Catégories

 

uro a trois, cocufication

Samedi 24 septembre 6 24 /09 /Sep 00:00

 Nous leur avons dit que nous nous préparions et les rejoindraient dans une petite demi-heure.

 

"Laurence, viens me montrer ta valise d'habits. Nous allons choisir tous les deux ton équipement. Alain mets un short ou nimporte quel habit ringard, il faut que tu ait l'air d'un vrai imbécile, cela donnera encore plus a croire au gars qu'il est facile de se taper ta femme."

 

J'ai suivi Laurence sans oublier de lui tater les fesses dans l'escalier. elle a ouvert sa grande valise. effectivement elle avait fait des achats à Bordeaux la salope ! string, chaussures, jupes, culottes, tee-shirt, pull, robes ...

 

J'ai opté pour une robe de soirée noire décolletée, sans manches,  ample, assez courte.

"Et passe un beau bijou autour du cou, des boucles d'oreilles. Un zeste de rouge a lèvres et talons aiguilles. on va faire fumer le  pantalon du gars..." 

 

Quelle classe, en plus du décolleté devant, la robe sans manche montraient ses bras et sa poitrine naissante de chaque coté.

 

 A-ppé-tis-sant-te.

 

Juste abant de redescendre, je n'ai pu m'empecher de la pencher en avant et d'enfouir mon visage sous sa caverne d'Alibaba et de lui manger le cul et bouffer sa culotte.

Bouteille de champagne dans le frigo, et nous voila partis tous les 3 chez Claire et Claude.

Claire était en robe longue, élégante mais pas de fantaisie dans la tenue vestimentaire. Claude en short, tee shirt clean. Ils étaient assez sexy tous les 2 finalment, même si légèrement rougeauds ...

 

Claire a pris la bouteille de champagne de mes mains. Je me suis excusé pour ne pas avoir amené de fleurs suite a cette invitation improvisée. elle m'a lancé un sourire et est allée à coté à la cuisine vers le frigo avec la bouteille. Claude nous invitait à nous assoir dans ce salon. Laurence et moi choisissons le canapé, Alain un fauteuil.

Claude gère les apéros et nous sert. Il est sur un fauteuil en face de nous, de l'autre coté de la table sur laquelle il sert nos apéro. Il s'efforce de na pas reluquer les cuisses et autres atouts de Laurence mais il semble que ce soit dur ...

 

C'est moi qui ai entretenu la conversation avec Claude et Claire, laquelle nous a rejoint, s'asseyant à coté de son mari.

Conversations triviales sur: la campagne, la ville, leur activités, les notres (on évoque à nouveau le nudisme entre autres).

 

Champagne servi nous trinquons. Les yeux de Claire dévorent les miens au moment où nos deux verres s'entrechoquent. Déja le regard de Claude se laisse aller à dévorer le cul de Laurence, et à chercher à voir sa chatte, que son string ne camoufle même pas, vu que la pétasse, a décroisé ses jambes et les laissent déja un peu s'écarter.

 

L'atmosphère est sensuelle, très vite deux conversations parallèles se gèrent. Claire et moi, de l'autre coté Laurence et Claude, lequel s'efforce encore de faire mine de parler avec Alain autant qu'il parle avec Laurence, mais comme Alain ne donne aucune répartie, il devient vite quasiment le teneur de chandelle, ce pour quoi il est là de toute facon.

 

Je n'oublie pas d'attraper des amuse-gueules en même temps que Claire, et d'en profiter pour frôler se mains. Je reparle nudisme

-"moi, je n'y pense même plus ... lorque je suis à poil chez moi ou dans mon jardin, j'ai vite tendance à oublier que les gens extérieurs y sont habitués comme moi "

  

Claire se jette sur la perche que je lui tends:

-" mais je crois que je ne serais pas anxieuse à vous voir nu.  bien au contraire", à voix assez réduite pour que tout de même son mari n'entende pas, bien que celui-ci était déja en train de débattre avec Laurence sur je ne sais quoi, mais ils riaient.

 

Puis remélange de nos conversations (c'est un timing important), je suis passéz à l'étape suivante : jeter un trouble positif dans l'esprit de Claire et Claude. Comme ils savaient qu'Alain était le mari de Laurence, et moi un de leurs amis, je me suis rapproché de Laurence, lui ai mis la main autour du cou, et en l'embrassant dans le cou et légèrement sur la bouche...

 

-"Laurence chérie trouve cet endroit génial, ainsi que son mari qui s'y épanouit aussi ..."

j'ai continué à l'embrasser plus fort, en descendant ma main sur sa fesse. Laurence appréciait.

c'est peu de dire qu'il y a eu un blanc dans la conversation. Laurence a pris ma main et celle de son mari, et a dit en riant : 

-"oui c'est un endroit très adapté pour la détente et le plaisir ..."  puis en prenana Alain à partie :

 

-"tu ne trouve pas,  chéri , que Carmure s'occupe bien de moi,...".

 Le message à l'intention de Claude était clair : Laurence n'est pas une pute qu'en apparence ! 

 

Nous sommes passés a table. Alain au bout, Laurence à coté de Claude, moi de Claire. Je n'ai pas attendu avant de faire du pied à Claire, qui donnait le répondant. Laurence faisait la même chose en face, évidemment. Le décolleté de Laurence cachait maintenant difficilement ses seins. J'ai remarqué que Claire regardait son mari les reluquer, mais ne s'en offusquait pas, au contraire. j'en déduisais qu'elle s'accomodait très bien de voir son mari regarder ailleurs.

 

j'ai demandé sans ambages quel jour Claire travaillait à Aubusson. Les matins du  mercredi, Jeudi, Vendredi. Son mari était occupé dans ou autour de la maison en permanence, en ce moment.

