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uro a trois, cocufication

Vendredi 13 janvier 5 13 /01 /Jan 12:52

Nous nous sommes allongés sur le lit. Vrai petit repos. peu avant midi, j'entend vaguement un véhicule qui approche de la maison. je file vers la fenêtre pour observer.

 

C'est bien le propriétaire. Alain est déja sur le palier à l'attendre en bas, tout obéissant. Le proprio a une tenue plus légère que la veille (bermuda long, tee-shirt assez classe ...). Il s'approche du portail en observant, il aperçoit Alain.

 

-"bonjour, belle journée n'est-ce pas" dit-il en passant le portail

 

Alain ne répond pas et s'avance pour lui serrer la main.

-"j'avais un peu de temps, et comme on avait suggéré que je repasse aujourd'hui ..."

Le 'on' était très diplomatique, puisqu'il s'agissait de la pétasse qui lui avait quasiment proposé devant son mari de venir la baiser quand il le voulait, mais bon ne nous formalisons pas...

Alain l'aida dans sa  "besogne" et lui facilita la tâche, comme il était prévu et assigné qu'il le fasse.

 

- "oui ..oui, ma femme est à l'intérieur, elle vous attendait avec impatience, elle voulait voir ou visiter je ne sais quoi avec vous , je vais la prévenir."

 

Alain est rentré tout trotinnant et a monté l'escalier. Il s'est approché tout timide de notre porte. Je lui ai signifié, a voix basse pour que le proprio n'entende pas (j'avais laissé la fen^etre entr'ouverte).

 

- OK Alain c'est compris, re-descend et rajoute une couche en lui disant que ta femme arrive le temps de se préparer et qu'elle n'a pas arrêté de parler de lui depuis hier. STP essaie d'ajouter une remarque du genre "mon épouse a été très enchantée de vous connaître ...". Ca va l'intriguer et le conforter dans le motif de sa visite : tirer ta femme. file."

Alain est redescendu.il a appliqué la consigne quasiment à la lettre. De la fenêtre, j'ai aperçu le sourire en coin du proprio qui devait se dire "quel cocu, quel imbécile" ce qui était bien sûr le but. Je devinais presque sans ses yeux l'excitation à la perspective de voir Laurence dans quelques minutes, avec un mari de celle-ci aussi crétin !!

  

J'ai donné mes consignes a Laurence : léger maquilage, tee-shirt moulant, mini-jupe sans culotte, chaussures basses. détour rapide par la salle de bain pour maquillage léger. Et en avant!

 

Alain avait filé dans sa chambre avec pour mission réitérée de mater, de se branler à volonté.

Laurence a descendu l'escalier. Je devinais  la démarche lente aux légers grincements. Elle est apparue en dessous de la fenêtre. Elle a tendu la main pour serrer celle du propriétaire

 

-"Bonjour, je vous attendais". Ton sans équivoque, ferme, suave.

 

-"Vous... vous m'attendiez ? a feint d'être surpris le proprio.

 

-"Ouiii ... pour la grange vous savez bien .. hi hih hi" Laurence feignait de jouer la cruche.

 

L'autre marchait. Il se léchait déja les babines. L'attitude volontairement cruche de la trainée l'encourageait à être plus audacieux et inquisiteur.

 

-"Et vos amis ? nous y allons seuls ?"

 

"Oh mon mari a affaire et mon ami est dans la douche. Je n'ai pas envie de les attendre allons-y SVP. Après tout je profiterai mieux .. hi hi hi .."

 

Elle est passée devant lui. Cette salope s'est baissée pour feindre de ramasser un morceau de branche qui trainaît par là. Pendant 2 secondes, on n'a plus vu que son cul. Le proprio en premier, il s'est même baissé légèrement le salaud pour mater sa croupe. Il devait déja baver. Moi aussi, elle m'avait mis la trique. Et Alain devait probablement déja s'astiquer le blaireau.

 

Il ont disparu derrière le portail en bifurquant à gauche. Je me suis remis sur le lit. 

 

Ving minutes après, on les a entendus revenir. En fait, elle a laissé le proprio au portail. Puis elle est venue directement dans la maison puis dans la chambre ne nous voyant pas en bas.

 

Elle était radieuse, bien que légèrement ébouriffée, et encore dans un état second comme à chaque fois maintenant. Elle m'a rejoué quasiment le même top que le matin.

