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uro a trois, cocufication

Samedi 30 juillet 6 30 /07 /Juil 00:00
...
Nous avons rejoint l'autoroute, j'avais une petite idée derrière la tête. En attendant, j'ai demandé à Laurence de retrousser sa robe. Et chaque fois que la conduite me le permettait, je la caressais du genou juste qu'à l'intérieur de la cuisse, en n'oubliant pas de titiller son string, et d'enfoncer légèrement mon doigt dans sa chatte. Elle était tête appuyée contre le dossier et fermait les yeux en se pinçant les lèvres.

Arrivér sur l'A13, il y a avait beauxcoup de monde...  aussitôt sur l'autoroute,  ordre donné à la pute d'enlever carrément son  string. Elle s'est éxécutée sans sourciller.  "ouvre tes cuisses salope, que je puisse te caresser".

Puis, j'ai attendu que la circulation soit beaucoup moins dense. Alors j'ai commencé à penser à repérer les poids lourds. J'ai commencé à doubler le premier, je suis resté au niveau de l'habitacle du camion et j'ai dit à Laurence:

"caresse-toi et ne regarde pas du coté du camion. Sors ton sein droit et malaxe le aussi".

Laurence m'a regardé surpris, mais certainement pas choquée  "... oui ... oui chéri .. ....     c'est excellent".
Comme une voiture arrivait derrière, j'ai dû doubler complètement et me suis posté devant le camion, à la même vitesse que lui. Ce que j'espérais a eu lieu :  dans le rétroviseur, le conducteur m'a fait des appels de phare. Je ne l'ai pas dit à Laurence. J'ai continué à rouler à la même vitesse, jusqu'à  l'aire d'autoroute suivante  où j'ai mis mon clignotant a droite....Le camion a fait  pareil. Je dois dire que je n'en revenais pas, je connais les histoires de routier mais de là a ce que cela marche avec le premier ...!
Laurence, toujours cul nu, et  qui ne pouvait pas  connaître mon manège avec le  camion , seulement visible dans le rétro  a juste dit" :

- "ohhh ..., chéri, tu t'arrêtes ?  tu as déja envie de me baiser ?
- "non je te propose mieux que cela?
lui ai-je juste répondu.

elle m'a regardé, d'un air interrogatif mais n'a rien dit de plus.

J'ai roulé dans l'aire d'autotoute, cherchant un coin isolé. Il y avait du monde près du batiment des toilettes. Mais en prenant le chemin qui part derrière, j'ai trouvé un recoin plus tranquille. Tout en vérifiant que le camion nous suivait toujours, j'ai vu que celui-ci se garait à une trentaine de mètre derrière nous. J'ai dit a Laurence
:

"ouvre ta fenêtre s-il te plait, et tais-toi".

Elle était excitée et un peu intriguée. J'ai attendu un peu. Le gars a fini par sortir. J'ai ouvert ma portière, et suis-je sorti ce qu'il fallait pour lui faire signe de venir du coté passager. Puis je suis rentré dans la voiture.  J'ai ordonné:

-"caresse-toi, ouvre la bouche, ferme les yeux et tourne légèrement la tête du coté de l'extérieur"
-"oui ... oui.; chéri "

Le gars du camion est arrivé au niveau de la fenêtre passager. Laurence a  sursauté mais s'est vite ressaisie, a compris ce qu'il en était et a repris sa posititon. Elle a juste émis a voix basse un :

"- oh mon dieu ...  oh ...chéri  qu'est-ce que ...?  D'une voix tremblante d'excitation.
D'une voix forte j'ai crié depuis ma place , à l'intention du gars dehors:

- "ne montre pas ta figure, sors ta queue et présente la à cette salope pour te branler dessus..."
le gars a semble-til un peu hésité. Puis a défait sa braguette et s'est  posté le plus près possible de la fenêtre.
- " tu te branles d'une main et de l'autre tu caresses le sein de cette pute .."

A suivre (désolé j'avais prévenu que cétait long !)





Par jetdor man - Publié dans : uro a trois, cocufication
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Mardi 26 juillet 2 26 /07 /Juil 00:00

Nous sommes donc rentrés  à l’intérieur.  Je leur ai dit d’aller se rincer, et ai demandé à Laurence de s’habiller ensuite d’un string, robe courte moulante (noire de préférence) chaussures talons, bijoux fins (boucles d’oreilles, collier, bracelet …). Rien d’autre. Et qu’elle prépare 2 ou 3 string pour le WE, des robes sexy, pas de culottes, une robe de soirée, une mini-jupe et surtout des préservatifs.

«  des … des préservatifs ?  tu … tu … pourquoi ? » as-t-elle bredouillé, interrogative mais aussi lueur dans les yeux.