 

A la fin du plat, Claude s'est levé de table :"je vais rechercher du vin à la réserve...".

 

 Une opportunité de faire avancer le schmilblick. c'est a ces moments là qu'il faut avancer ses pions: j'ai été plus insistant avec Claire sous la table. Tout en lui parlant ma main était sur sa cuisse. 

 

J'ai regardé Laurence dans les yeux et lui ai fait signe. Elle a compris que je lui demandais de se débrouiller pour suivre le mari. 

 

C'était doublement nécessaire : pour elle, pouvoir le coincer quelque part, mais pour Claire que je ne pouvait entreprendre plus tant qu'il y avait présence d'autrui. J'ai fait pareil avec Alain qui a compris qu'il devait décamper ...   "je je vais aux toilettes" a-t-il bredouillé.

 

Claire, complètement émoustillée lui a indiqué où se rendre. Elle n'a même pas vu que La robe de Laurence qui sortait ne s'était pas rajustée lorque celle-ci s'est levée, dévoilant son cul et son string (une fois de plus...).

 

Seuls, je me suis tourné vers Claire, et lui ai roulé une pelle. Elle a roucoulé et s'est abandonnée, ma main pelotait son ventre, ses seins , ses cuisses à travers ses habits.

 

- "débrouille-toi pour passer au gîte quand tu peux lui ai-je dit."

Après une hésitation, elle a simplement répondu :

-"... j'essaie dès demain après-midi"

 

Puis après avoir palpé ses seins à deux mains, nous nous sommes remis d'aplomb, pressentant que Claude et Laurence alllaient revenir.

 

En effet, Laurence est rentrée la première ...

-"il fait pas trop mauvais ce soir" , a-t-elle commenté. Ele m'a regardé, un sourire j'ai compris dans sa mimique qu'elle avait déjà "converti" Claude. Celui-ci est arrivé quelques minutes après, mine de rien, avec la bouteille. Alain nous a rejoint sans que personne ne le remarque.

le repas s'est terminé normalement, pas très tard. Nous les avons quittés. Un étape supplémentaire était franchie avec eux. J'étais très excité, et je n'étais pas le seul.

 

Sur le chemin, j'ai pris Laurence par la taille et je l'ai embrassée tout en arrachant son string d'un coup très sec et très violent.

 

-"raconte! " lui ai je ordonné  en sortant ma queue.

 

-"j'ai rejoint Claude, qui a feint dêtre surpris. Je n'y suis pas allée par quatre chemins : je lui ai dit que j'avais chaud et j'ai ouvert ma robe devant lui en me caressant les seins. "bouffe-les" lui-ai je dit. Il ne s'est pas privé. "demain ta femme travaille le matin. je souhaiterais que tu me fasses visiter ta maison et toutes tes machine agricoles. il n'a rien répondu ... car il est d'accord et en crève d'envie. je lui ai alors montré mon cul en lui disant qu'il allait se régaler le lendemain . puis je suis revenue avant lui".

 

Pendant qu'elle racontait cela, je l'avais déja bousculé contre le poteau du portail pour la prendre.

 

-"demain moi aussi je vais peut-être m'occuper de sa femme..." ai-je dit .

 

Puis alors que je la limais, j'ai annoncé à son mari :

-"je vais aller écrire mon journal dans le salon , Alain. Tu vas me sucer pendant ce temps devant ta femme, si elle souhaite contempler le spectacle." 

 

J'ai arrêté de copuler avec Laurence. "Allez, on y va!".

Je me suis installé au salon avec cahier et stylo, à poil (il faisait un peu frais). Alain s'est mis a genoux entre mes jambes et m'a sucé avec passion et attention. Je bandais. Laurence ''était assise sur la table et se caressait.

 

-"vas-y toutou, suce bien mon amant... excite-nous bien pour qu'il me baise bien après."

-"tu suces bien ... presqu'aussi bien que ta pute" ai-je dit a Alain. "Cette nuit il va se passer un petit truc spécial, dans ta chambre. Je sais que tu prendras cela pour une récompense . Tu connais les consignes. Allez ... va te coucher".

  

Alain a obéi et filé le plus vite possible. Je suis resté avec Laurence pour finir mon journal du jour. Elle s'était carrément assise sur la table, jambes écartées face à moi en se branlant.

 

-"dépêche-toi mon chéri tu m'as chauffée tout a l'heure. En plus, j'ai une petite idée de ce que tu réserves à mon cocu pour cette nuit et ca m'excite."

 

J'ai terminé la journal. et nous sommes montés. Je l'ai prise en levrette, nous avons laissé la porte ouverte pour qu'Alain nous entende. Nous l'avons entendu approcher de la chambre pendant nos ébats musclés. Il s'est encore branlé plus ou moins discrètement derrière la porte, ce salaud, en nous matant.

Entre autres insanités, Laurence a hurlé a son intention, alors que je la prenais de coté par derrière.

"ohhhh, regarde nous cocu minable! fais nous  jouir encore plus fort en nous regardant. ta femme est une super-pute ... demain elle va te cocufier à tour de bite  ... ooohhhhhhhh" ...

Nous avons joui. Le cocu est reparti discrètement dans sa chambre. Nous nous sommes endormis après que j'ai dit à Laurence :"Cela va être une nuit à marquer d'une croix pour ton cocu, ma chérie. Tu viendras avec moi tout à l'heure dans sa chambre..."

A suivre.

Par jetdor man - Publié dans : uro a trois, cocufication
Ecrire un commentaire - Voir les 4 commentaires
Vendredi 16 septembre 5 16 /09 /Sep 00:00

Nous sommes arrivés à Aubusson. La pétasse habillée en pute et sentant la pisse. Le cocu bien ému.