 

-Ohh Carmure .. Je suis une vraie pétasse maintenant. C'était sensationnel contre la machine agricole. il m'a soulevée ... oohh ... j'en vibre encore ..."

 

elle s'est mise sur le lit, sur le dos.

-" Viens encore me baiser Carmure... S'il te plait, c'est vital".

 

Inimaginable. Cette salope dépassait tous nos objectifs . Elle me foutait la trique en un dixième de secondes. Je me suis allongé sur elle doucement, mais de tout mon poids.

 

-"oui écrase moi en m'enfilant STP, écrase la pute du millénaire.... montre-moi ..."

 

J'ai mis ma main devant sa bouche, pour la faire taire. J'étais dans un état d'excitation vertigineuse. J'ai dû la limer à peine quatre fois tout au plus avant de décharger et de râler, une main sur sa bouche, l'autre étripant son sein. Ses yeux étaient brillants, je lisais sa fierté d 'être désirée, pute et excitante à ce point. J'ai enlevé ma main devant sa bouche.

 

-"Ohh chéri, quel plaisir que j'ai à t'exciter à ce point...  Je n'arrête plus d'avoir envie de me faire sauter, c'est infernal... S'i il n'y avait pas cette interdiction de me faire mettre par mon mari cocu, je l'appellerais... Fais quelque chose chéri."

 

-"Tu peux toujours te branler, ou prendre des légumes, cela ne manque pas par ici". Je n'ai rien trouvé de mieux à lui dire.

 

Alain, de son coté, s'était rapproché de la chambre dont nous avions laissé la porte ouverte et nous regardait discrètement depuis le couloir, comme il en avait le droit.

 

-"Alain, je t'autorise à venir lécher et nettoyer la chatte de ta nympho. Et ma queue aussi par la même occasion".

 

Il est entré, tout content d'être sollicité pour cette double tâche. Laurence était allongée sur le dos, a écarté les cuisses, et son cocu a enfoui son visage pour la lécher. Pendant ce temps, je me suis allongé aussi sur le dos à coté de Laurence. Ne disant rien, nous regardions tous les deux le cocu s'appliquer à lécher, enfouir sa langue dans la moule inondée de la pute. Au bout de dix minutes environ, il s'est mis en train de venir me nettoyer aussi la queue.

 

Son application  et sa compétence croissante validaient le fait qu'il jouissait fortement de toutes ces aventures.

 

-"Ce soir Alain, tu iras toi-même, chez Claude et Claire pour leur proposer de venir diner ici. Tu nous prépareras un petit gueuleton et apéro Champagne. En ce qui te concerne, tu trinqueras certes avec nous mais avec de l'eau ou mieux avec du sirop... Et tu annonceras à nos invités que c'est ta femme chérie qui t'as interdit  de faire certaines choses comme les grands..."

"Désormais, non sseulement tu seras cocu, mais en plus je te propose de  "t'infantiliser". C'est une humiliation soft supplémentaire que tu apprécieras."

 

Alain a détaché sa bouche de ma queue, juste pour pouvoir dire :" oui, super ... .. génial."

 

-"Allez, maintenant va cherhcer une bouteille d'eau pour ta femme chérie. Je voudrais faire une scénace d'uro cet après-midi seul avec ta femme. Ensuite, tu nous prépares un petit truc rapide à manger.

 

Alain s'est levé, a remonté une bouteille d'eau pour sa femme, puis est redescendu préparer un truc léger à manger.

Laurence avait quelque peu besoin de se remettre. Nous avons mangé rapidement en renvoyant Alain dans sa chambre (il s'est installé à la fenêtre, évidemment). Après ce rapide dîner à deux, j'ai proposé à Laurence de se détendre sur la chaise longue dehors. Je lui ai fait un cunnilingus pour la reposer, puis nous sommes remontés directement dans la chambre. Sieste.

 

En principe, Claire devait passer, j'avais prévenu le cocu de venir me prévenir quand elle arriverait. En fait elle ne vint pas l'après-midi, préférant attendre le soir après qu' Alain est allé leur proposer cett soirée chez nous.

  

Redescendus vers 17 heures, j'ai demandé à Laurence de me me pisser dessus dehors. Alain était toujours dans sa chambre, il était allé entre temps chez nos chers voisins remplir sa mission. Je me suis allongé dos sur la pelouse et ai ordonné à Laurence de venir s'accroupir au dessus de mon visage ... et de déverser le plus fort possible.