« des queues autre que la mienne pourraient s’égarer dans ton cul ce WE. Tu le sais Laurence, tu le souhaites. N’est-ce pas ?  toi salope, ton mari cocu. C’est votre ambition a tous les deux. »

«   oui » As-t-elle répondu déjà presque salivante… » 

 

J’ai débouché le champagne pendant ce temps et servi 3 coupes. Alain est revenu le premier, nu comme je le lui avais ordonné. Je lui ai dit de mettre les fleurs dans un vase. Quand je lui ai demandé s’il voulait soulager sa vessie lui aussi, il m’a dit merci et et ressorti du coté jardin pour se soulager.

Laurence est apparue. Splendide. Jambes bronzées, talons, peau lisse. Seins moulés, pointés sous cette robe noire, moulante au niveau du cul, et s’évasant au niveau des cuisses. Un collier (en or plaqué) autour du cou. Je lui ai fait signe d’approcher, l’ai attirée debout contre moi, ai passé un main sous sa robe pour lui malaxer les fesses, vérifier son string et le tirer comme un élastique, pendant que mon autre main passait derrière les tissu de sa robe pour lui tirer son sein. Je l’ai embrassé sur la bouche, langue dans langue. 

 

Puis dégageant lérèrement de sa bouche, sans détourner mon regard de celui de Laurence qui me mitraillait, j’ai dit à Alain.

« Alain s’il te plait , donne nous notre verre et viens sortir ma queue et me sucer ». Ses paroles ont fait s’ émoustiller Laurence qui a repris :

 

«ohhh la la …  Oui chéri alain, viens sucer mon amant pendant qu’il me tripote ».

 

Une main sous le string de laurence, l’autre tenant mon verre, debout contre elle j’ai trinqué les yeux dans les yeux. Pendant qu’Alain me suçait à genoux caressant d’un main aussi les jambes magnifiques de sa femme.

 

« A nous trois », ai-je dit

 

Alain tenait de sa min libre son verre, qu’il a levé en l’air sans s’arrêter de me sucer !

« Laurence tu prendras ton portable.  Je pense qu’Alain appréciera d’avoir des nouvelles de ta part toutes les quelques heures, surtout dans lesmoments chauds »

 

Alain a arreté de me sucer, s’est relevé. 

 

« Alain, c’est excitant ce que tu vis. Je vois que tu bandes comme un âne … C’est vrai que ta salope est somptueuse et désirable. Tu peux la tirer vite fait avant que l’on parte si tu veux . ensuite tu auras presque deux jours pour te branler, car tu vas connaître une excitation comme jamais tu n’en auras connue, propre aux cocus volontaires et consentants. » 

 

Puis j’ai dit à laurence : «  allez tourne toi débauchée, ton cocu voudrait te sodomiser !» Je l’ai incitée à s’appuyer face contre la table. J’ai levé sa robe. Son cul de rêve (c’est peu de le dire ) est apparu, j’ai écarté le string. 

 

« Viens Alain, prends ta salope de femme qui va te tromper tout le WE…»

 

Alain n’y a pas mis de préliminaires. J’ai écarté l’anus de sa trainée qui était maintenant tête sur la table, cul au ciel. Il l’a prise, l’a limé en explorant son anus dans tous les coins. Laurence à pris une serviette qui était à sa portée et la mise dans sa bouche pour la mordre tès fort ». 

 

Puis j’ai ordonné :

 

« Alain ne jouit pas dans son cul, éclabousse plutot celui-ci , c’est pas grave d’ailleurs s’il en va sur la robe, elle partira avec moi ainsi, déjà souillée par son mari ». 

 

 3 secondes après que j’ai fini cette phrase, Alain est sorti de son cul dans un état d’excitation infinie, et a éjaculé sur ses fesses et le haut de se cuisses. Comme un cheval. 3 ou 4 gros jets de sperme ont bien maculé la salope, y compris un peu sa robe »

 

« C’est bien j’ai dit, maintenant tu restes comme cela avec le sperme de ton mari, sans t’essuyer et on y va »

 

3 minutes après on était dans la voiture et j’ai démarré le moteur ...

Par jetdor man - Publié dans : uro a trois, cocufication
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Lundi 25 juillet 1 25 /07 /Juil 00:00

Le WE a tenu ses promesses, au delà de mes espérances, tant ils -et surtout Laurence -ont d'imagination et de désirs. Même si le temps n'a pas été magnifique, mais je crois que c'était secondaire ! Je pense que cela va être long a raconter, vu que j'aime narrer les détails. Bon allons-y. 

Je suis donc arrivé comme prévu chez Laurence et Alain à 16h30 en voiture donc. (j'avais rappelé AlainVendredi midi pour lui préciser cet horaire). C'était un évènement important pour nous trois, j'avais donc Champagne et bouquet de fleurs avec moi. 

Arrivé a leur grille, prmière "surprise", un mot pers de la sonnette, plié en 2 et scotché, à mon intention "CARMURE". je l'ouvre : 

 "Chéri, sonne et viens pisser au fond du jardin, il y a un urinoir pour toi...". 