« Allons boire un coup pour nous remettre d’aplomb. »


J’ai choisi un café avec salle assez grande. « Allons au fond la-bas. » Pas grand monde en cette fin de matinée.

 
« La pétasse,  tu te mets face a l’entrée, toi Alain à coté d’elle. » Je me suis assis en face de la pétasse.


Le serveur est arrive plateau a la main. Il a repéré la pétasse, son œil s’est arrêté brièvement sur elle,  inquisiteur, surtout sur son cul.

 
« commande pour nous, Laurence. » ai-je dit. Elle a compris le message subliminal.

Tout en réfléchissant à haute voix à ce qu’elle allait commander et nous avec, elle s’est tournée doucement vers l’extérieur de la table, a ouvert sa jambe, et tout en commançant à passer ses mains sur son genou et sa cuisse.


« heu heu  un jus de tomate …   et … 2  eaux gazeuzes » (oui eau gazeuse en vue uro …)


Le gars a lancé un sourire gené devant l’attitude de la salope. Il allait dire quelque chose mais avant d’ouvrir la bouche, Laurence l’a coupé :

 
-« Où sont les toilettes SVP ? »

 
Le gars a indiqué le fond de la salle a l’autre bout. Laurence s’est levée et s’y est dirigée, dandolinant son cul. Le serveur et moi nous sommes retournés pour la regarder. Elle passait ses mains sur ses fesses et a soulevé sa robe pour montrer son cul. Puis elle a disparu à l’angle du comptoir , cul à l’air, string ridicule dans la raie. Je ne sais pas si le serveur avait repéré l’odeur de pisse.

 
Celui-ci est reparti sans rien dire. Après un premier instant de gêne, il s’était remis d’aplomb, et se comportait comme si la situation était normale. Laurence est revenue des toilettes, et devant le bar, au niveau du serveur, s’est arrêtée sans le regarder, et a sorti un sein pour le caresser quelques instants. Elle a tiré sur le téton. Elle a sorti le deuxième sein, puis s’est adressée a moi depuis où elle était :

 

  « Carmure, tu m’as fait un peu mal aux seins tout a l’heure, je les sens encore, c’est encore très excitant ».

   
La situation était tellement provoquante que je crois que probablement le cerveau du serveur n’arrivait pas a se connecter au réel. Il continuait à préparer nos boissons comme si la pute qui était devant lui n’était pas là ou comme si elle était tout a fait normale. Rupture de communication dans son cerveau.

 
Laurence a alors repris chemin en direction de sa place. Elle a a nouveau ré-écarté sa jambre a l’extérieur, en direction du bar et du serveur. Je me suis penché pour regarder et lui mettre la main sur sa cuisse. Et volontairement j’a dit a voix haute:

 
-«  mhhh, chérie, tu as encore mangé ton string avec ta chatte, je t’ai dit de faire attention » Elle montrait carrément sa chatte. Elle était de plus en plus excitée. Elle s’est affalée un peu sur sa chaise, chatte en avant. Sa tête s’appyuant sur son mari. Elle sa commencé a se branler. Puis son corps et sa tête ont disparu derrière la table. Le serveur mainteant avait les yeux rivés sur la scène : il voyait deux jambes magnifiques, une chatte surplombée d’un mini-robe, et la main de la pétasse qui s’activait de plus en plus sur le clito. Il ne voyait ni le tronc ni la tête. scène assez rare tout de même ...

 

Laurence commença à baragouiner derrière la table :

 
« Carmure … S’il te plait … dis lui de venir me baiser … en plus, il a rien d'autre à faire ».  Je n’ai rien répondu. Je me disais que le gars n’allais pas oser approcher pour  nous servir si la situation n’évoluait pas.

 
Comme dans toutes les situation anaolgues que j’ai vécues, je savais que le cerveau du gars fonctionnait a 150 a l’heure, et que s’il avait été choqué irrémédiablement de ce qu’il voyait il nous aurait déjà mis dehors en menaçant d’appeler la police. Donc son cerveau et ses hormones travaillaient pour nous et lui disaient plus ou moins qu’il devait laisser faire la situation de dingue a laquelle il était confronté. C’est dans cet état d’analyse de la situation que je lui ai donc dit , feignant de plaisanter, mais appuyant encore plus sur le bouchon que Laurence avait déjà bien enfoncé :

 
« si vous voulez vous occupez de madame, je pense que vous avez remarqué qu’elle était prête !"  puis dans la foulée, je me suis adressé à Laurence :

 
« Chérie, retourne au toilettes, Monsieur accepte de venir à ton aide, mais tout de même, laisse à ton mari et à moi-m^me un peu de tranquillité ».

 

Laurence s’est relevée et est repartie en direction des toilettes. Seins et cul a l’air. On savait à partir de cet instant que le mec ne maîtrisait plus la situation : tous les verrous explosaient dans son cerveau. Le gars est venu rapidement nous servir. Il estt repassé a son bar pour poser le plateau, puis et reparti la-bas au fond en direction des toilettes.  Authentique. Son cerveau et sa queue était venu à bout de ses conventions qui il le croyait encore lui-même quelque minutes avant, l’empêcheraient en principe de céder à  ces (forts) instincts. Et bien non. Il se retrouvait comme les autres a se faire sucer par la pute.

 
Comme les autres il a eu droit a lui éjaculer dessus (sur la cuisse) en 2 minutes. Elle a donné son numéro de portable, maintenant c’était automatqiue, après être revenue a sa place. Elle avait joui aussi en se branlant et elle était un peu calmée. Entre temps bien sûr, Alain avait sorti sa queue discrètement pour s’astiquer mais n’était pas aller jusqu’a éjaculation.

 
Par contre moi, j’étais surexcité. Je l’ai fait savoir a Laurence.