 

-"Oui chéri, tout ce que tu voudras".

 

Elle m'a bien inondé  la bouche, le torse, les cheveux...

-"Tiens chéri c'est pour toi .... ... il y a le cocu qui se branle a la fenêtre ... ...  Tu me culbuteras encore une fois avant que nos invités arrivent ce soir ?"

 

Par jetdor man - Publié dans : uro a trois, cocufication
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Vendredi 7 octobre 5 07 /10 /Oct 00:00

Nous nous sommes installés pour déjeuner.

 

-"Va te faire sauter par Claude en premier, même si le proprio arrivait lorsque tu es la-bas, nous le ferions t'attendre. dans l'autre sens, il y aurait risque d'attendre le proprio jusqu'en fin de matinée et que l'on rate Claude par la suite. de plus on est pas certains à 100% qu'il viendra ..."

 

."...ce serait bien que tu ailles avec le cocu, il faut qu'il te voie désormais vraiment te faire baiser par d'autres que moi. Or, jusqu'à maintenant, il t'a juste vu chauffer le proprio hier et le serveur d' Aubusson. Il faut que tu passes la vitesse supérieure. N'oublie pas que ton mari avance à grand pas dans le bonheur d'être humilié. Il a droit à  être présent lorsque tu le cocufies...même si cela complique le scénario pour toi ..."

 

-"pas de soucis, mais est-ce que le gars en face sera prêt  à s'occuper de moi, en présence du cocu, même s'il sait avec tout notre cinéma d'hier, à peu près quels rôles chacun de nous jouent ?"

 

-"je te fais confiance pour faire péter tous ces verrous à supposer qu'ils existent encore. Je t'ai déja montré à St valéry ou même Aubusson, qu'avec de la conviction, de l'envie et du toupet, et surtout ton cul, il n'y avait de problèmes que dans la tête des gens et surtout que temporaires. De plus avec notre cinéma, je pense que Claude est mûr; sa femme aussi d'ailleurs ! Tu es une salope et tu vas aller avec ton mari. c'est ta mission"

 

-"OK, tu as raison mon chéri, je vais emmener le cocu ..."

 

Nous avons fini de déjeuner. La perspective de la matinée qu'allait passer Laurence m'excitait. Je lui fis savoir en me levant et en venant lui malaxer les seins par derrière pendant qu'elle finissait son café. 

 

-"Annonce à ton mari le programme, salope..."

 

Laurence finit sa tasse, et en se retournant à peine, énonça à voix haute :

 

-"petit cocu, tiens-toi prêt mon toutou, tu vas venir avec moi voir Claude..."   (il n'y avait aucun doute qu'il était prêt près de la fenêtre pour entendre nimporte qu'elle sollicitation ou ordre de nlous).

 

Puis s'adressant a moi :

 

-"tu souhaites me voir porter une tenue particulière ?".

 

Je réfléchis un instant :

-"non, simplement n'y vas pas complètement nue, je pense que c'est mieux en la circonstance, pour le restes tu as cartes blanches."

 

Laurence est donc montée se préparer, pendant qu'Alain descendait, en short, tennis minables, et chaussettes hautes de ringard. Il était devenu brillant en statut d'humilié, voire même compétent :il y avait de moins en moins de choses à lui dire ou signifier, il saisit de plus en plus à merveilles ce qu'on attendait de lui. Ce n'est pas un effort pour lui, il est même heureux de pouvoir montrer sa soumission. Il est resté dehors debout sans rien dire en attendant que Laurence ne redescende pour partir.

 

Elle est redescendue. Léger rouges a lèvres, tees-shirt moulant et trop court , un de ses shortys ! chaussures souples sans talons. Une vraie petite étudiante allumeuse et vicieuse. Elle m'a regardé, m'a annoncé :

 

-"je mouille déjà", puis direction  le portail ,  "allez suis moi cocu chéri". Mais Alain avait déjà emboité son pas.

 

Passés le portail, elle a pris la main de son cocu. Cela donnait autant l'impression qu'elle emmenait son petit frère au spectacle qu'un couple d'amoureux. Son cul avec ce shorty était somptueux. Le Claude n'allait pas résister 30 secondes.

 

Vingt minutes se sont passées. J'ai même cru entendre des cris de plaisir à un moment depuis le palier où je m'étais installé, mais je me disais que c'était mon imagination !