 Ah? Je réfléchis une seconde. Je sonne, j'entre (ils ont laissé la grille légèrement entr'ouverte) Et je contourne la maison avec ma bouteille et mon bouquet. Je marche doucement, arrivé derrière la maison, dans la partie pelouse (un peu sauvage). Je continue mon chemin (leur jardin est plutot en longueur , borduré de murs, et d'arbres. Le voisinage n'est pas visible, au fond il y a plus d'arbres. 

Je les apercois alors au fond du jardin, sous les arbres: Laurence est à quatre pattes, nue , la tête de coté posée sur une chaise, les yeux bandés. Alain est sous elle, en 69, les yeux bandés aussi, la tête sous son cul donc. 

Pour qu'ils n'aient pas de doute que c'est bien moi qui arrive (et pas une mauvaise surprise, un  badaud quelconque), vu qu'ils ont les yeux bandés, je prononce juste un mot pour qu'ils m'identifient bien : "splendide" je dis.  

Je m'approche d'eux,  je pose le bouquet et la bouteille par terre.  J'observe la scène et la savoure : Laurence est donc tete posée de coté sur une chaise, elle ouvre grand la bouche, yeux bandés. Alain dessous en 69, ouvre aussi la bouche visage orienté vers le ciel, le cul de sa femme au dessus de lui. Ses bras sont de chaque coté et il tient les fesses de Laurence écartées, en offrant ainsi son anus au ciel . Ils sont immobiles tous les deux. 

Je pose ma main sur les épaules de Laurence, la caresse. Elle tressaute légèrement, mais ne bouge pas plus.  Je décide de ne pas prononcer un mot. Je défais ma braguette, sors ma queue, me met à genoux et lui met ma queue dans la bouche. 

Elle ne peut s’empêcher de la gober et de faire de légers mouvements de va-et-vient.  Mais tout de suite je me mets à pisser. Elle est légèrement surprise, de la pisse s’échappe de la bouche, puis elle se ressaisit et commence à déglutir tout en enroulant bien ma queue. 

Je m’efforce de ne pas pisser à trop haut débit. De la main gauche je caresse son visage, ses cheveux, ses oreilles. De la main droite je masse son sein bandé, son cul, où sont déjà posées les mains de son mari. Je me concentre tout de même sur mon débit de pisse. Je m’arrête quelques secondes pour la laisser se ressaisir, puis elle se remet à m’aspirer, ce que j’interpète comme une invitation à continuer à pisser. 

Puis d’une voix basse mais ferme je lui dis : 

« pisse sur ton mari, il a la bouche grande ouverte, il attend avec impatience. Pisse-lui dessus le plus fort possible, comme une vache ». 

C’est alors , que tout en continuant à me boire (je pisse très doucement à ce moment là, par intermittence), elle se cambre. On sent qu’elle se prépare. De son coté, Alain commence à tourner la tête de droite a gauche, comme pour manquer le moins possible de gouttes de pisse. Laurence est complètement cambrée, fesses et anus ouverts au ciel et écartés par les mains d’Alain, tout en gobant ma queue et buvant ma pisse. 

C’est alors qu’elle commence à pisser, là d’où je suis-je ne vois pas directement, mais j’entend l’écoulement, le « pssssssss » , et je vois la pisse arriver sur la gueule d’Alain, dans sa bouche, mais aussi longer les cuisses de Laurence. Tout en continuant à me tenir la queue , elle se met a gémir et à détendre tout son corps qui se vide de sa pisse sur son homme. 

C’est alors que je sors ma queue de sa bouche, ma lève et commence à pisser sur elle, tout en la contournant pour arriver derrière son cul au dessus de la tête d’Alain. Laurence pisse vraiment comme une vache et je l’accompagne en lui pissant debout sur la cul et sa chatte. Alain est véritablement inondé, il n’arrive pas à avaler grand-chose mais beaucoup de nos deux pisses lui arrive dans la bouche est sur la gueule ! 

Je finis de pisser avant Laurence, (qui a du boire une quantité incroyable deau depuis plusieurs heures), elle gémit en pissant « ohhhh tien prends çà,mon mari, ohhhh.. » 

Je m’abaisse pour lui lécher l’anus pendant qu’elle finit de pisser. Je la pénètre avec ma langue. 

Puis quand elle a fini, je ne leur laisse pas le temps de se reposer , je leur annonce la nouvelle :

« Super, on va prendre l’apéritif maintenant. Laurence dans une demi-heure il faut qu’on soit parti : je t’emmène en WE en normandie faire la pute avec moi et te former un peu. Ton mari restera là a se branler. Venez, on rentre à l’intérieur, je vais vous expliquer plus en détail. »

A suivre ( parti comme c'est ca va etre long a raconter tout ce WE!)

Par jetdor man - Publié dans : uro a trois, cocufication
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