 
-« tu veux me sodomiser par là autour ? », a-t-elle dit. J’ai bien aimé l’expression « par là autour. »

 
-« non, un peu plus tard » lui ai-je répondu.

 

 
J’ai payé et nous sommes parti. Je voulais que Laurence pisse dans un parc public, éventuellement devant un ou deux passants mais ça ne pouvait s’improviser qu’en dernière seconde. Nous avons donc achetés de l’eau et nous avons bu tous les trois, il y aurait de l’uro dans l’après-midi pour tout le monde. Nous nous sommes promenés, Laurence matée par tous les passants. Ca l’excitait, et par moment elle ne pouvait s’empecher de se caresser les seins a travers la robe, voire de les sortir quelques instants. Dans une petit rue d’une cinquantaine de mètres, où nous étions seuls, elle les a même sortis tous les deux et a marché une vingtaine de mètres, seins splendides  à l’air. Sans problème. Ils pointaient. Elle était même presque déçue qu’il n’y ait pas un passant pour la mater. J’avais la trique. Alain se tenait a distance. Je nous ai dirigés en direction de l’Eglise. Quand nous nou sommes approchés et que Laurence a compris où nous allions  elle s’est exclamée :


- « ouhlala, ne me dis pas que .. »

 
- « Si » L’ai-je interrompue, «tu me donnes trop la trique » Nous sommes entrés. Laurence commençait a nouveau a être excités. Il y avait deux badauds dans l’église.

 
- «  Alain, tu restes près de l’entrée. Si des gens indésirés (enfants, vieux, coincé) approchent et font mine d’entrer tu files nous voir et nous prévenir. Si c’est un jeune ou un couple qu a l’air pas coincé, tu laisses aller. »

 
J’ai donc laissé alain faire la sentinelle pendant que j’allais troncher sa femme, laquelle était déjà loin dans l’église a repérer ou on pourrait se mettre et surotut ou je pourrais la mettre. Nous avons remonté une nef latérale. Les deux badauds on tfini par sortir.
J’ai bousculé laurence vers un banc de l’église. Elle s’est appuyée sur la rampe. Je lui ai bouffé le cul comme j’adore en vrillant avec ma tête et la soulevant a moitié.  Je l’ai reposée, cambrée, je lui ai aspiré les lèvres puis l’anus. Elle était plus que prête.

Elle a trouvé une formule magique en ces lieux, a savoir du genre « ohh mon dieu,  mon dieu …  bénis mon Carmure ». Situation pornocomique.

 

Elle a eu droit a une belle sodomie, dans l’eglise. Que les pratiquant qui me liraient me pardonnent. Fesse écartées par mes mains et les siennes. Elle a fini pliée en deux, doitgts tendus sur le sol ,jambes tendues, cul en l’air, ouvert , robe retroussée, seins a l’evners qu’elle se mettait dans la bouche et pelotait.

 
« salaud, déchire-moi en deux ...  jusqu'à la gorge ».

 
je lui ai tapé sur le cul avec les mains pour lui signifier que j’allais l’inonder.


« … Aahhhhh ... c’est cela ..  viole moi, chéri. Entraine-moi a me faire violer.  organise des travaux dans mon cul pour qu’il soit la plus belle autoroute de France, mets le en chantier, fais-y venir beaucoup d’ouvriers ...».

 

Elle sait parler Laurence quand elle jouit.Je n’ai pu m’empêcher de crier au moment d’éjaculer.

   

Nous nous sommes rafistolés les habits et nous avons rejoint le cocu-sentinelle à l’extérieur. Il nous a interrogés des yeux et a vite compris que son compteur venait d’être incrémenté de une unité.
Nous sommes allés dans le parc à coté de L’Eglise. Je me suis assis sur un banc, j’ai demandé a laurence de faire de meme sur le banc en face, a 5 m environ, en lui disant:

 
-« Quand je claquerai des doigts tu commenceras a pisser, assise. Tu écarteras ton string s’il le faut pour faire un beau jet. C’est un ordre si quelqu’n passe au moment ou je claque des doigts, cette personne n’existe pas pour toi, tu pisses,compris ? »

 
- « c’est pas très compliqué, mon chéri »
  a-t-elle dit, pour montrer que ce n’est plus ce gence de scénario qui l’impressionnait.

 

Elle s’est assise, jambe écartées, son string était encore visible dans sa chatte, mais il faisait plus penser a Erika en décembre 99, qu’a un sous-vetement ‘Aubade’. 

  

Alain avait pour mission de se promener dans le parc, comme s’il ne nous connaissait pas. Nous avons atendu un peu. Un couple de vieux est arrivé en face de moi a trente mètres, dans le dos de laurence donc.

 
Ce n’était pas le plus excitant, ni le moins non plus. Et avec des octogénaires, quel risque y avait-il. J’ai bien attendu qu’il arrive deux mètres derrière le niveau de Laurence. Puis j’ai claqué des doigts. Laurence a penché alors sa tête en arrière, et écarté sa culotte écartant bien les jambes.  Elle n’a même pas vu la tête du ou des passant(e)s, ce qui montre bien son niveau d’ouverture en matière sexuelle !

 
Le jet est sorti contre sa cuisse dans un premeir temps, puis plus fort a tracé une belle parabolique. Laurence poussait, ce qui a engendré un bon lancer de deux mètres. Les deux vieux bien qu’ils étaient concentrés à regarder leur chemin ont remarqué un truc, ou bien entendus le bruit de la pisse et se sont arrêtés. Ils ont tourné la tête, et là encore plus que pour le serveur, je pense que leur cerveau n’arrivait pas à se connecter avec les images que leurs yeux leur rendaient. Ils sont restés impassible quelques instants. La vieille a baragouiné un truc incompréhensible. Laurence pissait toujours tête en arrière. Les vieux ont repris leur trajet, ils se sont échangés quelques onomatopées.  Laurence émettait des petits cris. Je l’ai informée qu’il n’y avait plus personne qu’elle pouvait se lacher. Elle s’est redressée, son jet diminuait de puissance et elle s’est masturbée à un rythme d’epilleptique en poussant des cris aigus. Elle a eu un mini-orgasme et s’est rajsutée.