 

Ou ptutôt, Alain est revenu après vingt minutes, ne m'a rien dit et passé devant moi et a filé dans sa chambre! J'ai supposé qu'il allait se branler, mais je n'en n'étais pas sûr.

 

Laurence est réapparue au portail un quart d'heure après lui. Nue sinon les chaussures, shorty et tee-shirt à la main, décoifée,  et encore excitée. je me suis rendu vite compte qu'ell était encore dans un état second. Elle se dirigeait vers moi quand tout a coup elle a bifurqué vers la pelouse.

 

-"viens m'achever, salaud ... Il me faut un deuxième pompier comme toi pour cet incendie là " a -t-elle dit.

 

 Elle s'est mise a quatres pattes, en levrettes, cul au ciel, visage et épaules contre le sol, de coté.

 

-"dégomme-moi comme tu sais le faire, STP salaud chéri ...     ... vite ... ...  achève-moi ..."

 

je me suis posé debout dèrrière. Cette salope savait que j'étais excité. jJ'ai empoigné le shorty et l'ai non pas déchiré ,(j'en ai déja détruit un le jour de leur arrivée au gîte...) , mais étendu en l'écartant fermement d'un main.

 

Sa chatte était encore inondée. (de mouille, pas de sperme). Je l'ai enfoncée sans difficulté, et ai commencé un va-et-vient.

 

Elle a commencé à me raconter pour m'exciter encore plus.

"... il nous a offert un café. j'était déja vautré sur la chaise, le cocu était assis bien droit comme un écolier. j'ai enlevé mes chaussures dans un premeir temps. Mais comme j'avais envie de brûler les étapes, j'ai enlevé mon tee-shirt -ca faisait a peine 3 minutes qu'on était chez lui, en disant : "pffouuhh , allez aujourd'hui,  nudisme ! tiens Alain STP tiens mon tee-shirt .."

 

et de continuer son histoire, pendant que je la tirais :

 

"... puis je me suis levée, café  à a la main,  et ai approché Claude en lui tendant mon cul et en disant : "Mon mari tiens déja mon tee-shirt, pouvez-vous m'aider a enlever ma culotte?" Il n'a même pas été surpris. Il a empoiné lé haut de mon shorty et la fait glissé ver les bas.  j'ai fait: "oh merci Claude, en général quand on demande cela les gens son gênés ... mais vous vous avez compris que le nudisme c'est le nudisme .." je mes suis retournée et lui ai roulé une pelle. il s'est laissé faire, je lui ai guidé le bras sur la poitrine. puis tout est allé très vite. j'ai fait péter le dernier verrou en lui disant à voix basse "faites plaisir à mon mari"...

 

Elle reprend son soufle alors que je lui tire aussi ses seins. elle est dans un état second de chienne en chaleur, a un niveau que je ne lui ai jamais vu :

 

" ... ouahhh   arrache mes seins ... .... II s'est levé en me portant carrément, il m'a emmenée au salon à coté en disant "oui, je suis OK pour votre jeu, il m'a quasiment lancée sur le canapé". j'ai fait "ohhh un homme, un vrai". j'ai ordonné au cocu de nous suivre. Bref il m'a baisée devan le cocu sur le bord du canapé. Il m'a limé pendant un quart d'heure en m'insultant car je l'y encourageait. comme il n'avait pas de préservatif je lui ai dit de jouir sur moi où il voulait. il s'est retiré,  a remplacé sa queue par sa main en se branlant. Nous avons hurlé tous les deux, son sperme a jailli sur mes seins. Il s'est vautré sur moi. J'ai dit au cocu qui triquait et avait baissé son short de rentrer vite à la maison  dasn sa chambre !

 

...Puis je l'ai encore sucé en lui expliquant que notre gîte était le sien. Pas d'horaires de fermeture. Je lui ai tout raconté. Le cocu chambre à part, toi, etc... bref ... il m'a sucé le cul. sa femme et lui sont complices, il sait que claire vient ici c'est après-midi. Mon salaud tu vas la baiser hein ? ... allez, va-y ... par contre je ne sais pas du tout si sa femme est prête a le voir me sauter ... .. je .. je  ... je "

 

Puis elle s'est arrêtée de parler. Pour cause d'orgasme fulgurant imminent.

