitude à tous les trois -comment dire -libertine.  Nous en avons parlé longuement entre nous mon mari et moi, nous étions époustouflés, éberlués, mais pas insensibles aussi. Il n'a pa pu cacher qu'il était excité par celle qui s'avère être votre maîtresse, et moi aussi j'étais plus que troublée par tout ceci. Nous avons encore et encore discuté et nous avons décidé de nous laisser aller à cette sorte danse que vous nous proposiez. Ensuite, quand nous avons compris le  jeu complet et son mari cocu, cela a achevé de nous exciter encore plus, au lieu d'être choqués. nous avons en fait fondus et nous nous sommes autorisés l'un l'autre à se laisser solliciter pour vous deux.

Puis ce matin... Mon mari est revenu.  Qui m'aurait dit il y deux jours que je prendrais mon pied a imaginer mon mari s'envoyer en l'air avec une magnifique plante provocante ?

Savez-vous pourquoi je n euis pas venue cet après-midi ? parce-que nous nous sommes envoyés en l'air mon mari et moi comme des sauvages.  Il me disait entre autres "va le rejoindre ! va le rejoindre ! " en parlant de vous. Il me parlait aussi de Laurence....  bref, vous nous transformez..."

 

Elle s'arreta de parler. J'ai compris qu'elle venait de se libérer d'un poids et qu'ainsi elle permettait a nous quatre, nous cinq si on compte malgré tout le cocu, de franchir une étape dans nos échanges ...

Après quelques secondes je ne fis pas référence à ce qu'elle venais de narrer et je lui dis simplement :

- "vos seins, .... Claire ... ", et en même temps mes deux mains vinrent les englober à travers sa robe. Je commencai à l'embrasser dans le coup l'oreille, la joue.

- "je vais m'occuper de vous, rassurez-vous", lui dis-je, avare de mots.

 

Puis je l'entraînai dehors de retour vers les autres. Arrivés sur le palier nous vîmes la scène suivante : Claude et Laurence étaient debout l'un contre l'autre à se rouler une pelle, elle appuyée contre la table, cuisses à moitié écartées, lui debout entre, à la frotter de gauche a droite, la main sur son cul, sous sa mini-jupe. Les deux étaient toujours habillés. De son coté, elle avait la main appuyée contre lui au niveau du short ...

Plus loin, à 4 mètres de là de l'autre coté de la table le cocu était assis et tenait un verre d'eau à la main. Il nous fit un signe avec l'autre (main) comme pour indiquer qu'il était présent disponible et qu'il consommait bien en direct sa cocufication,  en voie de développement perpétuel.

Je pris un verre de champagne que ce même cocu avait préparé, le tendit a Claire qui était déja émoustillée à ce qu'elle venait de confier d'une part et à la scène de la pute avec son mari d'autre part. Je regardai du coté des deux tourtereaux en attendant que Laurence ne m'apercoive par dessus l'épaule de son dernier amant pour lui indiquer que nous souhaitions trinquer. Ils se défirent alors et nous rejoignirent.

Il n'y eut pas de mots spécial a ce moments, tout le monde était détendu et conscient que tous les noeuds étaient maintenant défaits (permettez moi l'expression) pour la suite. Nous trinquâmes tous les quatre avec des regards complices. Puis je tendis mon verre en direction du cocu, qui resta assis où il était en tendant son verre d'eau. Laurence lui cria tout simplement

-"a ton bonheur mon chéri...mon petit toutou"

 

Puis sans attendre la réaction de son cocu, se retourna vers Claude et lui roula une pelle. Ca y était son starter de chaudasse était clairement allumé.

Je pris alors le verre de Claire et posai les deux notres sur la table. Je l'enlacai et commencai a l'entreprendre avec ma bouche à travers sa robe et mes mains. Puis à genoux je lui malaxais les jambes. Elle me retint un peu. Je me dit alors que Claire, ce n'était pas Laurence et qu'au niveau exhibition il fallait respecter le peu d'expérience qu'elle avait probablement en la matière.

Je me relevai donc et l'entraînai à nouveau à l'intérieur de la maison. J'en profitai pour crier au cocu:

-"Alain, merci de ne pas nous déranger et de rester dehors.  de tout façon le spectacle pour toi y est."

 

A peine rentrés, nous nous jetions l'uns sur l'autre, mes mains envahissant sous sa robe et partnat sous sa culotte. ma tête dans sa poitrine.  Elle était surexcitée.

-"tu n'as pas une chambre ?"  ironisa-t-elle en me tutoyant pour la première fois.

-"Nous avons le temps" répondis-je

 

Je me relevai et la prit par les fesses pour la déposer sur la table. j'ouvris ces cuisses, écartai sa culotte et entamai un cunnilingus forcené. Elle ne résista pas,et je sentais qu'elle se déshinibait de certaines choses. A l'extérieur j'imaginais très bien que cela devait progresser pas mal nous plus entre Claude et la salope.

Je me relevai contre Claire. Elle descendit doucement mon short d'une main. Je sentis ensute celle-ci entourer ma queue durcie. Sa main était brulante. Elle m'attira vers elle plus près encore, par la queue, et la présenta à son sexe déja mouillé.

L'envie brulante nous permettait de simplifier les préliminaires. Je la pénétrai facilement, ou plûtot elles m'aspira avec son sexe. Quelle douceur et quelle chaleur. Mes mains commencaient à dégager ses seins l'un après l'autre. Nos bouches se mangeaient. Nous fimes l'amour ainsi rapidement. Sa main pelotant ma fesse, son autre main me caressant les couilles furent des arguements suffisamment convaincants pour que je jouisse en elle.

Cette première relation plûtot bestiale était le résultat d'un travial cérébral de deux jours. Je l'embrassai ensuite partout où je pus, n'hésitant pas à revenir sucer son sexe dégoulinant de mon sperme. Ce qui la fit éclater de rire.

Je lui dis, autoritairement

- "enlève ta culotte, tiens la a la main et allons rejoindre les autres".

 

Elle m'obéit. Nous sortimes. Laurence et Claude n'étaient plus devant là table. Une seconde à scruter les alentours, ou plutôt a voir qu'Alain regardait en direction du portail  (toujours assis avec son verre, mais il s'était reculé de cins bons mètres encore, probablement pour paraître plus discrets en temps que voyeur-cocu), et nous aperçumes de dos Claude en train d'aller et venir tranquillement dans la pétasse qui était debout a l'équerre contre le portail, jambes écartées, le reste invisible car caché par son cul et par Alain aussi il faut bien le dire, qui la tenait par les hanches.

J'observai la réaction de Claire devant cette scène. Elle n'apparut pas troublée me regarda et me confia amoitié ironiquement:

-"j'ai pris du retard sur lui en 24 heures" ,  puis continua: " ...  je propose de le rattraper avec toi"

 

Je l'ai prise dans mes bras et  nous nous sommes assis à reprendre nos verres de Champagne, elle appuyée contre moi. Trois minutes après , Laurence et Claude nous rejoignaient. Laurence était cul-nu et a demandé à Claire si elle était gênée de ce fait. Claire l'a rassurée en affirmant que cela faisait partie de cet  ambiance détonnante de ces derniers jours et que de plus son corps étant magnifique elle y trouvait elle-même une source d'excitation. Claire dénoua même complètement la chose en affirmant :

-" Il n'y a pas que mon mari, votre amant et votre cocu à vous trouver belle et à ne pas résister a à vos charmes pour vous mater, moi j'apprécie aussi ! "

 

Par jetdor man - Publié dans : uro a trois, cocufication
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