 
« si tu as envie de me pisser dessus, chéri … » m’as-t-elle suggéré. Mais j’ai décliné, en vue d’une scéance uro plus intime.


Nous sommes rentrés au gite. Laurence et moi dans les bras l’un de l’autre sur le chemin du retour. Nous avons repris nos forces avec une petite collation servie par Alain. Je lui ai demandé de me sucer un petit coup, histoire de.  Puis j’ai proposé à laurence de lui pisser dessus avant d’aller faire une sieste avec elle.  Je lui ai juste pissé sur la chatte sur le coin de la table et nous sommes allés nous rincés et faire notre sieste.

 

 
« ce soir, il faut que l’on rencontre le couple du bas absolument. Vu tes exploits ce mation avec le proprio, sans aucune préparation, je me dit que je me prends trop la tête avec le couple,  et qu’on va y aller franco. Je pense que je peux peut-être régler le problème de la présence de sa femme, vu que celle-ci m’a lorgné comme une malade la dernière fois que je l’ai ai vus. Si je mets le paquet sur elle, cela libérera certainement un espace de manœuvre pour son mari et toi …. Bref nous allons bien voir … ». Puis, Nous avons somnolés tous les deux.

 

Mais pas la peine de se fatiguer : Le soir vers 7 heures, ce sont eux, les voisins, qui sont arrivés au niveau de notre portail pour nous proposer un apéro mais aussi de dîner si l’on voulait avec eux.


Laurence, à poil dans la chambre, et descendue, et nous avons accepté leur propositions, pendant que le regard du gars (il s’appelle Claude) ne pouvait décoller du cul de Laurence et que Claire me dévisageait .


Le fait que Laurence a poil devant son mari ne la fasse pas tiquer m’a fait comprendre définitivement que c’est parce qu’elle comptait bien y trouver une « compensation » à travers moi.. Sinon, elle aurait tancé laurence, et ils ne seraient même pas venus nous inviter sachant qu’elle allait la trouver a poil probablement en arrivant : elle n’exposerait pas son mari a une tentation aussi forte aussi naïvement , et ferait même tout pour l’inverse : tenir cette fille a poil a distance maxi de son mec. Mais là non ! 

 
Donc a partir de ce moment, j’ai compris -qu’il y avait probablement un double boulevard pour nos ambitions- ce que nous avons vérifié par la suite. Claire avec moi, Laurence avec Claude, et le cocu .. tout seul ! 

 

A suivre.

Par jetdor man - Publié dans : uro a trois, cocufication
Ecrire un commentaire - Voir les 3 commentaires
Jeudi 15 septembre 4 15 /09 /Sep 00:00


Mardi matin. Réveil après 9h, Laurence dort encore. Je la caresse, descend dans le lit pour lécher son pubis et l’éveiller progressivement. Nous nous levons vite pour une douche tous les deux. Nous passons devant la chambre d’Alain sans même regarder s’il est là.
Douche, scéance uro classique : nous nous pissons mutuellement l’un sur l’autre dans la bouche et sur le corps. Il fait frais mais je demande tout de même à Laurence de descendre nue.

En bas, notre déjeuner est installé sur la table, à l’extérieur. Il y a tout de même un début de soleil. Nous nous installons.


- « en principe le propriétaire doit passer. Je l’ai prévenu que vous arriviez hier soir. Il est prévenu que nous sommes nudistes. Tu reste donc à poil ou quasi a poil le plus naturellement du monde, mais quand il arrive, tu lui dis bonjour dans cette tenue et tu vas passer une de tes culottes shorty. Tu joues l’émerveillée d’être arrivée dans un coin si tranquille, tu feins t’intéresser à son potager derrière le gîte, à sa grange car il y a plein d’objets anciens intéressants, etc, etc …. Bref tu te débrouilles pour donner un prétexte  a aller, seule ou pas, avec lui dans un coin ou dans un autre de la propriété. Après tu laisses aller tes talents de pétasse...
« … Dans le potager derrière ce serait le mieux, Alain et moi-même pourrions vous mater discrètement. En attendant, je vais vous faire visiter la propriété ».

 

Nous avons fini de déjeuner rapidement. J’ai appelé Alain, sans savoir où il était, mais il était dans ses règles qu’il devait être en permanence à portée d’oreille.

« mettez tous les deux  des chaussures adaptées à la compagne.  Restez ainsi avec vos sous-vetêments, vous êtes mignons »

Laurence est remontée pour enfiler des baskets achetées à Bordeaux. Alain est arrivé en caleçon depuis sa chambre.
Je leur ai fait faire un rapide tour a l’intérieur de la propriété, de la grange, puis on est sorti sur le chemin pour aller en direction des étangs.
Laurence , en passant le portail :


-« mhhh …, me promener en culotte sur la route comme cela, ….mmmhhh»
- « en passant devant la ferme,  prend ton temps, et si on aperçoit  le couple de gens tu leur fais un signe de la main, en allant vers eux, même s’ils sont a l’intérieur a une fenêtre. »

 
Nous sommes passés devant la ferme mais aucun signe de vie. Nous sommes donc allés jusqu'à l’étang et je leur ai montré la barque.


-« tu devines déjà Laurence, que j’ai une petite idée de scénario avec la barque ?»
-« ben oui, je pense que c’est approprié » a-t-elle simplement répondu. Ses seins pointaient.