 

Un nouveau tsunami. j'aime bien ce mot, il s'applique bien aux déchaînements les plus aboutis de Laurence. Elle a commencé à trembler sous moi.

 

... passe ...  mon cul ... au karccher  STP .... au marteau piqueur aussi ......  .... aaahhhhhhhhh  .... chéri ... je ....  vais encore m'évanouir .....

 

la révulsion des yeux, apogée de ses  orgasmes, aboutissement de tout ce debut de matinée. secousse de tout son corps. j'ai giflé son cul en venant en elle et la traitant de catin du matin, de poufiasse de luxe.

 

Puis elle s'est affaissée. Avec moi. Je me suis dégagé lentement en lui disant que ce n'était pas fini. Alain était a la fençtre de sa chambre et nous avait bien sû matés. Le propriétaire allait peut-être survenir a nimporte quel instant.

 

- "s'il arrive, tu penses pouvoir assurer dans l'état où tu es, salope chérie ? "

 

- " ... dix minutes pour me requinquer ... pas plus" murmura-t-elle

 

- "alors va t'allonger jusqu'a ce qu'il arrive, je dirais à Alain de l'accueillir s'il vient et de l'occuper quelques minutes si nécessaire. Ce sera aussi l'occasion de s'auto humilier volontairement devant le proprio s'il en a envie"

 

-"accompagne-moi dans la chambre chéri .."

 

Je suis monté avec elle, en re-précisant à Alain  depuis le haut de l'escalier qu'il guette l'arrivée éventuelle du proprio et qu'il le fasse patienter en lui disant par exemple que sa femme était impatiente de pouvoir continuer le discussion d'hier...

 

-" ... Chéri cornu, je compte sur toi pour lui dire beaucoup de bien de moi !" a ajouté Laurence.

 

et nous sommes entrés dans la chambre en éclatant de rire tous les deux.

(à suivre)

Par jetdor man - Publié dans : uro a trois, cocufication
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Mercredi 28 septembre 3 28 /09 /Sep 00:00

 Vers 3h, je réveille doucement Laurence par des caresses.

 

-"c'est l'heure, suis moi..."

 

A poil tous les deux, nous sommes allés sans bruit vers la chambre d'Alain, main dans la main. Sa porte était ouverte, j'ai juste fait un détour par la salle de bains pour y allumer la lumière, afin d'éclairer légèrement dans sa chambre.

 

Alain dormait de coté, visage du coté porte, consigne appliquée! Hormis la tête, il était complètement sous la couverture. Le moins de bruit possible malgré ce parquet quelque peu grinçant. Peut-être faisait-il semblant de dormir peut-être pas, peu importe, je me suis planté à genoux devant son visage. Avant de faire quoi que ce soit, j'ai tiré Laurence à moi qu'i ma imité nous nous sommes embrassés, d'une main j'ai pris ma queue encore souple et l'ai posé sur le visage d'Alain qui a eu un petit tressautement. de l'autre main j'ai farfouillé le cul de Laurence.

 

Alain a ouvert la bouche, il savait qu'il devait le faire. J'y ai enfoncé ma queue durcissante, et l'ai pompé doucement.

 

-"suce moi à la perfection" ai-je dit tout en dévorant la bouche et le cou de sa femme.

 

Alain a enroulé ma queue en pompant à un rythme lent. Il a dégagé sa main doucement hors des couvertures. De sa propre initiative, il a  empoigné mes couilles ou plûtot il les a caressées, soupesées.

 

Son assiduité prouvait son intention de se soumettre, et de bien faire. Il soupirait déja de plaisir, presque même de soulagement d'être enfin utilisé pour ce pour quoi il avait de plus envie au fil des jours. 

 

Pendant ce temps, ma main s'occupait de l'arrière-train de Laurence: le pouce dans l'anus, et les autres doigts dans sa chatte. Et bien sûr cette chatte était  inondée de plaisir et d'excitation: Laurence aussi "attendait" de plus en plus ce moment où son mari francirait l'étape supplémentaire.

  

Pour lui confirmer que cela était imminent, et pour lui permettre d'appécier encore plus cet instant, je roucoulai à l'oreille de Laurence, alors qu' Alain passait aussi en revue mes couilles avec sa bouche, allant de mon gland et ma queue hyper raide à mes boules tendues avec une passion et une attention irréprochable (il gémissait à chaque mouvement horizontal que je faisais dans sa bouche),  je murmurai donc à Laurence :

  

-" aahh chérie je vais bientôt me déverser dans la bouche de ton mari ....  c''est un grand moment pour nous trois ....  ahh il suce avec une telle assiduité ce salaud ....  ....  juste avant de venir, je te ferai signe pour que tu puisses regarder de près ..." 