 
Puis nous sommes retournés à la maison, des fois que le proprio arrive.
J’ai ordonné au cocu de retourner dans sa chambre, et Laurence et moi sommes restés dehors. Pour passer le temps, j’ai sorti les chaises longues dans la remise attenante au gîte et je lui ai fait un cunnilingus. 


Le proprio est ensuite arrivé. Je suis allé l’accueillir au portail, en disant a Laurence, à voix basse :


-« accompagne-moi vers lui à distance » …
-« bonjour Monsieur, tout va bien mes amis sont arrivés. Voici Laurence la femme de mon ami »

 
Le gars, prévenu que nous étions naturistes, à tout de même été gêné, mais devant la beauté de Laurence , il n’a pu s’empêcher de la mater de haut en bas. (je dirai pas de la déshabiller des yeux puisqu’elle  était déjà a poil quasiment). Il a essayé de faire comme si de rien n’était.


-« vous … vous avez fait bon voyage, Madame » dit-il à Laurence en lui serrant la main. »
-« oui, ce coin est magnifique, j’adore la campagne, les jardins, etc, etc..
 … j’ai vu que vous avez un potager, j’adore m’occuper des légumes, des fruits . Vous pourrez a l’occasion nous en faire faire le tour ? »
« je nous ha bon ?  .... ben allons-y , tout en dicutant ».

 
Puis s’adressant a moi :
-« tout est OK dans le gîte, Monsieur, rien ne manque, pas de problème ? »
- « Non rien de spécial »
répondis-je.

 
Le gars suivait Laurence et comme il me regardait à moitié pour discuter, ne vit pas que cette chaude en chaleur s’était arrêté nette devant lui. Cette salope m’avoua ensuite qu’elle s’était intentionnellement arrêtée, pour provoquer le contact avec lui. Quelle pute. Je l’ai félicitée pour cette approche, et cet état d’esprit sans scrupules pour arriver a ses (nos) fins. Bref, Il la heurta relativement violemment. Sa proximité soudaine avec Laurence en shorty, seins pointant, mains sur l’épaule a l’endroit où il l’avait heurtée eut raison de son aplomb.


-« Ohh … excusez-moi Madame,  je … je ...  vous n’avez rien , je suis désolé !! »
Laurence se frottait l’épaule, et le fixa légèrement: Lui s’approcha hésita avant de regarder de près son épaule. Elle le rassura :


-« non, ce n’est rien. Regardez .. » Elle lui présenta son épaule, pour l’obliger à poser sa main dessus. Le gars l’a touchée et regardée l’épaules de près. Cett super-pute a eu un frisson qui n’a échappé a personne. Elle s’est donc empressée d’enchaîner :


-« ohhh votre main est froide … mais regardez, je n’ai rien ..  allez venez on va voir le potager ».


Le comble est que le ce frisson n’était pas simulé pour sa stratégie. La main du gars lui a vraiment fait de l’effet. « j’était déjà excitée à mort. Quant il m’a heurtée, je me retenais déjà de me faire violer, et de lui prendre sa main pour la  mettre dans mon shorty en lui disant  ‘qu’est-ce t’attends pour me baiser ?’  »,  nous a-t-elle dit plus tard au cocu et à moi.

 

Il était temps que je m’éclipse : le gars était mûr déjà en deux minutes à peine. De l’art pur !  Laurence devenait experte pour convertir une situation standard du quotidien en situation optimale de baise genre «mon cul est a toi, ô toi qui ne m’avais jamais vu il y a une minute encore ».

J’ai fait mine de continuer avec eux, et j’ai donc prétexté d’un seul coup du lait sur le gaz pour m’éclipser. Arrivé à la porte d’entrée, j’ai grimpé l’escalier en 2 secondes, en appelant :

 
-« Alain, viens vite ! Ta femme est seule en tenue de trainée avec le proprio dans le potager .Elle a déjà chauffé le gars a blanc !  On va la mater discrètement par la fenêtre du couloir. »

 
Alain m’a rejoint vers la fenêtre du couloir en haut, qui donnait plein ouest vers le potager.
Laurence et le proprio étaient déjà visibles, Laurence marchant devant et montrant des trucs dans le jardin.  La fenêtre étant fermée nous n’entendions pas ce qu’ils disaient. Il était risqué de l’ouvrir sans attirer l’attention.

Le proprio, la suivait, à 3 mètres, et dès qu’elle regardait devant il en profitait pour la mater. Il regardait aussi autour de lui, un peu nerveusement , pour apprécier s’il était possible que quelqu’un les voie. Nous devions donc être très discrets alain et moi. Elle était au milieu du potager et elle montrait des trucs en parlant. Puis elle s’est baissée, pour cueillir un feuille de je ne sais quoi, lui montrant bien son cul moulé par son shorty. Ses seins balançaient légèrement. Le gars ne tenait plus ; ce mec eût été anormal de rester zen.  Il s’est alors approché plus près d’elle et ensemble ils ont regardé la feuille que tenait  Laurence. Il la frôlait,  la touchait presque.

Alain a coté de moi à commencé a sortir sa queue et se branler. Sa queue était magnifique, déjà bien arquée.


« Oh petit salope... championne ...   En moins de 3 mintues .. allez  .... vas-y, chérie »  , murmura-t-il.


En bas, le proprio avait déja la main sur l’extérieur de la cuisse de laurence. Il a à nouveau regardé tout autour de lui. Laurence a mis sa main sur le pantalon du veinard au niveau de sa queue et a défait le bouton. Le gars se laissait faire : à y réfléchir, les scénarios avec Laurence sont simples, personne ne peut résister dans de telles cirocnstances.