 

Puis j'ai sorti ma main gauche des fondements de Laurence pour l'inciter à se pencher et s'allonger le en corps en avant en travers sur son mari, afin d'offrir son cul au ciel.  J'ai remis mon pouce dans son anus et les autres doigts dans sa chatte.  De ma main droite, j'ai pris doucement la tête d'Alain pour mieux lui imprimer encore les bons mouvements de sa bouche. 

 

J'ai synchronisé le rythme de ma main dans le cul et la chatte de Laurence et celui de la bouche d'Alain sur ma queue. Le plaisir est monté assez vite. Laurence aussi commençait a jouir.

 

-"c'est merveilleux, ... c'est merveilleux  ... !   ohhhh    Carmure,  inaugure et inonde la bouche du cocu !!"

 

J'allais bientôt éjaculer.  Dans la perpective de cet instant, j'ai crié : 

 

"salope .... regarde ....  je vais jouir dans la bouche de ta lavette de mari !"

 

Dans l'urgence Laurence a alors changé de position pour avoir son visage au plus près de l'action près du visage de son mari, tout en me permettant de continuer à accéder à son cul et à la triturer - j'y allais de plus en  plus fort.

 

5 secondes avant de jouir, j'ai dit à  Alain :

 

- "ouvre ta bouche,  je vais t'y éjaculer dedans à quelques centimètres, pour que ta pute voies le spemre jaillir et le spectacle"

 

- "oh mon dieu ..., mon dieu... !!!" gémissait Laurence, qui jouissait elle aussi. Outre ma main dans le cul, elle avait joint sa main dans sa chatte pour se branler simultanément en voyant cette scène d'antologie.

 

Il a ouvert la bouche ,  j'ai reculé ma queue vers l'extérieur, ma main à pris le relais de sa bouche sur ma queue. Je me suis branlé 3 secondes, pendant que sa main à lui, continuait à me palper les couilles. 

 

-" Tiens ... prend çà cocu, c'est ta récompense ... c'est un cadeau ... ... à partir de maintenant ta bouche peut servir non seulement d''urinoir mais aussi de cuve a sperme."

 

Le sperme a giclé au fond de sa gorge en quelques jets. je dirigeais ma queue vers la droite, vers le centre vers la gauche dans sa bouche. Laurence a fini de jouir en voyant cela 

 

-" ohhhh  le salaud de cocu ...  il me pique le sperme de mon amant . ooooohhhhhh le salauuuuuuud"

 

Le corps de Laurence a tremblé pendant que je finissais de râler et d'éjaculer dans la bouche d'Alain. Dès la fin de mon éjaculation, je lui ai dit : 

 

-"referme à nouveau ta bouche sur ma queue..."  ce qu'il a fait sans difficulté le soumis ... 

 

Je lui ai plaqué son visage contre moi avec ma main. Il a avalé le sperme. j'ai été surpris de la facilité avec laquelle il l'a fait. 

Il y avait presque de la solennité dans l'ambiance. Nous trois étions conscients de l'importance dans notre relation de ce qui venait de se passer. Je sentais qu'Alain était content et fier d'avoir été à la hauteur.

 

-" Alain tu es un vrai soiumis. tu aimes cela. tu viens d'une certaine manière d'être promu ... pour ton bonheur ta femme va être de plus en plus salope, et toi de plus en plus humilié, cocufié.. ... Je crois que vous aimez cela tous les deux." 

 

Laurence était tête contre la poitrine de son mari à écouter ce que je disais. Elle avait joui fortement elle aussi de cette scène. 

 

Pour parfaire la séance et le bonheur d'Alain, j'ai dit à Laurence :

 

"Laurence ma chérie, remercie ton mari d'être aussi prêteur, soumis et serviable : monte sur le lit, accroupis-toi sur lui et pisse lui dessus." 

 

-"mais bien sûr ... Je vais lui pisser dessus ... j'espère que j'ai quelques réserves"  dit Laurence en s'exécutant.