Elle l’a branlé. Elle s’est caressé un sein de l’autre main. Elle était debout jambes légèrement écartées. Elle a dit un truc. Le gars lui a empoigné l’autre sein, a parlé aussi. puis a fermé les yeux. Laurence a regardé dans notre direction,se pinçant les lèvres, passant sa langue dessus.


Alain :
- « ooh   quelle superbe  trainée » a-t-il continué en fermant les yeux Il avait une queue magnifique, moi-même je commencais a être excité.

C’étatit un moment important :  C’est la première fois que qu’Alain observait son cocufiage par quelqu’un d’autre que moi. Assister à cette double scène de la pétasse d’une part, du cocu jouisseur d’autre part m’a permis de ressentir un peu le type d’excitation qu’il pouvait éprouver dans cette situation. Il était clair qu’Alain prenait son pied.

 
J’ai sorti ma queue et l’ai proposé à l’autre main d’Alain, en lui disant :
« vas-y mon gars, défoule-toi et branle-moi aussi vous m’excitez tous les trois. »

  

Laurence branlait, le gars de la pointe des doigts. Elle lui a dit quelque chsoe et a éclaté de rire. Le gars a éjaculé. Alain 5 secondes àprès.

 
Le proprio s’est rajusté en bas et ils ont fait demi-tour pour revenir devant le gîte. J’ai dit a Alain qui avait arrêté de me branler après avoir joui :


-«  mets vite ton caleçon et descends dire bonjour au monsieur le plus normalement du monde »
Alain est descendu. Je l’ai suivi.
Laurence l’a présenté au proprio :


-«  Voici Alain mon mari. Il est moins friand que moi de potager »   a-t– elle dit avec beaucoup d’esprit. Elle a alors regardé le proprio en riant, puis lui a dit.


-« bon ben n’hésitez pas a revenir quand vous voulez, c’est chez vous après tout ici ».

 
Elle lui a fait un clin d’œil, clin d’œil visible de nous tous. Le proprio s’est d’ailleurs bien rendu compte que son clin d’œil n’était pas discrèt, il a du se poser plein de questions sur pourquoi Laurence prenait un tel risque de clin d’œil. Il est parti. J’ai dit à Laurence de s’approcher.Je lui ai roulé une pelle, et j’ai mis une main sur sa chatte. 


-«  oui je mouille, cela ne t’étonnes pas tout de même »
-« non, ce qui m’étonne, c’est que tu ne te soit pas mise en levrette au milieu du jardin pétasse. Mais enfin je dois dire que tu m’en bouche un coin : je passe des heures à étudier comment tu pourrais te faire baiser par le mec du bas, et toi en moins de deux minutes tu te fais le proprio sans préparatif aucun. Je dois dire que tu m’as excité, ton cocu aussi il a éjaculé quasiment en même temps que le proprio, tout en me branlant... Assieds-toi sur la table s-il te plaît ».

  
Elle a compris ce que je lui demandait.

 
-« oui super...   Baises-moi car la après cet échauffement j’ai le feu au cul »

   
Elle a préparé sa chatte , appuyée sur le bord de la table. Je me suis posé debout contre elle et l’ai prise, ce qui ne l’a pas empêchée de nous raconter : 

 

-« … en plus je lui ai dit que s’il voulait  labourer plus profondément , il n’y avait pas que le potager pour cela »,  il m’a répondu : «et ton mari ?ton ami ?», je lui ai dit que mon mari avait de la merde devant les yeux, et que mon ami me suatait depuis longtemps. Il a répondu, après un instant de réflexion suite à ma réponse « je repasserai demain, tu feras semblant de vouloir visiter le grange, et on ira ».

 
Alain nous regardait baiser et écoutait ce que racontait sa pétasse. Il s’est assis et s’est astiqué la queue mais ne re-bandait pas encore après l’éjaculation près de la fenêtre.

 
Laurence m’a demandé de venir dans sa bouche:


-« Carmure, tu ne m’a encore jamais éjaculé dans la bouche. Vas-y fait le s’il te plaît j’en ai envie là. Le proprio m’a chauffé et mon cocu qui nous regarde, c’est une situation idéale : cela lui plaira de te voir me vider dans ma bouche »

 
Elle s’est alors assise sur la chaise.

 
-« quand tu es en chaleur comme en ce moment grande pute, ta bouche c’est une chatte »
- « oui »

 
J’ai mis ma queue et j’ai limé doucement sa bouche. Elle m’a palpé l’ai couilles, elle regardiat son mari. J’empoiganis ses deux seins d’une seule main, les serrant l’un contre l’autre. J’ai joui rapidement dans sa bouche en ralânt.
Elle a gémi fortement, criant presque bouche fermée sur ma queue. Elle a tout avalé.


Puis elle a dit un truc auquel je ne m’attendait pas :

 
- «Cocu, j’espère que tu as vu comment on fait pour boire un homme, car je crois que tu vas avoir la chance de le faire bientôt. »

 
Laurence avait-elle lu dans mes pensées ces derniers temps , en tout cas elle progressait beaucoup en matière de pétasserie et de soumission de son mari. Alain lui n’avait pas bronché  à la remarque-suggestion de sa femme. Il est clair que j’avais compris qu’il était près de tout façon à ce genre de chose depuis longtemps.

 

-« Allez, on va à  Aubusson » ai-je lancé. « Laurence tu as quoi qui pourrait aller comme habit ? »
-«  plusieurs robe courtes, des collants, un vieux jean, un robe longue moulante, un short jean ultar-court, …»
-« mets ta robe courte avec un de tes shorty ou un string, des chaussures talons, un bijou autour du cou, des boules d’oreilles, sac a main rouge a lèvres. Comme en Normandie. On y va. Alain tu conduis ta voiture, je monte derrière avec ta femme. »

 

Nous sommes partis direction Aubusson.
Laurence assise derrière la place passager, moi derrière Alain. Main dans le slip de Laurence, sa main sur ma queue sortie, sa jambe gauche tendue entre les deux sièges de devant.