 

Alain s'est décalé plus vers le centre du lit, pour permettre à Laurence de l'enjamber de chaque coté de son visage et de s'accroupir sur lui, quasiment s'asseoir sur sa gueule.

 

Alain s'est bien calé pour avoir le visage dans sa chatte. Laurence n'avait pas énormément envie de pisser, mais elle a pu tout de même honorer son mari. Celui-ci ouvrait la bouche, il recrachait mais a dégluti tout de même un peu de pisse 

 

"- Tiens petit cocu, encore une autre récompense pour toi",  dit -elle en s'acharnant avec sa chatte sur la gueule du cocu. La pisse giclait sur tout son visage et aussi sur le lit. 

 

-"il y a des couvertures de rechange  dans les armoires, débrouille-toi avec pour la fin de la nuit" ai-je dit. "pour le reste tu nettoieras tes draps et oreillers demain." 

Laurence a fini de pisser. 

 

'"allez viens chérie, on s'est assez occupé de lui ...   .. ah oui ! au fait, Alain, demain exceptionnellement tu resteras à nous attendre venir déjeuner. dès que tu nous entendras approcher de la table tu t'allongeras sur le dos dans l'herbe et tu attendras : on va s'occuper encore de toi ..... n'oublie pas de boire beaucoup d'eau avant la fin de la nuit". 

 

- "... décidément ce cocu a vraiment beaucoup de chance" dit laurence alors que nous sortions de la chambre en rigolant. 

 

Nosu sommes redescendus en bas. 

 

-" Viens chérie nous allons boire aussi une bouteille d'eau avant de nous endormir, en vue de la petite scénace de demain matin. A près  nous irons nous dormir, tu as une journée chargée demain Ah Ah Ah .." 

 

 

Puis nous sommes remongtés et nous nous sommes endormis. Le lendemain, mercredi, nous nous sommes levés et ne sommes pas passés à la salle de bain comme d'habitude mais sommes descendus directement en bas. Comme prévu, le déjeuner était prêt sur la table, et Alain était allongé dans l'herbe sur une couverture (le sol était frais) comme ordonné durant la nuit.

 

-" rebelotte ... Laurence tu t'accroupis sur sa gueule, et tu pisses sur cette bouche à pisse et sperme"

 

-" oui chéri, je vais même me branler sur son nez en lui pissant dessus" 

 

-" toi le cocu tu prépares aussi ta queue pour pisser ..." 

 

Elle s'est installée. Je me suis mis debout à coté.  Elle a commencé à pisser alors qu'elle était quasiment assise le nez de son cocu. Elle s'agitait d'avant en arrière pour se branler dessus, et je me courbai pour lui rouler une pelle, tout en commençant à pisser sur ses seins.

 

-" Alain, STP pisse contre le ventre de ta femme. débrouille-toi pour pousser assez fort et éclabousser".

 

Je ne sais pas comment Alain s'y retrouvait pour respirer la tête dans le cul de sa femme déchaînée, qui lui pissait dessus. Toujours est-il qu'il a commencé lui aussi à pisser, le jet  venant jusque sur les seins de sa femme rejoindre le mien. Ce qui fait que sa pisse et la mienne coulait le long du ventre de sa femme pour dégouliner aussi sur sa figure ! 

 

-"cocu, je ne sais pas si tu m'entends la dessous, mais je trouve que tu as beaucoup de chance de pouvoir boire simultanément ta pisse, celle de sa femme, ainsi que la mienne en même temps. C'est un privilège ..." 

Laurence, qui avait carrément empoigné ma queue pour en diriger le jet là où bon lui semblait sur elle, ajouta. 

 

-"oui je trouve aussi que ce cocu a beaucoup de chance, en plus si tout se passe bien ce matin, il va encore pouvoir faire deux croix de plus à son compte de cocu ...". 

 

Nous avons fini tous les trois de pisser.   

 

-"venez dans la douche là haut pour rinçage. Alain tu nous savonneras ta femme et moi de haut en bas".

 

Nous sommes montés nous rincer. Alain nous a savonés, caressés puis essuyés. Puis je suis redescendu avec Laurence pour déjeuner. 

 

-" Allez cocu. Maintenat laisse nous tranquille un peu. reste dans ta chambre, oreilles dressées : je te sifflerai lorqu'on aura besoin de toi." 

Puis nous sommes descendu déjeuner Laurence et moi.

 

 

 

Par jetdor man - Publié dans : uro a trois, cocufication
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