 
-«  Il faut que tu appelles Olivier,  Laurence. On va s’arreter, Alain trouve nous un coin sympa.  je vais faire un cunni à la salope   pendant qu’elle téléphone »
-« Ohh quelle bonne idée! ... chéri-cocu,  arrêtes nous. »


Laurence a préparé son portable, en cinq minutes Alain a trouvé un chemin le long de la nationale.  Il s’y est engouffré et s’est arrêté dans un coin tranquille.


- « ouvre ta portière et assieds-toi vers l’extérieur. Alain toi tu restes ou tu es, tu entendra ce qu’elle dira, et tu te branleras si tu en as envie évidemment »

 
Je suis sorti et ai fait le tour de la bagnole. Je me suis mis à genoux, mains sur ses cuisses j’ai commencé à la sucer, le string qu’elle avait mis était insignifiant.Elle a pris son temps pour  penser à ce qu’elle allait dire. Puis elle a composé le numéro.


- …
-
« Olivier ? ... … bonjour c’est Laurence »
- …
- « tu es à ton travail ? J’avais très envie de t’appeler. Je suis avec mon mari et Carmure l’ami  de st Valery. Nous sommes au gîte comme je te l’avais dita notre dernier coup de fil »
.- …
- « La semaine dernière j’étais en famille c’est pour cela que je n’ai pas trop pu parlé… maintenant je suis à toi. Dis Olivier, je …  je souhaiterais que l’on se voie bientôt, la semaine prochaine par exemple. L’idéal serait que l’on se voit a la maison, pour un diner ou tu feras connaissance avec mon mari, mais aussi on peut se voir tous les deux indépendamment. »
.. .
- « je … je sais. Moi aussi j’ai envie…  Fais attention avec ta femme tout de même.. Si tu le souhaites je peux me déplacer près de ton travail en mi-journée ? On pourra se détendre tous les deux … »

 
Cette pétasse m’excitait. Elle-même mouillait comme une fontaine en appelant Olivier devant son mari, tout en étant sucée.

 
- Nous ..Nous revenons en fin de semaine en région parisienne. Mon mari doit retravailler en principe mardi, et moi je ne reprends mon mi-temps que Jeudi.

 
- « … »

 
-«  OK Olivier réfléchis et vois comme tu peux arranger ton agenda avec ton boulot et ta femme. De mon coté je suis dispo, mon mari est impatient de te connaître. A la moindre opportunité dans ton agenda, sonne-moi : je serai a ta disposition…… tu .. tu as les salutations de mon mari et et … de mon amant.  Je t’embrasse bien fort  … partout. Je suis à toi. »

 
Elle a raccroché, et m’ a demandé illico de la prendre, justifiant :


-« Ooooohh comme je suis excitée ! ...  sa voix au téléphone, il ne pouvait pas trop parler dans son bureau. Viens allons dehors prend moi sur le capot avant de la voiture, devant mon mari, comm d’habitude … »

 

Elle est sortie et eest allée se pencher an avant sur le capot, cul au ciel, en regardant Alain qui s’astiquait dans la voiture. »
Je l’ai culbutée et sodomisé sans ménagement. Ce qu’elle voulait. La voiture tanguait sous nos deux corps. Et son cocu qui se branlait encore. La tête de Laurence posait latéralement sur la voiture.


« bousille-moi, Carmure, donne moi le traitement que je mérite, je t-en supplie. Détériore mon cul s’il te plait …. …  Aaaa ahhhh ...  ca  y est  .... je ... vais .... jouir »

 

Elle tapait violement d’une main sur le capot.. Pour l’exciter et l’achever encore plus je lui ai dit :


« parmi les scénarios envisageables, il y a celui du viol. Cela te plairait de te faire violer ? ... réellement violer, pétasse ? ... moi je pense que tu es prête pour cela maintenant .... »

 
Elle n’a pas répondu, car elle a hurlé son orgasme. Le capot souffrait. Elle s’est affalée. Je l’ai laissée un minute. Il se trouve que j’avais légèrement envie de pisser. J’ai sorti ma queue. Lui ai pissé un peu dessus, sur sa mini-robe, dans la bouche.


-« au point de putasserie où tu en es, un peu de pisse sur ta belle robe n’en sera que plus excitant à Aubusson .. »
- « comme tu veux, Carmure. Oui tu as raison … je veux puer la pisse pour toi. »
-« allez remonte dans la voiture,  traînée ».

Nous avons tant bien que mal retrouvé nos esprits jusqu'à  Aubusson. Alain devait faire des efforts pour conduire prudemment tellement il était ému. Laurence dégageait un peu l’odeur de pisse.


« je sais pas ce qu’il va encore m’arriver en ville, mais je sais que cela va me plaire ça s’est sûr.  …Pour le viol, c’est plus fort que moi, ta suggestion de tout à l’heure me donne des picotements… c’est incroyable ça ! . Je ne me contrôle pas. Oui Alain cocu chéri, Carmure me propose de me faire violer. Je lui fais confiance pour la mise en scène et la sécurité…  ohh j’ai envie de me faire violer.  Alain chéri, tu es vraiment  un cocu béni … » .

   

Elle en avait dit assez. Nous reviendrons à ces scénarios de viol dans les semaines a venir. 

A suivre -demain.  (j'ai décidé pour l'instant de respecter la chronologie des évènements, grâce a mon journal ...)


 

Par jetdor man - Publié dans : uro a trois, cocufication
Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus